J'ai vu Star Wars VI (Return of the Jedi) Dimanche et La Menace Phantôme samedi. Mon horaire de cette fin de semaine:
Vendredi: Star Wars Épisode 1: La Menace Phantôme
Samedi: Star Wars Épisode 2: L'ataque des Clones
Dimanche: Star Wars: La Guere des Clones
Natalie Portman perd ses cheveux pour "V for Vendetta"
publié le mercredi 11 mai 2005
A l’occasion du film "V for Vendetta", la jeune et talentueuse Natalie Portman ("Garden State", "Star Wars") a du renoncer à sa jolie chevelure noire pour se raser entièrement la tête. La première photo de l’actrice ainsi déplumée nous est parvenue.
Le film a été développé par les frères Wachowski ("Matrix") et sera dirigé par James McTeigue, assistant réalisateur de George Lucas sur "Star Wars : La revanche des Sith".
Cet événement un peu radical est motivé par une scène où la jeune femme se retrouve en prison et se fait donc raser la tête.
Natalie Portman n’est pas trop traumatisée par la perte de ses cheveux. Elle a déclaré qu’elle ne pouvait s’empêcher de caresser son crâne et qu’elle allait peut être rester ainsi un moment.
Pour rappel, l’histoire de "V for Vendetta" se déroulera dans une Angleterre futuriste soumise à un régime totalitaire. Portman y incarnera une jeune femme qui deviendra de manière inattendue l’alliée d’un révolutionnaire.
Le scénario signé par Andy Wachowski et Larry Wachowski est adapté du roman (illustré par David Lloyd) "V For Vendetta" de Alan Moore (The Watchmen, Swamp Thing).
Le roman de Alan Moore se déroule à Londres, à la fin du XXe siècle où plus personne n'ose résister au "Système". L'œil et l'oreille espionnent, le nez enquête, la bouche désinforme et la main fait régner l'ordre et la terreur. L'Angleterre a pris les couleurs du fascisme. La culture a été effacée. Pourtant quelqu'un ou quelque chose rôde dans les ruelles sombres. Il est vêtu comme un comédien, masqué d'un éternel sourire, cite Shakespeare, sauve les innocents, pose des bombes et préserve ce qu'il reste de la culture dans son musée des ombres.Un anarchiste s'est glissé au cœur du système. Ni comédien ni tragédien, ni bouffon ni fou, ni fanatique ni terroriste, ou peut-être tout cela à la fois, il n'a pour nom qu'une initiale : V. V pour Vendetta. V pour Vengeance. À moins que ça ne soit pas aussi simple que ça...
Bon ben voilà, V for Vendetta, un film qui pompe ENCORE sur 1984 et Le meilleur des mondes...
Franchement, déjà avec Equilibrium on avait un bon repompage ("bon" parce que séquences de baston pas mal et une certaine ambiance novatrice par rapport aux bouquins) mais là ça devient une habitude, c'est assez chiant à la fin