Modérateur : DojoSuperHeroes
C'est exactement ce qu'a dit Fillon ce matin sur RTL !Toad San a écrit :J'attends [...] qu'on ai une gauche moderne comme partout en Europe
C'est bien dommage que tu ne commentes pas le texte que j'ai c/c ^^. Ton avis dessus serait intéressant.Toad San a écrit :Je croyais que le Sénat était là pour la représentation géographique.
Je suis bien d'accord avec ce sarkoziste ! Voilà une analyse et des propositions bien démocratiques.
Dans le genre pensées bizaroide c'est pas mal. Imposer aux autres ce qu'on ne fait pas sois même...
A quasiment une année des présidentielles, il fallait couler De Villepin.Toad San a écrit :Valérie Pécresse, le 16 janvier 2006, à propos du CPE."Les propositions présentées par Dominique de Villepin ont été élaborées à la suite de plusieurs entretiens avec le président de l'UMP, Nicolas Sarkozy."
Je me demande quand Sarko a pointé les défauts ?
Si par "gauche moderne", il entend "faire une politique de droite", ça sert à rien!!!P@B a écrit :Il s'est surtout aperçu que le peuple n'appréciait pas, et il a cherché à concilier tout le monde, sans vouloir faire de forcing. C'est rien qu'un gros connard à écouter le peuple et à pas vouloir passer en force, ce Sarkozy.
C'est exactement ce qu'a dit Fillon ce matin sur RTL !Toad San a écrit :J'attends [...] qu'on ai une gauche moderne comme partout en Europe
Nan, mais la gauche au pouvoir fait déjà une politique plutôt à droite, mais la grande modernité, ce serait de dire avant ce qu'ils vont faire après, parce que pour le moment, c'est extrême gauche dans l'opposition, démocrate au pouvoir, y'a quand même tout un monde.Lancelot a écrit :Si par "gauche moderne", il entend "faire une politique de droite", ça sert à rien!!!P@B a écrit :Il s'est surtout aperçu que le peuple n'appréciait pas, et il a cherché à concilier tout le monde, sans vouloir faire de forcing. C'est rien qu'un gros connard à écouter le peuple et à pas vouloir passer en force, ce Sarkozy.
C'est exactement ce qu'a dit Fillon ce matin sur RTL !Toad San a écrit :J'attends [...] qu'on ai une gauche moderne comme partout en Europe
Ce matin dans le figaro :Si je suis élu président de la République, je ferai voter dès l'été 2007 une loi qui interdira la pratique
détestable des golden parachutes, parce que c'est contraire aux valeurs qui sont les miennes.
Sources(s)
Réunion publique Marseille (19/04/07)
Le texte prévoit d'encadrer plus strictement l'attribution des parachutes dorés sans pour autant les interdire.
Il a bien expliqué pendant la campagne, et ce, de nombreuses fois, en quoi il la trouvait destestable. Il n'a jamais été question d'interdire une pratique qui n'est pas détestable.Toad San a écrit :une loi qui interdira la pratique détestable des golden parachutes
Et donc ? Alors à partir de x € c'est immoral, et en dessous c'est moral ? Une loi encadrante avec une rémunération de fin de contrat en cas d'obectifs atteints, oui ça c'est moral. Après intervenir dans la gestion des rémunérations privées, ça servirait qu'à satisfaire les jaloux.Redounet a écrit :Prime de fin de contrat =/= golden parachute, y'a une différence d'échelle.
Ouais. En tout cas une prime de smicard viré d'une boîte entame moins le budget qu'un golden parachuteCyrare a écrit :Le Golden parachute du boss d'Airbus, c'était pas non plus des dizaines d'années de salaire, qui était très élevé.
Et donc ? Alors à partir de x € c'est immoral, et en dessous c'est moral ?Redounet a écrit :Prime de fin de contrat =/= golden parachute, y'a une différence d'échelle.
. Ca dépend lesquels. Les primes de non concurrence, c'est quand même quelque chose d'indispensable quand il y a des centaines de millions en jeu.Jodi a écrit :Cyrare, les parachutes dorés tu trouves ça normal ?
Et ce n'est que le début. "Je ferai ce que j'ai dit" ... OU PASMalgré la multiplication des scandales, la droite n’avait pas osé le faire au cours de la législature précédente, et la gauche n’y pensait pas. Nicolas Sarkozy veut interdire les parachutes dorés, ces indemnités de départs records que touchent certains patrons (39 millions d’euros par exemple pour l’ex-PDG de Carrefour, Daniel Bernard, en 2005). Le candidat UMP en avait parlé lors de la campagne électorale, le nouveau président de la République a annoncé vendredi à Toulouse, en visitant les salariés d’EADS, qu’il avait chargé Jean-Louis Borloo de «déposer cet été un texte sur l'éthique et la moralisation» visant à interdire cette pratique.
«Je souhaite qu'on puisse rendre illégale la pratique des golden parachutes», a indiqué le chef de l'Etat, avant de faire allusion à la situation spécifique d’EADS. L'ex-coprésident exécutif du groupe, Noël Forgeard, est parti avec des indemnités de plus de 8 millions d'euros, alors qu’un plan social prévoyant le départ de 10000 personnes a été annoncé. «Deux poids deux mesures, c'est malhonnête, c'est injuste. Dans une entreprise dans laquelle l'Etat est actionnaire, il doit y avoir des règles éthiques plus marquées qu'ailleurs», a poursuivi Sarkozy.
D’ores et déjà, cette annonce a été saluée par des représentants de petits porteurs. «Je suis heureux de m’apercevoir que Nicolas Sarkozy respecte sa parole», a déclaré à Libération Maître Frédérik-Karel Canoy, président de l’Association syndicale des actionnaires (ASA). «Et j’espère que le texte sera bien fait pour que les patrons ne s’engroufent pas dans la moindre astuce juridique pour toucher ces sommes scandaleuses.»
joue sur les mots, si y'a que ça qui peut lui donner tort, une simple variante de terme, alors bon, tant pis, on fera avec. Tout le monde a relevé le changement de position de Sarkozy.A défaut de pouvoir interdire les indemnités de départ des dirigeants, le gouvernement va introduire de nouveaux verrous fondés sur la performance. Parallèlement, la pratique des stock-options va être étendue.
Le gouvernement Fillon a finalement renoncé à interdire les parachutes dorés des grands patrons. Nicolas Sarkozy s'était juré de rendre « illégales » les indemnités de départ des dirigeants, en réaction aux scandales déclenchés par les dossiers Zacharias (Vinci), Forgeard et Gut (EADS) ou Danon (Printemps), mais il était illusoire de s'attaquer aussi radicalement à ce qu'il est convenu d'appeler « des pratiques de marché ». A l'Elysée, on explique aujourd'hui que le président de la République n'est pas contre les grosses rémunérations, dès lors qu'elles sont justifiées.
