Enfin ! 30 millions pour les survivants de la French Touch.
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Enfin ! 30 millions pour les survivants de la French Touch.
Il en aura fallu des discours, des boîtes qui mettent la clé sous la porte, des emplois plus ou moins délocalisés... Mais l'état français semble enfin décidé à proposer le fameux crédit d'impôt tant réclamé, et ceci sous l'égide du ministère de la Culture, puisque l'aide devra être conforme à la législation de l'Union.
Je laisse les journalistes vous expliquer tout ça, et rendez-vous début 2006 pou vérifier que tout est arrivé à bon port.
1er coup de feu récent le 1er octobre :
http://www.afjv.com/press0510/051005_cr ... uction.htm
Edition du 05.10.05
Le Ministre de la Culture et de la communication, M. Donnedieu de Vabres, s’est prononcé jeudi 1er octobre en faveur de la mise en place d’un mécanisme de crédit d’impôt bénéficiant à la filière jeu vidéo française.
Pour le Ministre « Il est nécessaire de reconnaître la création de produits interactifs et de jeux vidéo comme une nouvelle industrie culturelle à part entière dans laquelle il faut protéger la diversité ». « Nous devons élargir notre action culturelle, en mettant en place un crédit d'impôt destiné à soutenir la production de création multimédia interactive et de jeu vidéo, dès que la négociation engagée avec la commission européenne le permettra », a-t-il poursuivi.
Pour Guillaume de Fondaumière, Président de l’Association des Producteurs d’œuvres Multimédia, « cette déclaration marque un tournant décisif pour la mise en place d’un crédit d’impôt permettant aux développeurs de jeu vidéo français de continuer à créer des œuvres en France. Je me félicite de cette annonce qui intervient seulement quelques mois après nos premières démarches en ce sens auprès du Ministère de la Culture. »
L’Apom et le Sell, le Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs, rencontreront le 12 octobre prochain de Ministre de la Culture afin de finaliser le projet de crédit d’impôt production dont ils espèrent la mise en place dès le 1er janvier 2006.
Et mardi banco, expliqué par Reuters et complété par Libé :
http://today.reuters.fr/news/newsArticl ... 12T183926Z_
01_DEM267102_RTRIDST_0_OFRIN-FRANCE-JEU-VIDEO-CREDIT-IMPOT-20051012.XML
par Claude Chendjou
MONTREUIL (Reuters) - Le gouvernement étudie la création d'un crédit d'impôt destiné à soutenir et à développer la création française de jeu vidéo, ont annoncé les ministres de la Culture et de l'Industrie, Renaud Donnedieu de Vabres et François Loos.
Le crédit d'impôt, d'un montant de 30 millions d'euros pour la première année, serait mis en place début 2006 si les discussions engagées avec la Commission européenne aboutissent, a déclaré François Loos au cours d'une visite des studios d'Ubisoft, le premier éditeur français de jeux vidéo, à Montreuil.
Les ministres, qui ont ardemment défendu le jeu vidéo comme un produit culturel au même titre que le cinéma et la musique, ont précisé que cette nouvelle aide financière compléterait le Fonds d'aide à l'Edition Multimédia (FAEM).
"Le jeu vidéo est un produit culturel qui ne doit pas devenir uniforme et nous allons utiliser à Bruxelles l'argument de l'exception culturelle pour défendre la création française", a assuré Renaud Donnedieu de Vabres.
L'industrie française du jeu vidéo fait face à des côuts de production très élevés, ce qui pousse les éditeurs à délocaliser leurs emplois dans des pays ayant une main d'oeuvre bon marché, ou offrant des aides financières.
"Ubisoft emploie déjà 1.400 personnes à Montréal pour des raisons économiques", a prévenu Jean-Claude Larue, secrétaire général du Sell (Syndicat des editeurs de logiciels de loisirs), ajoutant que "si rien n'est fait dans quelques années, plus aucun jeu ne sera produit en France".
Yves Guillemot, le P-DG d'Ubisoft, a expliqué avoir choisi le Canada car le gouvernement prend en charge à hauteur de 50%, jusqu'en 2007, le salaire de chaque jeune recruté dans le secteur.
"Ce qui nous pénalise en France, c'est l'euro trop cher et le coût du travail", a-t-il dit.
Selon lui, produire un jeu en France coûte deux fois et demi plus cher par personne qu'en Chine et 40% plus cher qu'aux Etats-Unis.
© Reuters 2005. Tous droits réservés.
http://www.liberation.fr/page.php?Article=330655
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Partie gagnante pour le jeu vidéo
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Création en 2006 d'un crédit d'impôt pour les studios français.
Par Christophe ALIX
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jeudi 13 octobre 2005 (Liberation - 06:00)
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le jeu vidéo français tient son crédit d'impôt. Cette vieille revendication d'un secteur autrefois porteur dans l'Hexagone mais qui s'est considérablement affaibli depuis la fin des années 90 est sur le point de devenir une réalité sonnante et trébuchante. En visite hier à Montreuil (Seine-Saint-Denis), dans le studio de création de jeux vidéo du champion français Ubisoft, les ministres de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres, et de l'Industrie, François Loos, ont conjointement annoncé la mise en place «dans les premiers mois de 2006» de cette mesure, avec une enveloppe globale de 30 millions d'euros la première année. «C'est plus que ce qui n'a jamais été fait pour le jeu vidéo dans ce pays, se félicite Guillaume de Fondière, à la tête de l'Apom, une association qui regroupe les studios indépendants français. Cela devrait permettre d'aider les talents à se maintenir en France et pourquoi pas d'en attirer de nouveaux.»
Remboursement. Concrètement, tout studio de développement de jeux vidéo installé sur le territoire français pourra bénéficier d'un remboursement de 20 à 30 % de ses investissements dans le cadre de la création d'un nouveau titre. «Rapporté à la production française actuelle, de l'ordre de 70 à 80 millions d'euros, explique Guillaume de Fondière, cela permettrait de doubler ce montant pour le porter autour de 150 millions d'euros. Autrement dit, plus de titres et plus d'emplois.» Calqué sur le modèle des crédits d'impôt qui s'appliquent aux secteurs de la recherche ou du cinéma, ce dispositif doit encore obtenir l'aval de Bruxelles, très sourcilleux sur les aides publiques. D'où l'insistance de Renaud Donnedieu de Vabres à bien marquer l'appartenance du secteur au monde des industries culturelles, en défendant l'existence d'un jeu vidéo français avec un grand F, vecteur de diversité culturelle.
Clé sous la porte. Confronté à une vague de délocalisations très importante vers l'Asie et l'Amérique du Nord ces dernières années, notamment au Québec où la mise en place d'un crédit d'impôt a permis d'attirer à Montréal les plus grands noms du secteur (lire ci-dessous), le jeu vidéo français voit ses forces s'amenuiser d'année en année. Sur les 4 000 à 5 000 personnes travaillant en 2000 dans la création de jeux vidéo, il n'en reste plus qu'environ 500 selon le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell). Et si une petite centaine de studios de création subsiste aujourd'hui, pour l'essentiel de moins de 20 salariés, 60 % des studios ont mis la clé sous la porte. «Les jeux produits en France coûtent trop cher, résume une productrice d'Ubisoft. Résultat : les grosses productions vont se monter ailleurs, alors que les talents sont ici.»
Je laisse les journalistes vous expliquer tout ça, et rendez-vous début 2006 pou vérifier que tout est arrivé à bon port.
1er coup de feu récent le 1er octobre :
http://www.afjv.com/press0510/051005_cr ... uction.htm
Edition du 05.10.05
Le Ministre de la Culture et de la communication, M. Donnedieu de Vabres, s’est prononcé jeudi 1er octobre en faveur de la mise en place d’un mécanisme de crédit d’impôt bénéficiant à la filière jeu vidéo française.
Pour le Ministre « Il est nécessaire de reconnaître la création de produits interactifs et de jeux vidéo comme une nouvelle industrie culturelle à part entière dans laquelle il faut protéger la diversité ». « Nous devons élargir notre action culturelle, en mettant en place un crédit d'impôt destiné à soutenir la production de création multimédia interactive et de jeu vidéo, dès que la négociation engagée avec la commission européenne le permettra », a-t-il poursuivi.
Pour Guillaume de Fondaumière, Président de l’Association des Producteurs d’œuvres Multimédia, « cette déclaration marque un tournant décisif pour la mise en place d’un crédit d’impôt permettant aux développeurs de jeu vidéo français de continuer à créer des œuvres en France. Je me félicite de cette annonce qui intervient seulement quelques mois après nos premières démarches en ce sens auprès du Ministère de la Culture. »
L’Apom et le Sell, le Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs, rencontreront le 12 octobre prochain de Ministre de la Culture afin de finaliser le projet de crédit d’impôt production dont ils espèrent la mise en place dès le 1er janvier 2006.
Et mardi banco, expliqué par Reuters et complété par Libé :
http://today.reuters.fr/news/newsArticl ... 12T183926Z_
01_DEM267102_RTRIDST_0_OFRIN-FRANCE-JEU-VIDEO-CREDIT-IMPOT-20051012.XML
par Claude Chendjou
MONTREUIL (Reuters) - Le gouvernement étudie la création d'un crédit d'impôt destiné à soutenir et à développer la création française de jeu vidéo, ont annoncé les ministres de la Culture et de l'Industrie, Renaud Donnedieu de Vabres et François Loos.
Le crédit d'impôt, d'un montant de 30 millions d'euros pour la première année, serait mis en place début 2006 si les discussions engagées avec la Commission européenne aboutissent, a déclaré François Loos au cours d'une visite des studios d'Ubisoft, le premier éditeur français de jeux vidéo, à Montreuil.
Les ministres, qui ont ardemment défendu le jeu vidéo comme un produit culturel au même titre que le cinéma et la musique, ont précisé que cette nouvelle aide financière compléterait le Fonds d'aide à l'Edition Multimédia (FAEM).
"Le jeu vidéo est un produit culturel qui ne doit pas devenir uniforme et nous allons utiliser à Bruxelles l'argument de l'exception culturelle pour défendre la création française", a assuré Renaud Donnedieu de Vabres.
L'industrie française du jeu vidéo fait face à des côuts de production très élevés, ce qui pousse les éditeurs à délocaliser leurs emplois dans des pays ayant une main d'oeuvre bon marché, ou offrant des aides financières.
"Ubisoft emploie déjà 1.400 personnes à Montréal pour des raisons économiques", a prévenu Jean-Claude Larue, secrétaire général du Sell (Syndicat des editeurs de logiciels de loisirs), ajoutant que "si rien n'est fait dans quelques années, plus aucun jeu ne sera produit en France".
Yves Guillemot, le P-DG d'Ubisoft, a expliqué avoir choisi le Canada car le gouvernement prend en charge à hauteur de 50%, jusqu'en 2007, le salaire de chaque jeune recruté dans le secteur.
"Ce qui nous pénalise en France, c'est l'euro trop cher et le coût du travail", a-t-il dit.
Selon lui, produire un jeu en France coûte deux fois et demi plus cher par personne qu'en Chine et 40% plus cher qu'aux Etats-Unis.
© Reuters 2005. Tous droits réservés.
http://www.liberation.fr/page.php?Article=330655
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Partie gagnante pour le jeu vidéo
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Création en 2006 d'un crédit d'impôt pour les studios français.
Par Christophe ALIX
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jeudi 13 octobre 2005 (Liberation - 06:00)
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le jeu vidéo français tient son crédit d'impôt. Cette vieille revendication d'un secteur autrefois porteur dans l'Hexagone mais qui s'est considérablement affaibli depuis la fin des années 90 est sur le point de devenir une réalité sonnante et trébuchante. En visite hier à Montreuil (Seine-Saint-Denis), dans le studio de création de jeux vidéo du champion français Ubisoft, les ministres de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres, et de l'Industrie, François Loos, ont conjointement annoncé la mise en place «dans les premiers mois de 2006» de cette mesure, avec une enveloppe globale de 30 millions d'euros la première année. «C'est plus que ce qui n'a jamais été fait pour le jeu vidéo dans ce pays, se félicite Guillaume de Fondière, à la tête de l'Apom, une association qui regroupe les studios indépendants français. Cela devrait permettre d'aider les talents à se maintenir en France et pourquoi pas d'en attirer de nouveaux.»
Remboursement. Concrètement, tout studio de développement de jeux vidéo installé sur le territoire français pourra bénéficier d'un remboursement de 20 à 30 % de ses investissements dans le cadre de la création d'un nouveau titre. «Rapporté à la production française actuelle, de l'ordre de 70 à 80 millions d'euros, explique Guillaume de Fondière, cela permettrait de doubler ce montant pour le porter autour de 150 millions d'euros. Autrement dit, plus de titres et plus d'emplois.» Calqué sur le modèle des crédits d'impôt qui s'appliquent aux secteurs de la recherche ou du cinéma, ce dispositif doit encore obtenir l'aval de Bruxelles, très sourcilleux sur les aides publiques. D'où l'insistance de Renaud Donnedieu de Vabres à bien marquer l'appartenance du secteur au monde des industries culturelles, en défendant l'existence d'un jeu vidéo français avec un grand F, vecteur de diversité culturelle.
Clé sous la porte. Confronté à une vague de délocalisations très importante vers l'Asie et l'Amérique du Nord ces dernières années, notamment au Québec où la mise en place d'un crédit d'impôt a permis d'attirer à Montréal les plus grands noms du secteur (lire ci-dessous), le jeu vidéo français voit ses forces s'amenuiser d'année en année. Sur les 4 000 à 5 000 personnes travaillant en 2000 dans la création de jeux vidéo, il n'en reste plus qu'environ 500 selon le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell). Et si une petite centaine de studios de création subsiste aujourd'hui, pour l'essentiel de moins de 20 salariés, 60 % des studios ont mis la clé sous la porte. «Les jeux produits en France coûtent trop cher, résume une productrice d'Ubisoft. Résultat : les grosses productions vont se monter ailleurs, alors que les talents sont ici.»
Pourquoi ?
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
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Ouais enfin le but c'est pas de faire un jeu gratuitement et puis déjà que l'état s'interesse a ca, ca releve plus du miracle qu'autre chose ... alors faut le prendre tel quel et pas commencer a cracher dans la soupe. enfin je dis ca mais je m'en fous ... de toute facon EA va tout bouffer !Toad San a écrit :Que le gouvernement décide enfin cette mesure du crédit d'impot est une bonne chose, mais sincèrement qu'est-ce que 30 millions aujourd'hui dans le jeu vidéo ? Pas grand chose, je le crains quand on sait qu'un jeu coute en moyenne une dizaine de millions à produire.

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Tain y'a vraiment des jamais contents.Toad San a écrit :Que le gouvernement décide enfin cette mesure du crédit d'impot est une bonne chose, mais sincèrement qu'est-ce que 30 millions aujourd'hui dans le jeu vidéo ? Pas grand chose, je le crains quand on sait qu'un jeu coute en moyenne une dizaine de millions à produire.

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De ce que j'en sais ce qu'il faut surtout, et c'est bien plus compliqué, c'est alléger la paperasserie et les coûts de gestion. À ce que j'ai vu, c'est nettement pire en France par rapport à ici et on est largement pire que les États-Unis alors j'imagine que ça ne doit pas être facile de gérer une entreprise en France :o
- Mortal
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Désolé de la tardive réponse, 20h-21h30. Le streaming sur Internet sera bientôt disponible.Sneaky Snake a écrit :Vers quel heure ton emission?
Bien vu gars...Martinus a écrit :De ce que j'en sais ce qu'il faut surtout, et c'est bien plus compliqué, c'est alléger la paperasserie et les coûts de gestion. À ce que j'ai vu, c'est nettement pire en France par rapport à ici et on est largement pire que les États-Unis alors j'imagine que ça ne doit pas être facile de gérer une entreprise en France :o
Enfin, cette mesure a surtout une portée symbolique : c'est la reconnaissance en France que le jeu vidéo est une culture à part entière... Et ça, c'est pas rien !
- Matt
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