
Faut vraiment être trop con, surtout pour penser qu'il n'y a pas de danger potentiel.
Modérateur : DojoSuperHeroes
Alors soit ils nettoient et réduisent leurs projets d'investissement, soit il nettoient pasLe ministre des Finances Thierry Breton a chiffré mardi à "quelques centaines de milliers d'euros par université" les dégâts commis lors des occupations.
"Les universités seront obligées de prendre ça sur leurs projets d'investissements", a-t-il dit sur France Inter.
-----Là bas, il faut presque une heure pour que des pompiers ou des médecins se rendent sur les lieux en cas d'explosion. A Lacq, tout était prévu
Ce qu'il faut pas entendreNON A L’ACHARNEMENT REPRESSIF ! AMNISTIE DES JEUNES ANTI-CPE
Un appel de « l’Humanité » :
Pendant deux mois, notre pays a connu une mobilisation exceptionnelle pour exiger le retrait du CPE. Les millions de lycéens, d’étudiants, de salariés engagés dans ce mouvement ont finalement obtenu gain de cause. Or, des milliers de jeunes, interpellés lors des manifestations de ces dernières semaines alors qu’aucun de leurs agissements ne peut être assimilé à un comportement de « casseurs », sont condamnés à la chaîne par les tribunaux. Cet acharnement répressif est d’autant plus inadmissible que les exemples abondent qui révèlent l’injustice et l’arbitraire de ces arrestations et le plus souvent de ces condamnations. Alors que le CPE a vécu, il serait totalement incompréhensible que le pouvoir continue à vouloir faire payer sa défaite aux jeunes engagés dans ce mouvement. Nous demandons l’arrêt de toutes les poursuites engagées contre des jeunes anti-CPE et l’amnistie des peines déjà prononcées à leur encontre.
Premiers signataires : Cédric Clérin (MJC), Razzye Hammadi (MJS), Bruno Julliard (UNEF), Tristan Rouquier (FIDL), Karl Stoeckel (UNL), Patrick Le Hyaric (directeur de l’Humanité), Pierre Laurent (directeur de la rédaction de l’Humanité), Nicole Borvo (sénatrice, PCF), Jean-Pierre Dubois (président de la Ligue des droits de l’homme), Maryse Dumas (CGT), Frédéric Dutoit (député, PCF), Fondation Abbé-Pierre,Henri Leclerc (avocat, président d’honneur de la Ligue des droits de l’homme), Dominique Noguères (avocate), Irène Terrel (avocate), Michel Toubiana (président d’honneur de la Ligue des droits de l’homme)Jean-Jacques de Felice (avocat), Mouloud Aounit (MRAP), Jean-Claude Amara (Droits devant), Jean-Baptiste Eyraud (DAL), Charles Hoarau (comité chômeurs, CGT des Bouches-du-Rhône).
Faudrait payer ça sur les bourses d'étude des bloqueurs, ça s'appelle saisie sur salaire.Banjo a écrit :Alors soit ils nettoient et réduisent leurs projets d'investissement, soit il nettoient pasLe ministre des Finances Thierry Breton a chiffré mardi à "quelques centaines de milliers d'euros par université" les dégâts commis lors des occupations.
"Les universités seront obligées de prendre ça sur leurs projets d'investissements", a-t-il dit sur France Inter.Ca leur apprendra
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Oh les mauvais joueursFoot - L2 : Bastia-Caen arrêté
L'irruption de spectateurs bastiais sur la pelouse du Stade Furiani a forcé les joueurs à rentrer aux vestiaires de manière précipitée et l'arbitre à suspendre le match. A ce moment de la partie, soit dix minutes avant le coup de sifflet final, Caen menait 2-0 et Bastia se dirigeait vers sa quatrième défaite consécutive, un revers synonyme de fin des espoirs de montée en L1. L'arbitre n'a pas encore décidé si la rencontre pourrait reprendre, mais cela semblait peu probable.
Papa, c'est si pourri que ça la Sorbonne pour qu'il y ait autant de cons là-bas ?<a href='http://fr.news.yahoo.com/24042006/290/les-etudiants-anti-cpe-evacues-par-la-police-de-la.html' target='_blank'>Yahoo.fr</a> a écrit : PARIS (Reuters) - Les forces de l'ordre ont évacué lundi soir, dans le calme, une centaine d'étudiants anti-CPE qui occupaient depuis plusieurs heures des locaux de l'université de la Sorbonne, apprend-on auprès de la préfecture.
En fin d'après-midi, deux cents étudiants avaient envahi un amphithéâtre et la cour d'honneur de l'université où les cours avaient repris normalement dans la matinée.
La préfecture de police de Paris a fait état de "dégradations dans les étages" au niveau du mobilier et du matériel informatique après leur évacuation.
Aucune interpellation n'a eu lieu, a-t-on ajouté.
score cumulés de l'extrème droite : 18%PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy l'emporterait d'une courte longueur face à Ségolène Royal si le second tour de l'élection présidentielle avait lieu aujourd'hui, selon un sondage Ifop pour Paris Match à paraître jeudi.
Le président de l'UMP recueillerait 51% des suffrages contre 49% à la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes.
Cette étude marque la première remontée de Nicolas Sarkozy en trois semaines. Depuis le début du mois d'avril, cinq sondages consécutifs ont placé Ségolène Royal en tête du second tour.
En revanche, face à Dominique de Villepin, la dirigeante socialiste l'emporterait très nettement, recueillant 63% des suffrages contre 37% pour le Premier ministre.
Nicolas Sarkozy accentue son avance face à tous les autres "présidentiables" du Parti socialiste.
Opposé à Jack Lang ou Lionel Jospin, il serait élu avec 56% des voix. Contre François Hollande, il améliorerait son score de deux points (58% contre 42%) et de trois points face à Dominique Strauss-Kahn (59% contre 41%).
Dans l'hypothèse d'une candidature de l'ancien Premier ministre Laurent Fabius, le ministre de l'Intérieur passerait la barre des 60% (61% contre 39%).
Au premier tour, l'étude souligne la solidité du socle électoral de l'extrême droite.
Quel que soit le candidat socialiste et même en cas de présence de deux candidats à droite, Jean-Marie Le Pen, président du Front national, oscille entre 11% et 14% d'intentions de vote.
Si l'on ajoute le score du président du Mouvement pour la France (MPF), la droite extrême atteint jusqu'à 18% des suffrages.
Cumulés, les scores de la gauche varient également entre 12% et 18% selon le candidat socialiste. Elle réalise son meilleur score dans l'hypothèse d'une candidature Fabius ou Strauss-Kahn.
"Tout se passe comme si la crise mobilisait à la fois la mouvance manifestante et la mouvance demandeuse d'ordre", soulignent les responsables du département Opinion publique de l'Ifop dans leur analyse.
Le sondage a été réalisé les 20 et 21 avril par téléphone auprès d'un échantillon de 883 personnes.
«Le PS redevient arrogant», déplore Dominique Voynet
[27/04/2006 09:51]
PARIS (AP) -- La sénatrice Vert de Seine-Saint-Denis Dominique Voynet déplore jeudi que «le parti socialiste redevient arrogant» et «semble revenir sur son engagement» de négocier un groupe parlementaire Vert.
«Nous n'avons pas vocation à être les vassaux d'un PS qui, comme par le passé, jouerait en permanence ses partenaires les uns contre les autres», souligne Dominique Voynet dans «Libération».
L'ancienne ministre de l'Environnement regrette que le PS «semble revenir aujourd'hui sur cet engagement» de négocier un groupe parlementaire pour son parti. «Pire, il entend nous imposer une sorte de cohabitation avec les radicaux et les chevènementistes».
«Une poignée de députés pour les Verts, et 300 pour le PS? Ce n'est pas sérieux», prévient la candidate à l'investiture présidentielle des Verts. «D'où notre insistance pour un mode de scrutin proportionnel, plus juste».
Les Verts «veulent contribuer à la victoire de la gauche en l'aidant à enrichir sont projet», assure Dominique Voynet. Mais «cela suppose des discussions de fond avec le PS et les autres partis de gauche. Or, après avoir pris son temps, le PS nous annonce mardi qu'il entend boucler les négociations avec nous avant l'été».
Quant à un désistement en faveur du PS avant le premier tour de la présidentielle, la sénatrice rétorque qu'elle «ne croit pas» que la question se pose. «Cette fois, l'usure sera du côté de la droite».
«Le vrai vote utile, ce sera que chacun mobilise son électorat au premier tour, donc que le candidat ou la candidate des Verts fasse le plein de ses voix», conclut-elle. AP
C'est très intéressant tout çaLes luttes d’aujourd’hui et de demain, elles, méritent mieux. Alors, je crois qu’on aurait besoin de se voir pour causer un peu. À bientôt dans les luttes, c’est sûr... mais pourquoi pas autour d’une bouffe à quatre ? C’est moi qui régale !
En espérant qu'ils vont perdre (l'employé, pas l'employeur) en cours d'appelLe conseil des prud'hommes de Longjumeau dans l'Essonne a requalifié un contrat nouvelles embauches en CDI, jugeant que l'ordonnance créant le CNE était contraire au droit international, un jugement de principe qui constitue une première. Le Conseil était saisi du cas de Linda de Wee embauchée en contrat à durée déterminée le 1er juillet 2005 en tant que secrétaire par Maître Philippe Samzun, mandataire judiciaire à Versailles. A la fin de son CDD de six mois, elle a été embauchée par Me Samzun en contrat nouvelles embauches le 1er janvier 2006, pour les mêmes fonctions et la même rémunération. Elle a été licenciée par lettre recommandée au bout d'un mois. Au delà des conditions spécifiques du licenciement de Mme de Wee, que le tribunal juge "abusives", le conseil des prud'hommes estime l'ordonnance du 2 août 2005 créant le CNE est "contraire" à la convention 156 de l'Organisation internationale du travail (OIT) ratifiée par la France et est donc "non valable" et "privé d'effet juridique". Cette convention prévoit qu'un salarié ne peut être licencié "sans qu'il existe un motif valable de licenciement" et "avant qu'on lui ait offert la possibilité de se défendre". Or, le CNE exonère l'employeur de l'obligation d'effectuer un entretien préalable au licenciement et de motiver la lettre de licenciement, rappelle le tribunal. En conséquence, le tribunal ordonne la requalification du CNE en contrat à durée indéterminée (CDI) et condamne l'employeur au versement de 16.390 euros de dommages et intérêts à la plaignante.