Publié : 07 mars 2005 21:36
non :oNicky Larson a écrit :il marche msn chez vous ?
Un forum réservé exclusivement aux sales casuals de merde ! \o/
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non :oNicky Larson a écrit :il marche msn chez vous ?
oui :oNicky Larson a écrit :il marche msn chez vous ?
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oui :oNicky Larson a écrit :il marche msn chez vous ?
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oui :oNicky Larson a écrit :il marche msn chez vous ?
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oui :oThe_lascar a écrit :C'est pas bientôt fini ce bordel ? è_é
non :oThe_lascar a écrit :C'est pas bientôt fini ce bordel ? è_é
J'espere que tu regardes les episodes de Fushigi No Umi No Nadia (pharaoh style) en vostfrAsh-Code a écrit :nadia et le Secret de l'Eau Bleue ça déchire sa mère
Ben nonMe_Marcadet a écrit :J'espere que tu regardes les episodes de Fushigi No Umi No Nadia (pharaoh style) en vostfrAsh-Code a écrit :nadia et le Secret de l'Eau Bleue ça déchire sa mère
Un lien stp.Me_Marcadet a écrit :Y'a Projet-arf qui les ressort, faut en profiter nlurot et meme le sautres qui veulent decouvir ou redecouvrir
Libération Sgrena: les Italiens n'auraient pas informé les Américains (presse)
AFP | 08.03.05 | 10h32
Les Italiens n'ont pas informé le commandement américain de l'opération de libération de Giuliana Sgrena, qui s'est soldée vendredi dernier par la mort d'un agent secret italien, Nicola Calipari, affirme mardi le quotidien La Repubblica (proche de l'opposition)."Les Italiens ne nous avaient pas informés de l'opération pour la libération de Giuliana Sgrena, ni ne nous ont mis en condition d'offrir une couverture adéquate à la voiture, à bord de laquelle, à 20H55, elle a été interceptée par une de nos patrouilles", ont déclaré des sources militaires américaines, citées par La Repubblica.La Repubblica poursuit que c'est un officier italien, le général Maioli, et non pas un fonctionnaire des services de renseignement, qui était chargé de faire la liaison entre les agents des services spéciaux, Nicola Calipari et Andrea Carpani, et le commandement américain."C'est le général Maioli qui a accompagné les deux agents italiens retirer leur laisser-passer (à l'aéroport de Bagdad) auprès d'un officier américain, le capitaine Green", poursuit La Repubblica."C'est encore Maioli - d'après la reconstruction américaine - qui les attendait à leur retour à l'aéroport où était déjà autorisé le plan de vol de l'avion qui devait ramener Mme Sgrena en Italie", poursuit le journal."L'officier italien, soutiennent les sources américaines, n'a fourni à notre chaîne de commandement aucune indication ni sur le type de voiture à bord de laquelle voyageaient les deux agents des services secrets, ni sur l'identité de leur passagère (Giuliana Sgrena)", assure La Repubblica.
Dans le genre gore ils sont fortsLes incidents filmés sur cette vidéo ont fait l'objet d'une enquête militaire dont le Pentagone a dévoilé, vendredi, les résultats, montrant notamment que l'armée avait décidé de ne pas inculper les soldats parce qu'ils "s'étaient comportés d'une manière inappropriée, mais non criminelle".
Des soldats américains ont maltraité plusieurs prisonniers blessés en Irak et se sont montrés irrespectueux envers des Irakiens décédés et des civils irakiens, montre une vidéo diffusée lundi 7 mars sur le site Internet du quotidien The Palm Beach Post.
Le film, de près d'une demi-heure et intitulé La Folie de Ramadi, a été réalisé en 2004 par des soldats de la Garde nationale de Floride qui étaient déployés en Irak dans les rangs du 124e régiment d'infanterie. Ils l'auraient réalisé dans le cadre d'un "best of" gravé sur DVD. Les divers chapitres portent des titres évocateurs, tels que "Des petits salauds bien malins" ou "Un nouveau jour, une nouvelle mission, une nouvelle ordure".
La division à laquelle appartenaient les soldats était stationnée à Ramadi, ville sunnite située à environ 110 kilomètres à l'ouest de Badgad, et théâtre de nombreux affrontements dans la guerre qui a suivi le renversement de Saddam Hussein en 2003. Ils sont rentrés aux Etats-Unis il y a un an.
"INAPPROPRIÉE, MAIS NON CRIMINELLE"
Les incidents filmés sur cette vidéo ont fait l'objet d'une enquête militaire dont le Pentagone a dévoilé, vendredi, les résultats, montrant notamment que l'armée avait décidé de ne pas inculper les soldats parce qu'ils "s'étaient comportés d'une manière inappropriée, mais non criminelle". Le quotidien a réussi à se procurer la vidéo que le Pentagone n'avait pas diffusée.
Son existence avait été révélée par des documents militaires, mais le Pentagone avait expliqué qu'elle avait probablement été détruite.
Dans une séquence de la vidéo, un soldat attrape le bras d'un chauffeur routier qui vient juste d'être abattu et fait comme si le cadavre faisait signe à la caméra. Les événements ayant précédé l'incident ne sont pas montrés dans la vidéo. Le quotidien rapporte que les soldats américains avaient arrêté le camion et ordonné au chauffeur de descendre, mais qu'il était remonté dans le véhicule et avait démarré en trombe, avant d'être abattu par un soldat américain.
AUCUNE INCULPATION PÉNALE
Des documents publiés par le Pentagone montrent que des enquêteurs militaires ont étudié le dossier et décidé qu'aucune inculpation au pénal n'était nécessaire contre les soldats. Selon ces mêmes documents, l'armée a jugé que les actes montrés dans la vidéo étaient "inadéquats" plutôt que criminels.
"Il est clair que les soldats n'avaient probablement pas eu beaucoup de présence d'esprit", explique le lieutenant-colonel Jeremy Martin, porte-parole militaire au sein du Pentagone. "Je suis certain que leur commandement les a admonestés pour leurs actes."
Dans une autre des scènes, un soldat américain pointe son arme sur un Irakien blessé. L'homme gémit et souffre manifestement, tandis que le soldat regarde la caméra et dit : "Il a tiré sur moi." Puis il donne des coups de pied au blessé.
La vidéo montre un autre Irakien détenu blessé à la tête cependant qu'une voix lui demandant de "sourire à la caméra". Dans une autre séquence, la caméra filme une file de prisonniers, les mains liées derrière le dos avec des menottes en plastique, tandis qu'une voix off répète : "Sale type, sale type, sale type." Des images de corps démembrés et brûlés gisant au sol suite à une explosion massive sont aussi visibles sur la vidéo : un soldat désigne certains restes dans lesquels il donne un coup de pied, puis on entend des voix - apparemment celles de soldats que la caméra ne montre pas - qui s'exclament : "Oh, c'est un bout de son crâne !"
Anthony Romero, directeur de l'American Civil Liberties Union, a réclamé qu'une commission indépendante examine cette vidéo et que des membres du Congrès enquêtent de leur côté sur ces abus.