Bon pour la petite histoire, c'est du koei, et en gros c'ets du kessen-dinasty warriors-bidule like mais dans un background de guerre de cent ans au lieu de ces tapettes de samourai .
Enfin un peu de changement, j'aime bien les Dynastie/ Samurai Warrior, mais sa commençais à me prendre le chou, c'est bourrin, lisible, fluide bref j'aime (enfin Bladestorm je sais pas ^^ )
J'ai pu tâter la démo, le jeu ne fera pas date, non pas parce qu'il s'agit d'un énième jeu de stratégie mais bien parce qu'il est rempli de petits défauts qui l'empêchent d'atteindre son objectif.
Tout d'abord, le travail sur les voix donne envie de pleurer, entre les "Everyone, follow me!" ou "I shall command you" prononcés sur base de pseudo accent allemand tiraillé entre la caricature et le sérieux à chaque changement de stratégie (on opte pour archer, simple soldat à terre ou cavalier).
Les contrôles, trop raides, que cela soit à pied, à cheval ou en formation, combinés à l'impossibilité de marcher (cela me rappelle ce bon vieux Frank sur DEAD RISING, tiens).
L'intelligence artificielle - je veux bien croire que c'est le but du jeu que d'accepter des contrats (afin d'augmenter sa popularité) et de diriger une armée mais qu'est-ce que tout devient confus une fois ce beau petit monde débarqué sur le champ de bataille, et tout cela aux dépens d'une fréquence d'images pas toujours très souple. Il faut dire qu'il y a effectivement beaucoup de NPC visibles à l'écran mais, ces derniers étant très cons, cela doit un peu compenser, non?
Finalement, le jeu est assez quelconque graphiquement.
Il reste donc très peu de points de rédemption: musique; l'idée de jauge rechargeable qu'on ne peut utiliser à sa guise, ce qui oblige à réfléchir au moment le plus adéquat pour lancer une attaque qui provoquera le plus de dégâts; possibilité de choisir un personnage qui convient mieux aux besoins du joueur, malgré un choix très restreint.
Un peu le MONSTER HUNTER FREEDOM du pauvre en quelque sorte? Je ne sais pas - il y a effectivement des choses intéressantes mais les moyens manquent.
He sat there silently while tears ran slowly down his cheeks. In a week the dog was dead.
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