Publié : 19 avr. 2007 23:58
on appelle ca une sirene. (une femme avec une queue pour ceux qui aurais pas suivis)Valentine Rose a écrit :Une brésilienne sans doute.
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on appelle ca une sirene. (une femme avec une queue pour ceux qui aurais pas suivis)Valentine Rose a écrit :Une brésilienne sans doute.
Nan mais il a du crier pour qu'elle revienneRayy a écrit :Et RudeBoy j'espère que t'as jamais sucé le kiki d'Aline.
Holaf a écrit :on appelle ca une sirene. (une femme avec une queue pour ceux qui aurais pas suivis)
Voilà que ces sous-hommes d'anglais, qui censurent largement plus le cinéma qu'en France avec des films qui se retrouvent interdits aux moins de 15 ans juste à cause de violence verbale, là où ils sont tout publics en France, vont être plus laxistes que nous sur le jeu vidéo. Mais qu'on fasse quelque choseUne fois n'est pas coutume, une étude d'une centaine de pages publiée au Royaume-Uni relativise l'influence de la violence dans les jeux vidéo sur les joueurs. Selon le rapport, consultable à cette adresse et commandé par la British Board of Classification, chargée outre-Manche de vérifier en amont le contenu des jeux (violence, sexe, injures, etc.) et d'apposer le sceau adéquat sur les boîtes, l'interactivité des jeux vidéo permet aux joueurs de prendre du recul sur la violence dont ils sont témoins et donc de ne pas reproduire certains comportements ; de ne pas confondre jeu et réalité, en somme, ce que les personnes interrogées sont plus enclines à faire en tant que spectateur passif, devant la télévision ou dans les films. Cette distance reste cependant moins sensible en matière de vocabulaire : le langage pas toujours châtié des protagonistes se retrouve ainsi bien souvent dans la bouche des joueurs. A la lumière de ces résultats, et de quelques autres détaillés dans l'étude, l'autorité compte revoir dans les mois qui viennent sa classification en matière de jeux vidéo.
Ah, quand j'étais petit je disais le kiki pour les filles et le zizi pour les garçons. Jsuis un incomprisRayy a écrit :Et RudeBoy j'espère que t'as jamais sucé le kiki d'Aline.![]()
je trouve que t'a entierement raisonrom vat a écrit :Je trouve que tu généralises à mort, la sexualité est un sujet bien précis qui relève de la vie privée, à partir de là il est tout à fait légitime de ne pas en parler à n'importe qui, et a fortiori à ses parents puisque ça peut donner l'impression de flirter avec l'inceste (j'insiste bien sur le "ça peut", qui sous-entend que ça dépend des personnes). De bons parents sont des parents à l'écoute, et donc si l'enfant a besoin d'explications il faut pouvoir les donner, mais si les parents éduquent bien un enfant, il peut tout à fait ne pas en avoir besoin et se débrouiller tout seul. Les valeurs dont tu parles ne sont pas propres à la sexualité, c'est simplement du respect d'autrui, du dialogue, et ça vaut pour tous les domaines.