J'ai vu tout ça. :fangirl LOTR:
Et Faramir a certes une place un petit peu plus importante dans la version longue, il n'empêche qu'il est très différent du livre.
Pour le reste, je suis d'accord avec toi, les choix temporels, la suppression de certains personnages, la fin quelque peu... différente de l'originale et les inversions de certaines scènes entre le 2 et le 3 ont été réfléchies. C'est aussi pour ça que ces films sont vraiment des films de fans. Ils ont vraiment réfléchi à la meilleure façon de rendre LOTR à l'écran, sans décevoir les fans, tant sur le plan visuel que de la narration. L'univers est à mon sens très bien rendu, même si certains personnages auraient mérité plus d'attention (comme Faramir par exemple ), et d'autres auraient pu être conservés (Tom Bombadil... ).
Moi j'ai matter les deux premiers du seigneur des anneaux en version longue c'est allucinant tout ce qui a été enlevé dans la version au cinéma,dire que sa fait plus de six mois que j'ai gravé ces versions longues et je les ai regardé que ce week-end en plus le 2ème je l'ai regardé sur un vidéoprojecteur chez moi ben c'la classe.Si un jour j'ai le vidéoprojecteur encore chez moi je me mattes tous les star wars.
Suite à une augmentation sans précédent du taux de criminalité, Manhattan est transformée en un gigantesque ghetto-prison. Une police militarisée aux méthodes expéditives surveille son enceinte, tandis que l’intérieur du périmètre est livré aux détenus et à leurs propres lois. Se rendant à une convention internationale, l’avion du président des Etats-Unis est détourné et crashé sur les immeubles de la zone condamnée. Snake Plissken, ancien militaire que les autorités s’apprêtaient justement à emprisonner pour braquage, est alors chargé par le commandant Hauk de retrouver le président, ainsi que le précieux document qu’il transportait avec lui. Le tout en moins de 24 heures. S’il y parvient, il sera remis en liberté
et puis Kojima s'en est inspiré pour le scénario de MGS.
Au final je suis pas mal déçu, l'idée de départ est effectivement très sympa, mais le manque de moyens et le kitch des années 80 se font trop ressentir, et les ziqs de Carpenter... trop nulles aussi.
Un remake serait vraiment une bonne idée par contre
The Big Lebowski des frères Coen, ceux qui ont fait O'Borther . Il me fait toujours autant rire ce film.
Spoiler:
1h30 de film pour se rendre compte à la fin en dénouement que y'a aucune intrigue en fait, car tout ce qu'on croit est faux. Pas d'enlèvement, pas de vrais truants etc
Et les répliques roxor, "je m'ejecte" :goodman: ou "Je bois mon café ! Je savoure mon café" :toujourslemême:
A ne pas regarder en français, The Dude devient le Duc, ça perd tout son sens, faudrait tuer les traducteurs
Leon a écrit :Au final je suis pas mal déçu, l'idée de départ est effectivement très sympa, mais le manque de moyens et le kitch des années 80 se font trop ressentir, et les ziqs de Carpenter... trop nulles aussi.
Son côté série B fait tout son intérêt. Essaye la suite (Los Angeles 2013) qui est géniale malgré le côté repompe du concept
Le scénario, un nerd se fait kicker d'un chat, il décide de se venger en tuant les autres chatteur.
Bon c'est pas top, mais ça se laisse voir , et puis pour un film coréen, il est très court par rapport à ce qui se fait en général, même pas 90 minutes.
En plus il y a pein de belles coréennes en petite tenue...
The Big Lebowski des frères Coen, ceux qui ont fait O'Borther . Il me fait toujours autant rire ce film.
Spoiler:
1h30 de film pour se rendre compte à la fin en dénouement que y'a aucune intrigue en fait, car tout ce qu'on croit est faux. Pas d'enlèvement, pas de vrais truants etc
Et les répliques roxor, "je m'ejecte" :goodman: ou "Je bois mon café ! Je savoure mon café" :toujourslemême:
A ne pas regarder en français, The Dude devient le Duc, ça perd tout son sens, faudrait tuer les traducteurs
J'adore
Putain, je voulais le voir ce week end justement O_O
S'il trouve déjà Escape from New York trop kitsch, ça risque pas de s'arranger avec la suite...
Pis surtout Escape from LA c'est du kitsch post-nonante, et ça c'est le mal
Et le Carpenter Bontempi Staïle ça roxxe d'abord
Ah, Killer7 ! [...] quand la subjectivité du sujet est atteinte, où l'objet n'est qu'objet, détaché, brillant ou mat, et non partie d'un tout qui constitue un univers émotionnel.
Moi ce film je l'ai plutôt vu comme une critique de la banalisation de la violence. Ca commence doucement, et puis ça monte de plus en plus loin au point où ça ne me faisait plus du tout rire et où j'étais même franchement mal à l'aise. C'est notamment à cause de ce film que j'ai tendance à penser qu'on est beaucoup plus tolérant à la violence sous l'effet de la télévision, du cinéma ou des jeux vidéo, car voir des morts on en a l'habitude, et tuer un adulte c'est totalement banal, alors que dès qu'on passe vers un infanticide ou vers un viol sordide, là on se rend compte que c'est moins anodin, or si c'est moins anodin, c'est parce que c'est rarement représenté. Si les meurtres simples d'adultes étaient aussi moins représentés, je pense qu'on les tolérerait moins et que la violence serait moins banalisée.