Je retire ça.Rayy a écrit : Ouai mais bon si faut galérer pour aller s'en procurer c'est pas la peine. En France on a des distributeurs dans les rues, dans les boites de nuit, les pharmacies, les épiciers mêmes... l'accessibilité des moyens est plus répandue et aisée.
où tu traites les gens de cons sinon la prochaine fois qu'on te dis un truc que tu juges insultant, tu penseras à la fermer.
Pour le reste, au journal de la santé, une fois, un doc disait qu'on est pas des êtres primaires, sur le plan de la sexualité, on a beaucoup plus de réflexions et de contrôles sur nous même que de simples animaux (c'est quand même génial d'être un humain à ce niveau). Je trouve ça un poil dégradant quand ca ne parlent que d'instinct animal et de besoins comme si on était que des êtres primaires incontrolables (ou alors je place l'humain trop haut...). Personnellement, je ne crois que ce soit quelque chose en soit qui est vraiment incontrolable pour nous (de plus, beaucoups de gens détestent être comparés à de simples animaux. On est plus évolué paraît-il, c'est ce qu'une partie des gens que je connais, par exemple, me balancent à la gueule. Mais une partie ne font rien pour le prouver par les faits et en plus se comparent aux animaux quand ça les arrange.). Si on met un gars normal enfermé durant 1 an avec une femme sidaïque sans capote ni autres, y'a quand même de grandes chances qu'il ne fasse rien avec elle, car il réfléchit à ce qui va lui arriver après. On l'a cette capacité de réflexion et je suis pas le seul à le dire.
Pi se retirer pour pas balancer la sauce à l'intérieur et éviter dans certains cas une grossesse non désirée, pour ceux qui n'ont pas accès aux capotes, ça peut être quelque chose d'envisageable.
Sinon, d'après ce que m'a dit ma mère pour le sénégal du moins (pour pas généraliser), par rapport aux problèmes, y'a un manque de volonté dans les moeurs, fasse à la contraception et fasse aux campagnes sur ce qu'on leur dit des maladies (donc pas qu'un simple manque d'accessibilité aux moyens et à l'information). Néanmoins, elle, elle s'arrête là et dit qu'on a pas la même culture ni les mêmes moeurs, point.
Mais pour certains, dont Sevran peut être, même si comparer les africains à des criminels, c'est extrème, quand ils se disent que y'a peut être parfois 5 enfants qui meurent, pour 1 qui survit
