Où l'on reparle d'Eidos l'Arlésienne :
http://www.gamesindustry.biz/content_page.php?aid=6959
Alors ? C'est qui ? C'est qui ? EA ? Take Two ? EA ? Thq ? Ubi ? EA ? Sega ? EA ?
Non, ça serait... Rupert Murdoch.......
Qui si je me rappelle bien possède, entre autres, Fox News aux Etats-Unis...
Prudence tout de même, l'action Eidos se casse la gueule en ce moment même, ce qui est plutôt étonnant s'il y a réellement un rachat dans l'air.
Au meurtre ! Au feu ! A l'assassinat, Ubi se fait bouffer !
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Orin
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Pourquoi ?
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
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Ubi Soft : Enfin une bonne nouvelle ?
Alors que les dernières nouvelles étaient peu rassurantes, on apprend qu'Ubi serait en contact avec un important fond américain.
Ubisoft : l'ancien dirigeant d'Electronic Arts à la rescousse ?
24/02/2005 | 07:06:00
Ubisoft, qui cherche toujours à se prémunir contre un éventuel raid de son nouvel actionnaire Electronic Arts (qui a pris près de 20% du capital sans concertation), explore de multiples pistes. Parmi elles, figure le fonds américain Elevation Partners, indique 'Les Echos' ce jour, dirigé par l'ancien patron du géant américain, John Riccitiello, et qui comprend quelques personnalités en vue dont... Bono, le leader du groupe de rock irlandais U2.
Yves Guillemot, le patron d'Ubi, a confirmé au quotidien financier être en contact régulier avec le fonds, sans vouloir en dire plus, tandis que Riccitiello n'a pas souhaité commenter, Elevation Partners étant en train de boucler un financement de 2 Milliards de Dollars. Le président de l'éditeur français continue à affirmer qu'il explore de multiples pistes pour tenter de préserver son indépendance par rapport à "l'ogre" EA.
Alors que les dernières nouvelles étaient peu rassurantes, on apprend qu'Ubi serait en contact avec un important fond américain.
Ubisoft : l'ancien dirigeant d'Electronic Arts à la rescousse ?
24/02/2005 | 07:06:00
Ubisoft, qui cherche toujours à se prémunir contre un éventuel raid de son nouvel actionnaire Electronic Arts (qui a pris près de 20% du capital sans concertation), explore de multiples pistes. Parmi elles, figure le fonds américain Elevation Partners, indique 'Les Echos' ce jour, dirigé par l'ancien patron du géant américain, John Riccitiello, et qui comprend quelques personnalités en vue dont... Bono, le leader du groupe de rock irlandais U2.
Yves Guillemot, le patron d'Ubi, a confirmé au quotidien financier être en contact régulier avec le fonds, sans vouloir en dire plus, tandis que Riccitiello n'a pas souhaité commenter, Elevation Partners étant en train de boucler un financement de 2 Milliards de Dollars. Le président de l'éditeur français continue à affirmer qu'il explore de multiples pistes pour tenter de préserver son indépendance par rapport à "l'ogre" EA.
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AOF le 28/02/2005 18:55
UBISOFT fait son entrée dans les jeux de sport
(AOF) - Ubisoft fait son entrée dans les jeux de sports. Ce positionnement stratégique s'appuie sur plusieurs accords de licences mondiales et acquisitions. Ubisoft a signé une licence exclusive avec Vijay Singh, le joueur de golf numéro 1 mondial, pour produire un jeu de golf intitulé Vijay Singh. La société a également acquis les marques de sports d'équipes de Microsoft Game Studios.
Considéré comme l'un des golfeurs les plus constants et déterminés du circuit, Vijay Singh sera la référence d'un jeu inspiré de son style convaincant et agressif. Alors qu'il était constamment classé dans le Top 10 des joueurs internationaux, en 2004, Singh, grâce à 9 victoires incluant celle du Championnat PGA en Août 2004, est devenu le 1er golfeur à détrôner Tiger Woods de sa place de n°1 mondial détenue depuis 1998. Singh a commencé l'année 2005 sous de bons auspices en gagnant le Sony Open à Hawaï. Fidèle au sens de son prénom (Vijay signifie " victoire " en hindi), le titre publié par Ubisoft permettra aux joueurs de relever eux-mêmes les défis que Singh a remportés.
Ubisoft annonce également l'acquisition de la technologie, des outils et du code source des jeux de sports d'équipes de Microsoft Game Studios, comprenant NHL Rivals (hockey), NFL Fever (football américain), NBA Inside Drive (basketball) et MLB Inside Pitch (baseball). Ubisoft prévoit de développer des jeux sur toutes les plates-formes et se concentrera initialement sur les consoles, incluant la Xbox et les consoles nouvelle génération.
Plusieurs choses mais rapidement parce que j'ai peu de temps :
- cet achat peut être vu comme une sorte de pilule empoisonnée puisqu'elle crée des doublons (licences MS) voire des concurrents sérieux (Golf), néanmoins il faut relativiser, Ubi n'a pas mis la main sur LA pépite : Top Spin. Alors est-ce ou non une si grosse opération ?
- ce communiqué a été publié vers 19 h
- l'action Ubi stable toute la journée s'est soudainement effondrée dans les 5 dernières minutes de bourse aujourd'hui : erreur (à 2 millions d'euros !) ou bien délit d'initié ? Si c'en est un, on peut dire qu'il sait se faire discret...
- certains sites se laissent à dire que la piste citée plus haut deviendraient de plus en plus sérieuse... Rumeur rumeur cependant.
- C'est tout, bonne nuit !
UBISOFT fait son entrée dans les jeux de sport
(AOF) - Ubisoft fait son entrée dans les jeux de sports. Ce positionnement stratégique s'appuie sur plusieurs accords de licences mondiales et acquisitions. Ubisoft a signé une licence exclusive avec Vijay Singh, le joueur de golf numéro 1 mondial, pour produire un jeu de golf intitulé Vijay Singh. La société a également acquis les marques de sports d'équipes de Microsoft Game Studios.
Considéré comme l'un des golfeurs les plus constants et déterminés du circuit, Vijay Singh sera la référence d'un jeu inspiré de son style convaincant et agressif. Alors qu'il était constamment classé dans le Top 10 des joueurs internationaux, en 2004, Singh, grâce à 9 victoires incluant celle du Championnat PGA en Août 2004, est devenu le 1er golfeur à détrôner Tiger Woods de sa place de n°1 mondial détenue depuis 1998. Singh a commencé l'année 2005 sous de bons auspices en gagnant le Sony Open à Hawaï. Fidèle au sens de son prénom (Vijay signifie " victoire " en hindi), le titre publié par Ubisoft permettra aux joueurs de relever eux-mêmes les défis que Singh a remportés.
Ubisoft annonce également l'acquisition de la technologie, des outils et du code source des jeux de sports d'équipes de Microsoft Game Studios, comprenant NHL Rivals (hockey), NFL Fever (football américain), NBA Inside Drive (basketball) et MLB Inside Pitch (baseball). Ubisoft prévoit de développer des jeux sur toutes les plates-formes et se concentrera initialement sur les consoles, incluant la Xbox et les consoles nouvelle génération.
Plusieurs choses mais rapidement parce que j'ai peu de temps :
- cet achat peut être vu comme une sorte de pilule empoisonnée puisqu'elle crée des doublons (licences MS) voire des concurrents sérieux (Golf), néanmoins il faut relativiser, Ubi n'a pas mis la main sur LA pépite : Top Spin. Alors est-ce ou non une si grosse opération ?
- ce communiqué a été publié vers 19 h
- l'action Ubi stable toute la journée s'est soudainement effondrée dans les 5 dernières minutes de bourse aujourd'hui : erreur (à 2 millions d'euros !) ou bien délit d'initié ? Si c'en est un, on peut dire qu'il sait se faire discret...
- certains sites se laissent à dire que la piste citée plus haut deviendraient de plus en plus sérieuse... Rumeur rumeur cependant.
- C'est tout, bonne nuit !
Pourquoi ?
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
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AOF le 03/03/2005 08:53
UBISOFT reprend une partie des activités canadiennes de MC2-Microïds
(AOF) - Ubisoft, l'un des plus grands éditeurs de jeux vidéo au monde, a annoncé hier la signature d'une entente qui prévoit qu'une partie des activités canadiennes de développement du groupe MC2-Microïds (Microïds Canada) passera sous le contrôle de son studio montréalais. La clôture de la transaction est sujette à certaines conditions pré-établies entre les deux parties. Les termes financiers de l'entente n'ont pas été dévoilés.
En vertu de cette entente, la cinquantaine d'employés que compte Microïds Canada sera intégrée aux équipes de développement d'Ubisoft à Montréal. Cet accord n'inclut pas les différentes propriétés intellectuelles du groupe MC2-Microïds ainsi que les projets actuellement en cours de développement.
Traduction probable : 50 personnes, pas de licence, petit deal. Pour ce qui est du talent de ces développeurs, fraudra voir leur travail sur Still Life qui sort en avril.
M'enfin Ubi bouge petit à petit, il ne serait pas étonnant d'avoir une annonce de rapprochement avec un studio spécialisé dans le sport parce que de ce côté-là ils manquent un peu d'expérience.
UBISOFT reprend une partie des activités canadiennes de MC2-Microïds
(AOF) - Ubisoft, l'un des plus grands éditeurs de jeux vidéo au monde, a annoncé hier la signature d'une entente qui prévoit qu'une partie des activités canadiennes de développement du groupe MC2-Microïds (Microïds Canada) passera sous le contrôle de son studio montréalais. La clôture de la transaction est sujette à certaines conditions pré-établies entre les deux parties. Les termes financiers de l'entente n'ont pas été dévoilés.
En vertu de cette entente, la cinquantaine d'employés que compte Microïds Canada sera intégrée aux équipes de développement d'Ubisoft à Montréal. Cet accord n'inclut pas les différentes propriétés intellectuelles du groupe MC2-Microïds ainsi que les projets actuellement en cours de développement.
Traduction probable : 50 personnes, pas de licence, petit deal. Pour ce qui est du talent de ces développeurs, fraudra voir leur travail sur Still Life qui sort en avril.
M'enfin Ubi bouge petit à petit, il ne serait pas étonnant d'avoir une annonce de rapprochement avec un studio spécialisé dans le sport parce que de ce côté-là ils manquent un peu d'expérience.
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Dans le cul ! Haha !
Reuters le 22/03/2005 00:29
Jeux vidéo - Electronic Arts avertit sur ses résultats 2004/05 *
(Avec baisse du titre en après-Bourse)
LOS ANGELES, 21 mars (Reuters) - L'éditeur de jeux vidéo Electronic Arts , numéro un mondial, a averti lundi après la clôture de Wall Street que ses bénéfices seraient moins bons qu'attendu lors de son exercice fiscal 2004/05 en raison de ventes médiocres en Amérique du Nord et en Europe.
* Le titre a chuté de 12% dans les transactions d'après-Bourse. Plusieurs autres éditeurs de jeux vidéo ont également pâti de cette annonce. Take-Two Interactive , qui publie notamment le jeu à succès "Grand Theft Auto", a cédé 6% après la clôture, et Activision a abandonné 7%.
Electronic Arts prévoit un bénéfice par action situé entre 1,70 et 1,72 dollar hors exceptionnels, pour l'année fiscale 2005 à fin mars, contre 1,90-1,95 dollar auparavant. Elle attend un bénéfice net par action situé entre 1,62 et 1,64 dollar, contre 1,82 à 1,87 dollar auparavant.
Electronic Arts a notamment précisé que ses nouveautés n'avaient pas permis de compenser une "diminution significative" de ses ventes./JSB
AFP le 21/03/2005 23:53
Electronic Arts se dit déçu par ses ventes en Amérique du Nord et Europe
Le numéro un mondial du jeu vidéo, l'américain Electronic Arts, a révisé lundi en baisse d'environ 200 millions de dollars sa prévision de chiffre d'affaires annuel pour l'exercice en cours, en raison de ventes décevantes en Amérique du Nord et en Europe.
Pour l'exercice fiscal 2005 qui sera clos le 31 mars, le groupe table désormais sur un chiffre d'affaires compris entre 3,1 et 3,125 milliards de dollars contre une prévision initiale dans la fourchette 3,275-3,325 milliards USD, a-t-il précisé dans un communiqué.
Les analystes tablaient jusqu'alors sur un chiffre d'affaires de 3,3 mds USD selon la valeur médiane de leurs prévisions calculée par l'agence First Call.
L'abaissement de la prévision résulte "principalement de ventes plus faibles que prévu à la fois en Amérique du Nord et en Europe", selon le communiqué.
"Les résultats sont clairement décevants", a même lancé le PDG Larry Probst, cité dans le communiqué. "Alors que nos nouvelle sorties se vendent raisonnablement bien, elles n'ont pas été capables de compenser un ralentissement significatif des ventes de notre catalogue", a-t-il ajouté.
En termes de bénéfices, le groupe s'attend désormais à un chiffre moyen inférieur de plus de 10% à sa précédente prévision.
Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action de l'exercice 2005 devrait être compris entre 1,70 et 1,72 dollars, contre une prévision initiale dans la fourchette 1,90-1,95 USD. Les analystes tablaient sur 1,93 USD selon First Call.
Vers 22H45 GMT, l'action d'Electronic Arts chutait de 11,9% à 58,45 dollars dans les transactions électroniques hors marché. Elle avait fini la séance officielle à 66,35 USD.
C'est dingue, les jeux clonés, au bout d'un moment ça ne fonctionne plus ! Bon en même temps, faut relativiser, ils ne vont faire "que" 3,2 milliards de dollars de CA...
Espérons que cet enfoiré de Brobst n'en profite pas pour accélérer ses manoeuvres sur Ubi pour récupérer de nouvelles munitions.
Laquelle dérouille depuis plus d'une semaine en Bourse suite à son avertissement sur chiffre d'affaires (mais pas sur les résultats), elle n'est pas encore au mieux de sa forme pour se défendre.
Reuters le 22/03/2005 00:29
Jeux vidéo - Electronic Arts avertit sur ses résultats 2004/05 *
(Avec baisse du titre en après-Bourse)
LOS ANGELES, 21 mars (Reuters) - L'éditeur de jeux vidéo Electronic Arts , numéro un mondial, a averti lundi après la clôture de Wall Street que ses bénéfices seraient moins bons qu'attendu lors de son exercice fiscal 2004/05 en raison de ventes médiocres en Amérique du Nord et en Europe.
* Le titre a chuté de 12% dans les transactions d'après-Bourse. Plusieurs autres éditeurs de jeux vidéo ont également pâti de cette annonce. Take-Two Interactive , qui publie notamment le jeu à succès "Grand Theft Auto", a cédé 6% après la clôture, et Activision a abandonné 7%.
Electronic Arts prévoit un bénéfice par action situé entre 1,70 et 1,72 dollar hors exceptionnels, pour l'année fiscale 2005 à fin mars, contre 1,90-1,95 dollar auparavant. Elle attend un bénéfice net par action situé entre 1,62 et 1,64 dollar, contre 1,82 à 1,87 dollar auparavant.
Electronic Arts a notamment précisé que ses nouveautés n'avaient pas permis de compenser une "diminution significative" de ses ventes./JSB
AFP le 21/03/2005 23:53
Electronic Arts se dit déçu par ses ventes en Amérique du Nord et Europe
Le numéro un mondial du jeu vidéo, l'américain Electronic Arts, a révisé lundi en baisse d'environ 200 millions de dollars sa prévision de chiffre d'affaires annuel pour l'exercice en cours, en raison de ventes décevantes en Amérique du Nord et en Europe.
Pour l'exercice fiscal 2005 qui sera clos le 31 mars, le groupe table désormais sur un chiffre d'affaires compris entre 3,1 et 3,125 milliards de dollars contre une prévision initiale dans la fourchette 3,275-3,325 milliards USD, a-t-il précisé dans un communiqué.
Les analystes tablaient jusqu'alors sur un chiffre d'affaires de 3,3 mds USD selon la valeur médiane de leurs prévisions calculée par l'agence First Call.
L'abaissement de la prévision résulte "principalement de ventes plus faibles que prévu à la fois en Amérique du Nord et en Europe", selon le communiqué.
"Les résultats sont clairement décevants", a même lancé le PDG Larry Probst, cité dans le communiqué. "Alors que nos nouvelle sorties se vendent raisonnablement bien, elles n'ont pas été capables de compenser un ralentissement significatif des ventes de notre catalogue", a-t-il ajouté.
En termes de bénéfices, le groupe s'attend désormais à un chiffre moyen inférieur de plus de 10% à sa précédente prévision.
Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action de l'exercice 2005 devrait être compris entre 1,70 et 1,72 dollars, contre une prévision initiale dans la fourchette 1,90-1,95 USD. Les analystes tablaient sur 1,93 USD selon First Call.
Vers 22H45 GMT, l'action d'Electronic Arts chutait de 11,9% à 58,45 dollars dans les transactions électroniques hors marché. Elle avait fini la séance officielle à 66,35 USD.
C'est dingue, les jeux clonés, au bout d'un moment ça ne fonctionne plus ! Bon en même temps, faut relativiser, ils ne vont faire "que" 3,2 milliards de dollars de CA...
Espérons que cet enfoiré de Brobst n'en profite pas pour accélérer ses manoeuvres sur Ubi pour récupérer de nouvelles munitions.
Laquelle dérouille depuis plus d'une semaine en Bourse suite à son avertissement sur chiffre d'affaires (mais pas sur les résultats), elle n'est pas encore au mieux de sa forme pour se défendre.
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Eidos : c'est fait.
(Heu non en fait, pas encore !)
Eidos accepts £71 million offer from Riccitiello's Elevation Partners
Illustration
Rob Fahey 00:39 22/03/2005
Long saga of Eidos' buyout ends as Riccitiello and Bono's equity firm signs a deal
Former EA president John Riccitiello is back in the games business, after beleaguered British publisher Eidos tonight accepting a £71 million buyout bid from Elevation Partners, the private equity firm which he co-founded last year.
Elevation's offer for Eidos values each share in the company at 50 pence - significantly ahead of the Monday closing price of 44.75 pence, but only around a third of the company's valuation this time last year.
Eidos confirmed tonight that its board has accepted the offer, and will be recommending it to shareholders - with chairman John van Kuffeler commenting that "the board firmly believes that shareholders' interests are best served by a sale of the company."
New owner Elevation Partners LP was formed in mid-2004 by John Riccitiello, fresh from a stint as president of Electronic Arts, and entrepreneur Roger McNamee, and has since added a number of high profile managing partners - including U2's lead singer Paul Hewson, better known by his stage name Bono.
What the firm plans to do with Eidos is as yet unknown, but its offer for the publisher came not a moment too soon - as Eidos needed to find a buyer by March 25th under the terms of its new financing agreement with the Royal Bank of Scotland.
(Heu non en fait, pas encore !)
Eidos accepts £71 million offer from Riccitiello's Elevation Partners
Illustration
Rob Fahey 00:39 22/03/2005
Long saga of Eidos' buyout ends as Riccitiello and Bono's equity firm signs a deal
Former EA president John Riccitiello is back in the games business, after beleaguered British publisher Eidos tonight accepting a £71 million buyout bid from Elevation Partners, the private equity firm which he co-founded last year.
Elevation's offer for Eidos values each share in the company at 50 pence - significantly ahead of the Monday closing price of 44.75 pence, but only around a third of the company's valuation this time last year.
Eidos confirmed tonight that its board has accepted the offer, and will be recommending it to shareholders - with chairman John van Kuffeler commenting that "the board firmly believes that shareholders' interests are best served by a sale of the company."
New owner Elevation Partners LP was formed in mid-2004 by John Riccitiello, fresh from a stint as president of Electronic Arts, and entrepreneur Roger McNamee, and has since added a number of high profile managing partners - including U2's lead singer Paul Hewson, better known by his stage name Bono.
What the firm plans to do with Eidos is as yet unknown, but its offer for the publisher came not a moment too soon - as Eidos needed to find a buyer by March 25th under the terms of its new financing agreement with the Royal Bank of Scotland.
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Eidos : c'est la guerre.
Reuters le 22/03/2005 18:53
Jeux vidéo - Bataille pour la reprise du britannique Eidos*
(Avec commentaires du DG d'Eidos, cours en clôture §4-7, 10)
LONDRES, 22 mars (Reuters) - Une bataille s'est engagée mardi pour la reprise de l'éditeur britannique de jeux vidéo Eidos , son compatriote et concurrent SCI Entertainment Group annonçant une contre-offre de 76 millions de livres (144 millions de dollars) sur le concepteur de la série Tomb Raider.
Cette proposition est plus généreuse que celle de 71 millions de livres présentée par le fonds d'investissement américain Elevation Partners LP, qui compte le chanteur de U2 Bono parmi ses partenaires.
Dans un communiqué, SCI précise offrir une de ses actions pour six actions Eidos, ce qui selon lui évalue le titre Eidos à 53,6 pence, alors que l'offre d'Elevation Partners atteint un prix unitaire de 50 pence.
* Eidos a fait savoir qu'il avait pris acte de l'offre de SCI, qu'il examinera. Son directeur général, Mike McGarvey, a relevé que la proposition de SCI était une offre en actions, alors que celle d'Elevation est en numéraire.
* "Le conseil d'administration devra comprendre la logique derrière cette offre en actions. SCI est une entreprise différente, c'est une entreprise beaucoup plus modeste", a-t-il dit.
* Elevation Partners n'a pas fait de commentaire.
* Le titre Eidos a clôturé en hausse de 27,9% à 57,25 pence à la Bourse de Londres, ce qui suggère que les investisseurs tablent sur une poursuite de la bataille.
Le titre SCI, qui lève environ 60 millions de livres via un placement sur le marché afin de financer l'opération, a fini en hausse de 3,7% à 328 pence. Le placement est pleinement souscrit par KBC Peel Hunt à un prix de 300 pence par titre.
Le gérant de fonds britannique Schroders, actionnaire d'Eidos à plus de 20%, a prévenu qu'il soutiendrait l'offre de SCI. "Nous avons souffert en tant qu'actionnaires d'Eidos et nous pensons qu'avec une nouvelle équipe de direction, nous pourrions regagner un peu de valeur", a déclaré un cadre de la société.
* Mike McGarvey a réagi à ces propos en assurant qu'ils n'accentuaient pas la pression sur le conseil d'Eidos. "Nous avons une obligation envers tous les actionnaires, pas seulement un", a-t-il dit.
Eidos a annoncé il y a deux semaines une perte sur les six mois au 30 décembre pour un chiffre d'affaires en chute de 60%, en raison de faibles ventes de ses jeux sur PC et du retard dans le lancement de nouveaux titres.
SCI a estimé que l'acquisition d'Eidos augmenterait son résultat dès la première année pleine d'intégration. La directrice générale de SCI, Jane Cavanagh, a estimé que les récents déboires financiers d'Eidos ne reflétaient pas le potentiel de la marque.
La banque UBS est conseil d'Eidos, tandis que Lehman Brothers travaille avec Elevation Partners./JSB
Sinon, je ne peux résister à l'envie de vous annoncer que EA, suite à son avertissement de résultats d'hier, se casse la gueule de 13% sur la bourse américaine en ce moment même. Ça ne leur enlève en rien leur capacité de nuisance (au contraire) mais ça fait du bien de les voir dérouiller !
Reuters le 22/03/2005 18:53
Jeux vidéo - Bataille pour la reprise du britannique Eidos*
(Avec commentaires du DG d'Eidos, cours en clôture §4-7, 10)
LONDRES, 22 mars (Reuters) - Une bataille s'est engagée mardi pour la reprise de l'éditeur britannique de jeux vidéo Eidos , son compatriote et concurrent SCI Entertainment Group annonçant une contre-offre de 76 millions de livres (144 millions de dollars) sur le concepteur de la série Tomb Raider.
Cette proposition est plus généreuse que celle de 71 millions de livres présentée par le fonds d'investissement américain Elevation Partners LP, qui compte le chanteur de U2 Bono parmi ses partenaires.
Dans un communiqué, SCI précise offrir une de ses actions pour six actions Eidos, ce qui selon lui évalue le titre Eidos à 53,6 pence, alors que l'offre d'Elevation Partners atteint un prix unitaire de 50 pence.
* Eidos a fait savoir qu'il avait pris acte de l'offre de SCI, qu'il examinera. Son directeur général, Mike McGarvey, a relevé que la proposition de SCI était une offre en actions, alors que celle d'Elevation est en numéraire.
* "Le conseil d'administration devra comprendre la logique derrière cette offre en actions. SCI est une entreprise différente, c'est une entreprise beaucoup plus modeste", a-t-il dit.
* Elevation Partners n'a pas fait de commentaire.
* Le titre Eidos a clôturé en hausse de 27,9% à 57,25 pence à la Bourse de Londres, ce qui suggère que les investisseurs tablent sur une poursuite de la bataille.
Le titre SCI, qui lève environ 60 millions de livres via un placement sur le marché afin de financer l'opération, a fini en hausse de 3,7% à 328 pence. Le placement est pleinement souscrit par KBC Peel Hunt à un prix de 300 pence par titre.
Le gérant de fonds britannique Schroders, actionnaire d'Eidos à plus de 20%, a prévenu qu'il soutiendrait l'offre de SCI. "Nous avons souffert en tant qu'actionnaires d'Eidos et nous pensons qu'avec une nouvelle équipe de direction, nous pourrions regagner un peu de valeur", a déclaré un cadre de la société.
* Mike McGarvey a réagi à ces propos en assurant qu'ils n'accentuaient pas la pression sur le conseil d'Eidos. "Nous avons une obligation envers tous les actionnaires, pas seulement un", a-t-il dit.
Eidos a annoncé il y a deux semaines une perte sur les six mois au 30 décembre pour un chiffre d'affaires en chute de 60%, en raison de faibles ventes de ses jeux sur PC et du retard dans le lancement de nouveaux titres.
SCI a estimé que l'acquisition d'Eidos augmenterait son résultat dès la première année pleine d'intégration. La directrice générale de SCI, Jane Cavanagh, a estimé que les récents déboires financiers d'Eidos ne reflétaient pas le potentiel de la marque.
La banque UBS est conseil d'Eidos, tandis que Lehman Brothers travaille avec Elevation Partners./JSB
Sinon, je ne peux résister à l'envie de vous annoncer que EA, suite à son avertissement de résultats d'hier, se casse la gueule de 13% sur la bourse américaine en ce moment même. Ça ne leur enlève en rien leur capacité de nuisance (au contraire) mais ça fait du bien de les voir dérouiller !
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EA : Glouglou...
Electronic Arts : Piper Jaffray pense que la déconvenue est propre au groupe
22/03/2005 - 16h40
"Si vous pensiez que le communiqué de presse était mauvais, la conférence téléphonique était encore pire". C'est ainsi que le spécialiste jeux vidéo de Piper Jaffray a décrit l'annonce de l'avertissement d'Electronic Arts. Les raisons invoquées par le management pour expliquer la déconvenue sont au nombre de 5 :
- les ruptures de stocks dans les consoles
- la maigre performance au T4 des jeux publiés au T3
- la maigre performance au T4 des jeux publiés au T4
- la sortie repoussée de la PSP en Europe
- les ventes de fond de catalogue inférieures aux attentes
Le courtier en ajoute 3. D'une part la multitude de jeux lancés par 'EA' en décembre, d'autre part le report de 3 titres sur le prochain exercice, et enfin le report de ventes et des bénéfices liés sur le prochain exercice pour améliorer son profil. Le courtier est assez rassuré sur ses anticipations pour les autres dossiers du secteur, car il estime que les problèmes sont spécifiques à EA.
Piper Jaffray réduit ses anticipations 2004 / 2005 et 2005 / 2006 sur le dossier. Il abaisse son objectif de cours de 72 à 67,50$, mais reste positif à "Surperformance" sur la valeur en indiquant qu'il achètera sous les 60$ aujourd'hui.
Nd Orin : Faut-il être devin pour comprendre que sortir des suites copié-collées ou des jeux baclés accolés à une licence, ça ne fonctionne pas à long terme ?
A bon entendeur, salut Ubi
Electronic Arts : Piper Jaffray pense que la déconvenue est propre au groupe
22/03/2005 - 16h40
"Si vous pensiez que le communiqué de presse était mauvais, la conférence téléphonique était encore pire". C'est ainsi que le spécialiste jeux vidéo de Piper Jaffray a décrit l'annonce de l'avertissement d'Electronic Arts. Les raisons invoquées par le management pour expliquer la déconvenue sont au nombre de 5 :
- les ruptures de stocks dans les consoles
- la maigre performance au T4 des jeux publiés au T3
- la maigre performance au T4 des jeux publiés au T4
- la sortie repoussée de la PSP en Europe
- les ventes de fond de catalogue inférieures aux attentes
Le courtier en ajoute 3. D'une part la multitude de jeux lancés par 'EA' en décembre, d'autre part le report de 3 titres sur le prochain exercice, et enfin le report de ventes et des bénéfices liés sur le prochain exercice pour améliorer son profil. Le courtier est assez rassuré sur ses anticipations pour les autres dossiers du secteur, car il estime que les problèmes sont spécifiques à EA.
Piper Jaffray réduit ses anticipations 2004 / 2005 et 2005 / 2006 sur le dossier. Il abaisse son objectif de cours de 72 à 67,50$, mais reste positif à "Surperformance" sur la valeur en indiquant qu'il achètera sous les 60$ aujourd'hui.
Nd Orin : Faut-il être devin pour comprendre que sortir des suites copié-collées ou des jeux baclés accolés à une licence, ça ne fonctionne pas à long terme ?
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Orin
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Ouaip, malheureusement Fifa Street semble parti pour faire un carton, et je ne parle même pas du fric qu'ils vont faire avec Batman, le film s'annonce autrement plus ambitieux que Catwoman. Plus Le Parrain et Harry pétard à la fin de l'année, Burnout 4, etc... ça va en faire du pognon.
Bon sinon, ça commençait à faire longtemps qu'on n'entendait plus parler de cette sombre affaire :
AOF le 01/04/2005 14:52
Franchissements de seuils au sein de GAMELOFT
(AOF) - Par courrier en date du 30 mars 2005, reçu le 31 mars 2005, la société Guillemot Brothers SA, contrôlée au plus haut niveau par les membres de la famille Guillemot, a déclaré avoir franchi les seuils suivants:
- individuellement, en baisse, le 23 mars 2005, par suite de la diminution du nombre de droits de vote consécutive à la mise au porteur d'une partie des actions GAMELOFT détenues par Guillemot Brothers SA, le seuil de 20% des droits de vote de la société GAMELOFT ;
- de concert avec Guillemot Corporation, les membres de la famille Guillemot et Ubisoft Entertainment, en baisse, le 23 mars 2005, par suite de la cession d'une partie des actions GAMELOFT détenues par Guillemot Brothers SA, le seuil des deux tiers du capital de la société GAMELOFT.
Le concert existant entre Guillemot Corporation, Guillemot Brothers SA[1], les membres de la famille Guillemot et Ubisoft Entertainment détient désormais 42 278 635 actions GAMELOFT représentant 54 400 846 droits de vote, soit 65,48% du capital et 70,88% des droits de vote de cette société.
Ne me demandez pas si c'est normal-prévu ou non, je suis incapable de répondre. Les 2 informations à retenir c'est qu'ils sont toujours largement majoritaires dans Gameloft mais qu'il y a eu cession d'actions.
Bon sinon, ça commençait à faire longtemps qu'on n'entendait plus parler de cette sombre affaire :
AOF le 01/04/2005 14:52
Franchissements de seuils au sein de GAMELOFT
(AOF) - Par courrier en date du 30 mars 2005, reçu le 31 mars 2005, la société Guillemot Brothers SA, contrôlée au plus haut niveau par les membres de la famille Guillemot, a déclaré avoir franchi les seuils suivants:
- individuellement, en baisse, le 23 mars 2005, par suite de la diminution du nombre de droits de vote consécutive à la mise au porteur d'une partie des actions GAMELOFT détenues par Guillemot Brothers SA, le seuil de 20% des droits de vote de la société GAMELOFT ;
- de concert avec Guillemot Corporation, les membres de la famille Guillemot et Ubisoft Entertainment, en baisse, le 23 mars 2005, par suite de la cession d'une partie des actions GAMELOFT détenues par Guillemot Brothers SA, le seuil des deux tiers du capital de la société GAMELOFT.
Le concert existant entre Guillemot Corporation, Guillemot Brothers SA[1], les membres de la famille Guillemot et Ubisoft Entertainment détient désormais 42 278 635 actions GAMELOFT représentant 54 400 846 droits de vote, soit 65,48% du capital et 70,88% des droits de vote de cette société.
Ne me demandez pas si c'est normal-prévu ou non, je suis incapable de répondre. Les 2 informations à retenir c'est qu'ils sont toujours largement majoritaires dans Gameloft mais qu'il y a eu cession d'actions.
Pourquoi ?
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
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Orin
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http://www.ubisoftgroup.com/News/Info.aspx?nId=2722
28/04/2005 - Chiffre d’affaires du 4ème trimestre 2004-2005 : 221 millions d’euros
Chiffre d’affaires du 4ème trimestre 2004-2005 : 221 millions d’euros,
(+50 % à taux de change constant)
2004-2005 : 17 millions d’unités vendues sur 8 marques majeures,
Cash flow opérationnel* supérieur à 50 millions d’euros
Accélération de la croissance en fin d’exercice
• 4ème trimestre 2004-2005 record :
La toute nouvelle marque : Brothers In Arms Road to Hill 30TM, vendue à 1,7 millions d’unités s’impose comme une référence indiscutable dans le secteur des jeux de tir historique et confirme son potentiel à long terme. Le nouvel opus de la marque Tom Clancy’s Splinter Cell® a également connu un lancement très réussi avec 2,5 millions d’unités commercialisées. Par ailleurs, Ubisoft a fait une entrée en force sur le segment des nouvelles consoles portables avec Asphalt Urban GT TM et Rayman 2005 sur Nintendo DS™, qui se sont vendus à 740 000 unités sur l’ensemble de l’exercice.
Grâce aux bonnes performances de ces produits, Ubisoft s’est classé 3ème éditeur indépendant sur consoles aux Etats-Unis** sur le mois de mars et 5ème sur le 1er trimestre. Sur cette période, le Groupe est également 2ème au Royaume-Uni et 3ème éditeur indépendant en Allemagne**.
• Chiffre d’affaires 2004-2005 : Succès de la stratégie de création de marques
Sur l’ensemble de l’année, Ubisoft a réalisé un chiffre d’affaires de 537 millions d’euros soit une croissance de 8% à taux de change constant. Le Groupe a poursuivi sa stratégie de création de marques avec désormais un portefeuille de 8 marques majeures qui ont généré 17 millions d’unités vendues, soit 65% de l’activité, dont :
- 5,1 millions d’unités sur la marque Tom Clancy’s Splinter Cell®
- 3 millions d’unités sur la marque Prince of Persia ®
- 2,8 millions d’unités sur la marque Tom Clancy’s Ghost Recon®
- 1,7 millions d’unités sur la marque Brothers in Arms Road to Hill 30TM
Révision en hausse des anticipations de cash flow 2004-2005
• Le cash flow opérationnel (hors acquisitions) est désormais attendu à plus de 50 millions d’euros. Cette performance provient d’une génération de flux de trésorerie d’exploitation élevée ainsi que d’une maîtrise continue du Besoin en Fonds de Roulement. Compte tenu des acquisitions réalisées dans l’année et des augmentations de capital, la dette nette au 31 mars 2005 devrait être d’environ 82 millions d’euros contre 119 millions d’euros au 31 Mars 2004.
• Par ailleurs le Groupe confirme ses anticipations de résultats annuels 2004-2005 :
- Résultat d’exploitation compris entre 40 à 45 millions d’euros en normes comptables françaises et 38 à 43 millions d’euros en pro forma*.
- Résultat net hors éléments exceptionnels (avant amortissement des écarts d’acquisition et des fonds commerciaux) compris entre 18 et 22 millions d’euros en normes comptables françaises et entre 17 à 21 millions d’euros en pro forma*.
Perspectives à moyen terme et objectifs 2005-2006
• Ubisoft anticipe une croissance organique à deux chiffres sur les prochaines années grâce :
o Au renforcement de sa capacité de création en recrutant 600 nouveaux talents pour atteindre un effectif de production de 2 900 personnes au 31 Mars 2006.
o A l’entrée en force sur de nouveaux segments. Ainsi, sur l’année 2005-2006 :
- Le segment des licences cinématographiques avec 2 des films les plus attendus de l’année
- Le segment « Sport » avec AND 1® Streetball [PlayStation®2/Xbox®]
- Le segment « Stratégie » avec Heroes of Might & Magic® V [PC]
o A la montée en puissance sur les nouvelles consoles : 7 titres seront lancés sur Nintendo DS™, 5 sur PlayStation® Portable de Sony (PSP™) et 4 sur la nouvelle console de Microsoft.
• Objectifs 2005-2006
- Premier semestre 2005-2006 : chiffres d’affaires de l’ordre de 155 millions d’euros (soit une croissance supérieur à 20% à taux constant) dont 42 millions au titre du 1er trimestre.
- Progression annuelle de 12 % du chiffre d’affaires à taux de change constant
- Résultat d’exploitation de plus de 55 millions d’euros en normes comptables françaises
- Résultat net hors éléments exceptionnels (avant amortissement des écarts d’acquisition et des fonds commerciaux) supérieur à 28 millions d’euros en normes comptables françaises
- Des flux nets de trésorerie disponibles avant acquisition supérieurs à 40 millions d’euros.
« Ubisoft a atteint une nouvelle dimension en générant pour la 2ème année consécutive un fort cash flow opérationnel, tout en accroissant ses investissements en production. Le groupe a désormais la capacité d’accélérer sa stratégie d’investissement et de création de marques, garants de la croissance de sa rentabilité à long terme. Les produits sur la nouvelle génération de consoles présentés au salon mondial du jeu vidéo (E3 – Los Angeles) vont donner la mesure de la nouvelle étape que nous avons franchie. » a déclaré Yves Guillemot, Président d’Ubisoft.
Les résultats de l’exercice 2004-2005 seront publiés et commentés lors de la réunion qui se tiendra le 16 juin prochain.
En résumé, c'est bien, pas mal du tout, mais c'est surtout pour la suite que ça promet. A noter ce passage encourageant :
"Le groupe a désormais la capacité d’accélérer sa stratégie d’investissement et de création de marques, garants de la croissance de sa rentabilité à long terme."
On a de l'espoir.
Et, malheureusement, EA a fait un très bon investissement pour l'instant.
28/04/2005 - Chiffre d’affaires du 4ème trimestre 2004-2005 : 221 millions d’euros
Chiffre d’affaires du 4ème trimestre 2004-2005 : 221 millions d’euros,
(+50 % à taux de change constant)
2004-2005 : 17 millions d’unités vendues sur 8 marques majeures,
Cash flow opérationnel* supérieur à 50 millions d’euros
Accélération de la croissance en fin d’exercice
• 4ème trimestre 2004-2005 record :
La toute nouvelle marque : Brothers In Arms Road to Hill 30TM, vendue à 1,7 millions d’unités s’impose comme une référence indiscutable dans le secteur des jeux de tir historique et confirme son potentiel à long terme. Le nouvel opus de la marque Tom Clancy’s Splinter Cell® a également connu un lancement très réussi avec 2,5 millions d’unités commercialisées. Par ailleurs, Ubisoft a fait une entrée en force sur le segment des nouvelles consoles portables avec Asphalt Urban GT TM et Rayman 2005 sur Nintendo DS™, qui se sont vendus à 740 000 unités sur l’ensemble de l’exercice.
Grâce aux bonnes performances de ces produits, Ubisoft s’est classé 3ème éditeur indépendant sur consoles aux Etats-Unis** sur le mois de mars et 5ème sur le 1er trimestre. Sur cette période, le Groupe est également 2ème au Royaume-Uni et 3ème éditeur indépendant en Allemagne**.
• Chiffre d’affaires 2004-2005 : Succès de la stratégie de création de marques
Sur l’ensemble de l’année, Ubisoft a réalisé un chiffre d’affaires de 537 millions d’euros soit une croissance de 8% à taux de change constant. Le Groupe a poursuivi sa stratégie de création de marques avec désormais un portefeuille de 8 marques majeures qui ont généré 17 millions d’unités vendues, soit 65% de l’activité, dont :
- 5,1 millions d’unités sur la marque Tom Clancy’s Splinter Cell®
- 3 millions d’unités sur la marque Prince of Persia ®
- 2,8 millions d’unités sur la marque Tom Clancy’s Ghost Recon®
- 1,7 millions d’unités sur la marque Brothers in Arms Road to Hill 30TM
Révision en hausse des anticipations de cash flow 2004-2005
• Le cash flow opérationnel (hors acquisitions) est désormais attendu à plus de 50 millions d’euros. Cette performance provient d’une génération de flux de trésorerie d’exploitation élevée ainsi que d’une maîtrise continue du Besoin en Fonds de Roulement. Compte tenu des acquisitions réalisées dans l’année et des augmentations de capital, la dette nette au 31 mars 2005 devrait être d’environ 82 millions d’euros contre 119 millions d’euros au 31 Mars 2004.
• Par ailleurs le Groupe confirme ses anticipations de résultats annuels 2004-2005 :
- Résultat d’exploitation compris entre 40 à 45 millions d’euros en normes comptables françaises et 38 à 43 millions d’euros en pro forma*.
- Résultat net hors éléments exceptionnels (avant amortissement des écarts d’acquisition et des fonds commerciaux) compris entre 18 et 22 millions d’euros en normes comptables françaises et entre 17 à 21 millions d’euros en pro forma*.
Perspectives à moyen terme et objectifs 2005-2006
• Ubisoft anticipe une croissance organique à deux chiffres sur les prochaines années grâce :
o Au renforcement de sa capacité de création en recrutant 600 nouveaux talents pour atteindre un effectif de production de 2 900 personnes au 31 Mars 2006.
o A l’entrée en force sur de nouveaux segments. Ainsi, sur l’année 2005-2006 :
- Le segment des licences cinématographiques avec 2 des films les plus attendus de l’année
- Le segment « Sport » avec AND 1® Streetball [PlayStation®2/Xbox®]
- Le segment « Stratégie » avec Heroes of Might & Magic® V [PC]
o A la montée en puissance sur les nouvelles consoles : 7 titres seront lancés sur Nintendo DS™, 5 sur PlayStation® Portable de Sony (PSP™) et 4 sur la nouvelle console de Microsoft.
• Objectifs 2005-2006
- Premier semestre 2005-2006 : chiffres d’affaires de l’ordre de 155 millions d’euros (soit une croissance supérieur à 20% à taux constant) dont 42 millions au titre du 1er trimestre.
- Progression annuelle de 12 % du chiffre d’affaires à taux de change constant
- Résultat d’exploitation de plus de 55 millions d’euros en normes comptables françaises
- Résultat net hors éléments exceptionnels (avant amortissement des écarts d’acquisition et des fonds commerciaux) supérieur à 28 millions d’euros en normes comptables françaises
- Des flux nets de trésorerie disponibles avant acquisition supérieurs à 40 millions d’euros.
« Ubisoft a atteint une nouvelle dimension en générant pour la 2ème année consécutive un fort cash flow opérationnel, tout en accroissant ses investissements en production. Le groupe a désormais la capacité d’accélérer sa stratégie d’investissement et de création de marques, garants de la croissance de sa rentabilité à long terme. Les produits sur la nouvelle génération de consoles présentés au salon mondial du jeu vidéo (E3 – Los Angeles) vont donner la mesure de la nouvelle étape que nous avons franchie. » a déclaré Yves Guillemot, Président d’Ubisoft.
Les résultats de l’exercice 2004-2005 seront publiés et commentés lors de la réunion qui se tiendra le 16 juin prochain.
En résumé, c'est bien, pas mal du tout, mais c'est surtout pour la suite que ça promet. A noter ce passage encourageant :
"Le groupe a désormais la capacité d’accélérer sa stratégie d’investissement et de création de marques, garants de la croissance de sa rentabilité à long terme."
On a de l'espoir.
Et, malheureusement, EA a fait un très bon investissement pour l'instant.
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Orin
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ANNEXES
Calendrier de Sorties - 1er trimestre (Avril – Juin 2005)
Tom Clancy’s Splinter Cell Chaos Theory DS
Star Wars : Revenge of the Sith DS/GBA
Cold Fear PC
Bomberman DS DS
Prince of Persia Warrior Within Platinum (Europe) PS2
Prince of Persia Warrior Within Classics (Europe) Xbox
Tom Clancy’s Ghost Recon 2 Classics (Europe) Xbox
The Bard’s Tale (Europe) PC
Singles 2 Triple Trouble (Europe) PC
Exclusive Range (Europe) PC ??
Bomberman Hardball (Europe) PS2
Puzzle Pirates (Etats-Unis) PC
Calendrier de Sorties – 2ème trimestre (Juillet – Septembre 2005)
Tom Clancy’s Rainbow Six Lockdown PS2/Xbox/GC Putain, Ubi fait de la résistance ! Pour un jeu qui vise le online en plus !
187 Ride or Die Xbox/PS2
America’s Army: Rise of a Soldier Xbox/PS2 Peut-être une bonne surprise pour celui-ci, on le dit "très hardcore, surtout pour une console"
Far Cry Instincts Xbox Lumines (Europe) PSP
No Surrender: Battle of the Bulge (Etats Unis) PC
Firefighter Command: Raging Inferno (Etats Unis) PC
Lunar Genesis (Etats Unis) DS
Rigolo, dans les annexes on trouve aussi la répartition du CA par plateforme, figurez-vous qu'Ubi a brassé plus de pognon avec la DS (5% du CA T4) qu'avec le Cube (4%) ce trimestre malgré la sortie de SC3 sur GC par exemple et les ventes continues de tout le reste du catalogue... C'est accablant pour notre apéricube
Calendrier de Sorties - 1er trimestre (Avril – Juin 2005)
Tom Clancy’s Splinter Cell Chaos Theory DS
Star Wars : Revenge of the Sith DS/GBA
Cold Fear PC
Bomberman DS DS
Prince of Persia Warrior Within Platinum (Europe) PS2
Prince of Persia Warrior Within Classics (Europe) Xbox
Tom Clancy’s Ghost Recon 2 Classics (Europe) Xbox
The Bard’s Tale (Europe) PC
Singles 2 Triple Trouble (Europe) PC
Exclusive Range (Europe) PC ??
Bomberman Hardball (Europe) PS2
Puzzle Pirates (Etats-Unis) PC
Calendrier de Sorties – 2ème trimestre (Juillet – Septembre 2005)
Tom Clancy’s Rainbow Six Lockdown PS2/Xbox/GC Putain, Ubi fait de la résistance ! Pour un jeu qui vise le online en plus !
187 Ride or Die Xbox/PS2
America’s Army: Rise of a Soldier Xbox/PS2 Peut-être une bonne surprise pour celui-ci, on le dit "très hardcore, surtout pour une console"
Far Cry Instincts Xbox Lumines (Europe) PSP
No Surrender: Battle of the Bulge (Etats Unis) PC
Firefighter Command: Raging Inferno (Etats Unis) PC
Lunar Genesis (Etats Unis) DS
Rigolo, dans les annexes on trouve aussi la répartition du CA par plateforme, figurez-vous qu'Ubi a brassé plus de pognon avec la DS (5% du CA T4) qu'avec le Cube (4%) ce trimestre malgré la sortie de SC3 sur GC par exemple et les ventes continues de tout le reste du catalogue... C'est accablant pour notre apéricube
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Orin
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Cercle Finance le 29/04/2005 16:46
Ubisoft: franchissements de seuils pour CASA.
(Cercle Finance) - L'Autorité des marchés financiers (AMF) annonce avoir appris par courrier en date du 27 avril 2005 reçu ce jour, que Crédit Agricole SA avait franchi en hausse, le 21 avril 2005, à titre direct par sa filiale Calyon, le seuil de 5% du capital d'Ubisoft Entertainment.
CASA détenait à cette date à titre direct par Calyon 899 450 actions de la société représentant autant de droits de vote, soit 5,01% du capital et 4,62% des ddv.
CASA a par ailleurs fait part du franchissement en hausse, à titre indirect, également le 21 avril 2005, du seuil de 5% du capital d'Ubisoft, et détenait à cette date à titre indirect 910 135 actions de la société représentant autant de droits de vote, soit 5,07% du capital et 4,68% des ddv.
Copyright (c) 2005 Cercle Finance.
A priori, il s'agit d'une opération purement bancaire, et rien qui touche le sujet de base. M'enfin ça fait toujours 5% appartenant à des français.
Ubisoft: franchissements de seuils pour CASA.
(Cercle Finance) - L'Autorité des marchés financiers (AMF) annonce avoir appris par courrier en date du 27 avril 2005 reçu ce jour, que Crédit Agricole SA avait franchi en hausse, le 21 avril 2005, à titre direct par sa filiale Calyon, le seuil de 5% du capital d'Ubisoft Entertainment.
CASA détenait à cette date à titre direct par Calyon 899 450 actions de la société représentant autant de droits de vote, soit 5,01% du capital et 4,62% des ddv.
CASA a par ailleurs fait part du franchissement en hausse, à titre indirect, également le 21 avril 2005, du seuil de 5% du capital d'Ubisoft, et détenait à cette date à titre indirect 910 135 actions de la société représentant autant de droits de vote, soit 5,07% du capital et 4,68% des ddv.
Copyright (c) 2005 Cercle Finance.
A priori, il s'agit d'une opération purement bancaire, et rien qui touche le sujet de base. M'enfin ça fait toujours 5% appartenant à des français.
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Orin
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Je regroupe cette news dans ce topic, juste histoire de pouvoir coller la toute dernière nouvelle réellement intéressante d'aujourd'hui.
La dernière blague du gouvernement : 3 millions d'euros pour les JV soit 30 (!) préproductions.
AFP le 13/05/2005 17:46
France: Devedjian annonce cinq mesures pour aider à l'industrie du jeu vidéo
Le ministre français délégué à l'Industrie, Patrick Devedjian, a annoncé vendredi cinq "engagements" pour venir en aide à l'industrie française du jeu vidéo qui traverse une "crise terrible".
Au cours d'une "réunion de travail" avec les professionnels des jeux vidéo, M. Devedjian a dressé un état des lieux inquiétant de ce secteur.
Cette réunion à laquelle était conviée la presse s'est tenu à quelques jours du salon annuel du jeu vidéo E3 (Electronic Entertainment Exposition) du 17 au 20 mai à Los Angeles, où Microsoft, Sony et Nintendo présenteront leurs consoles de jeux de nouvelle génération.
Le chiffre d'affaires mondial du marché du jeu vidéo est estimé à plus de 25 milliards d'euros.
Avec Ubisoft, Infogrames et Vivendi Universal Games, la France compte aujourd'hui trois des dix plus grands éditeurs mondiaux. Toutefois, a souligné le ministre, plus d'une vingtaine de sociétés françaises du secteur ont fermé entre 2001 et 2004. Parallèlement, a-t-il ajouté, les effectifs ont baissé de 50% depuis 2000.
Cette baisse s'explique par la "fuite des talents" vers le Canada et les Etats-Unis. Selon les chiffres donnés par le ministre, si la France compte aujourd'hui 1.500 personnes employées dans ce secteur, on estime à 2.000 le nombre d'expatriés dans les studios des éditeurs à Vancouver, Los Angeles ou Montréal.
Parmi les mesures annoncées par M. Devedjian figure le déblocage de trois millions d'euros en 2005 pour le Fonds d'aide à l'édition multimédia (FAEM). Cette somme représente "la possibilité de financer cette année une trentaine de nouvelles pré-productions".
M. Devedjian compte aussi apporter un "soutien particulier" aux pôles de compétitivité de "très grand qualité" proposés en Ile-de-France et dans la région lyonnaise autour de l'image, du multimédia et des loisirs numériques.
Les deux organisations qui regroupent les principaux acteurs ont renouvelé leur demande de création d'un crédit d'impôt production pour le jeu vidéo en France. L'association des producteurs d'oeuvres multimédia (Apom) a souligné que certes le dispositif du FAEM était "essentiel" mais qu'il était devenu le "RMI" du jeu vidéo français.
Le syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell), comme l'Apom, ont demandé que ce crédit d'impôt, à l'étude depuis de nombreux mois avec les autorités ministérielles françaises, soit prochainement notifié à Bruxelles pour une mise en place avant septembre 2005.
Le ministre a affirmé avoir "compris" le message et que ce point serait réexaminé en juin.
Par ailleurs, les professionnels français ont annoncé une importante campagne de promotion de la "french touch" à l'occasion du salon de Los Angeles.
Non mais c'est vrai que pour le coup je vais endosser mon beau costume de gueulard primaire... M'enfin merde quoi, ça fait combien de temps qu'on en entend parler ce putain de crédit d'impôt hein ?? 1 an, 1 an et demi ? 2 ans facile ! Bordel de putain !
Pis sans être dans le secret des dieux, une préprod à 100 000 € alors que les budgets passent la barre 10 millions de dollars, hein, bon, sans commentaire...
Surtout que d'après ce que j'avais vaguement lu, c'était à Bruxelles (comme par hasard) que ça merdait mais d'après l'article, le projet n'est même pas allé jusque là-bas !
Non mais faut arrêter la déconne là ! Et notez bien que septembre, c'est un souhait des professionnels, pas les prévisions. Avec du bol, le dossier ira aussi vite que la TVA pour les restaurateurs ! Hé les mecs faut voter non, comme ça les JV auront peut-être quelque chose lors du prochain référendum !
Et pendant ce temps-là, Raffarin trouve que le chomage "ralentit sa hausse", on nous saoule avec les délocalisations, Chirac veut relancer l'industrie en France avec ses "fondations", ici là et là-bas on nous annonce à grands renforts de beaux discours et de milliards (fictifs) qu'on va foutre le paquet sur la recherche !
Et pendant ce temps-là, Ubi embauche au Canada, avec EA en face, Infogrames patauge et, pire, les studios dérouillent pendant que sur ce forum on trouve tous bizarre que les jeux X360 aient tous la même apparence "ricanisée". Diversité culturelle ? DTC !
Guignols !
Vous attendez des news de l'E3 ? Pour l'instant elles sont dans La Tribune.
Reuters le 16/05/2005 08:44
Ubisoft réaffirme sa volonté d'indépendance sans rien exclure
PARIS, 16 mai (Reuters) - Ubisoft continue à privilégier l'indépendance sans toutefois se fermer des portes en vue d'un rapprochement avec Electronic Arts , voire avec une tierce partie, déclare Yves Guillemot, P-DG de l'éditeur de jeux video, dans un entretien paru lundi dans la Tribune.
L'américain Electronic Arts, numéro un du secteur, a fait une entrée surprise au capital d'Ubisoft l'année dernière, à hauteur de 19,8%. Le groupe français a dans un premier temps clamé haut et fort son opposition aux intentions d'EA puis a accepté de rentrer en contact avec son concurrent.
"Nous nous parlons de temps en temps mais là, par exemple, nous n'avons eu aucun contact depuis plusieurs semaines", dit Yves Guillemot, dont la famille détient 17% du capital, tout en précisant que les prix proposés par Electronic Arts ne le satisfont "pas du tout".
"Nous aimerions continuer à être indépendants parce que c'est la meilleure solution, notamment pour nos actionnaires. La visibilité de notre chiffre d'affaires et de notre marge nette est bonne. Il n'y a pas de problématique de croissance hors dilution. Alors pourquoi aller vendre aujourd'hui ?", poursuit le président d'Ubisoft.
Au sujet d'un rapprochement avec un concurrent autre qu'Electronic Arts, Yves Guillemot déclaré : "C'est la troisième solution. Se regrouper permettrait de devenir le numéro deux mondial (...) malgré la différence de capitalisation entre nous et certains éditeurs, nous envisagerions une fusion à égalité"./BVO
Et voici LA bonne nouvelle du jour (attention, rien n'est fait... mais s'il en parle...) :
AOF le 16/05/2005 09:27
UBI SOFT privilégie toujours l'indépendance (Yves Guillemot)
(AOF) - Dans un entretien à " La Tribune ", Yves Guillemot, PDG d'Ubisoft, a indiqué qu'il parlait de temps en temps avec son premier actionnaire Electronic Arts, mais qu'il aimerait continuer à être indépendant. Par ailleurs, Yves Guillemot estime que le rachat d'Ubi Soft par un grand groupe de divertissement, comme Disney ou Time Warner, serait une solution assez intéressante. L'éditeur français est seul acteur qui ait ses studios propres, ses marques propres et qui n'ait pas de licences dépendantes d'Hollywood. Une telle solution pourrait accélérer son développement.
Le PDG a également précisé qu'il souhaite que d'ici quelques années, les licences d'Hollywood représentent 25 % du chiffre d'affaires. Et alors qu'Ubisoft va dévoiler à l'E3 son jeu " King Kong ", tiré du film éponyme, développé en collaboration avec Peter Jackson, Yves Guillemot a déclaré que récemment, Steven Spielberg, a demandé à le voir pour discuter de ce que Ubisoft pourrait faire avec lui.
La dernière blague du gouvernement : 3 millions d'euros pour les JV soit 30 (!) préproductions.
AFP le 13/05/2005 17:46
France: Devedjian annonce cinq mesures pour aider à l'industrie du jeu vidéo
Le ministre français délégué à l'Industrie, Patrick Devedjian, a annoncé vendredi cinq "engagements" pour venir en aide à l'industrie française du jeu vidéo qui traverse une "crise terrible".
Au cours d'une "réunion de travail" avec les professionnels des jeux vidéo, M. Devedjian a dressé un état des lieux inquiétant de ce secteur.
Cette réunion à laquelle était conviée la presse s'est tenu à quelques jours du salon annuel du jeu vidéo E3 (Electronic Entertainment Exposition) du 17 au 20 mai à Los Angeles, où Microsoft, Sony et Nintendo présenteront leurs consoles de jeux de nouvelle génération.
Le chiffre d'affaires mondial du marché du jeu vidéo est estimé à plus de 25 milliards d'euros.
Avec Ubisoft, Infogrames et Vivendi Universal Games, la France compte aujourd'hui trois des dix plus grands éditeurs mondiaux. Toutefois, a souligné le ministre, plus d'une vingtaine de sociétés françaises du secteur ont fermé entre 2001 et 2004. Parallèlement, a-t-il ajouté, les effectifs ont baissé de 50% depuis 2000.
Cette baisse s'explique par la "fuite des talents" vers le Canada et les Etats-Unis. Selon les chiffres donnés par le ministre, si la France compte aujourd'hui 1.500 personnes employées dans ce secteur, on estime à 2.000 le nombre d'expatriés dans les studios des éditeurs à Vancouver, Los Angeles ou Montréal.
Parmi les mesures annoncées par M. Devedjian figure le déblocage de trois millions d'euros en 2005 pour le Fonds d'aide à l'édition multimédia (FAEM). Cette somme représente "la possibilité de financer cette année une trentaine de nouvelles pré-productions".
M. Devedjian compte aussi apporter un "soutien particulier" aux pôles de compétitivité de "très grand qualité" proposés en Ile-de-France et dans la région lyonnaise autour de l'image, du multimédia et des loisirs numériques.
Les deux organisations qui regroupent les principaux acteurs ont renouvelé leur demande de création d'un crédit d'impôt production pour le jeu vidéo en France. L'association des producteurs d'oeuvres multimédia (Apom) a souligné que certes le dispositif du FAEM était "essentiel" mais qu'il était devenu le "RMI" du jeu vidéo français.
Le syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell), comme l'Apom, ont demandé que ce crédit d'impôt, à l'étude depuis de nombreux mois avec les autorités ministérielles françaises, soit prochainement notifié à Bruxelles pour une mise en place avant septembre 2005.
Le ministre a affirmé avoir "compris" le message et que ce point serait réexaminé en juin.
Par ailleurs, les professionnels français ont annoncé une importante campagne de promotion de la "french touch" à l'occasion du salon de Los Angeles.
Non mais c'est vrai que pour le coup je vais endosser mon beau costume de gueulard primaire... M'enfin merde quoi, ça fait combien de temps qu'on en entend parler ce putain de crédit d'impôt hein ?? 1 an, 1 an et demi ? 2 ans facile ! Bordel de putain !
Pis sans être dans le secret des dieux, une préprod à 100 000 € alors que les budgets passent la barre 10 millions de dollars, hein, bon, sans commentaire...
Surtout que d'après ce que j'avais vaguement lu, c'était à Bruxelles (comme par hasard) que ça merdait mais d'après l'article, le projet n'est même pas allé jusque là-bas !
Non mais faut arrêter la déconne là ! Et notez bien que septembre, c'est un souhait des professionnels, pas les prévisions. Avec du bol, le dossier ira aussi vite que la TVA pour les restaurateurs ! Hé les mecs faut voter non, comme ça les JV auront peut-être quelque chose lors du prochain référendum !
Et pendant ce temps-là, Raffarin trouve que le chomage "ralentit sa hausse", on nous saoule avec les délocalisations, Chirac veut relancer l'industrie en France avec ses "fondations", ici là et là-bas on nous annonce à grands renforts de beaux discours et de milliards (fictifs) qu'on va foutre le paquet sur la recherche !
Et pendant ce temps-là, Ubi embauche au Canada, avec EA en face
, Infogrames patauge et, pire, les studios dérouillent pendant que sur ce forum on trouve tous bizarre que les jeux X360 aient tous la même apparence "ricanisée". Diversité culturelle ? DTC ! Guignols !
Vous attendez des news de l'E3 ? Pour l'instant elles sont dans La Tribune.
Reuters le 16/05/2005 08:44
Ubisoft réaffirme sa volonté d'indépendance sans rien exclure
PARIS, 16 mai (Reuters) - Ubisoft continue à privilégier l'indépendance sans toutefois se fermer des portes en vue d'un rapprochement avec Electronic Arts , voire avec une tierce partie, déclare Yves Guillemot, P-DG de l'éditeur de jeux video, dans un entretien paru lundi dans la Tribune.
L'américain Electronic Arts, numéro un du secteur, a fait une entrée surprise au capital d'Ubisoft l'année dernière, à hauteur de 19,8%. Le groupe français a dans un premier temps clamé haut et fort son opposition aux intentions d'EA puis a accepté de rentrer en contact avec son concurrent.
"Nous nous parlons de temps en temps mais là, par exemple, nous n'avons eu aucun contact depuis plusieurs semaines", dit Yves Guillemot, dont la famille détient 17% du capital, tout en précisant que les prix proposés par Electronic Arts ne le satisfont "pas du tout".
"Nous aimerions continuer à être indépendants parce que c'est la meilleure solution, notamment pour nos actionnaires. La visibilité de notre chiffre d'affaires et de notre marge nette est bonne. Il n'y a pas de problématique de croissance hors dilution. Alors pourquoi aller vendre aujourd'hui ?", poursuit le président d'Ubisoft.
Au sujet d'un rapprochement avec un concurrent autre qu'Electronic Arts, Yves Guillemot déclaré : "C'est la troisième solution. Se regrouper permettrait de devenir le numéro deux mondial (...) malgré la différence de capitalisation entre nous et certains éditeurs, nous envisagerions une fusion à égalité"./BVO
Et voici LA bonne nouvelle du jour (attention, rien n'est fait... mais s'il en parle...) :
AOF le 16/05/2005 09:27
UBI SOFT privilégie toujours l'indépendance (Yves Guillemot)
(AOF) - Dans un entretien à " La Tribune ", Yves Guillemot, PDG d'Ubisoft, a indiqué qu'il parlait de temps en temps avec son premier actionnaire Electronic Arts, mais qu'il aimerait continuer à être indépendant. Par ailleurs, Yves Guillemot estime que le rachat d'Ubi Soft par un grand groupe de divertissement, comme Disney ou Time Warner, serait une solution assez intéressante. L'éditeur français est seul acteur qui ait ses studios propres, ses marques propres et qui n'ait pas de licences dépendantes d'Hollywood. Une telle solution pourrait accélérer son développement.
Le PDG a également précisé qu'il souhaite que d'ici quelques années, les licences d'Hollywood représentent 25 % du chiffre d'affaires. Et alors qu'Ubisoft va dévoiler à l'E3 son jeu " King Kong ", tiré du film éponyme, développé en collaboration avec Peter Jackson, Yves Guillemot a déclaré que récemment, Steven Spielberg, a demandé à le voir pour discuter de ce que Ubisoft pourrait faire avec lui.
Pourquoi ?
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
Ubi : "Imaginez un monde où la seule chose dont on soit sûr est que tout peut arriver. Un lieu où la créativité et l'innovation sont reines... Un lieu où les destinations sont aussi variées que les voyageurs qui s'y rendent... Un lieu où l'on peut enfin briser les barrières du jeu... Bienvenue dans le monde qu'est Ubi Soft."
EA : ""L'idée serait que la personne puisse controler une famille, leur dire quand aller dans la cuisine et quand aller dans la salle de bain, et avec ce genre de mécanique, vous auriez des joueurs à travers le monde entier qui pourraient 'jouer avec l'émission'..."
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Orin
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Ouaip, pis faut bien reconnaître que le topic ne comporte que peu d'infos pouvant déclencher un débat ou une polémique, c'est principalement de l'informatif sur un mécanisme sur lequel on ne peut pas grand chose, surtout tant qu'il reste dans l'ombre...
Hausse suspecte de l'action Ubi Soft :
Et en parlant d'ombre justement, je voulais signaler que l'action Ubi Soft est en train d'exploser tous ses sommets récents depuis le début de la semaine. Nous sommes revenus à des niveaux de valorisation datant de début 2002 traduisant les derniers instants de la bulle techno.
Pourquoi je vous en parle ? Hé bien parce qu'à première vue, rien ne justifie un tel décollage. Le 28 avril, le CA annuel a été publié, les perspectives confirmées (mais pas relevées), et l'action n'a pas bougé avant quelques jours et c'est vraiment depuis lundi qu'elle part en fusée.
Effet E3 ? Il est vrai que, sur la semaine, les actions du secteur se sont bien comportées mais cela reste très variable, généralement 3, 4 voire 5 %, là où Ubi nous fait +12%
Emportée par l'élan général ? Effectivement, la bourse dans son ensemble a bien grimpé cette semaine, mais pas suffisamment pour banaliser une telle grimpette.
Infogrames a bien fait +10% mais l'action ne vaut pas un kopeck, il est donc facile de la faire flamber.
A l'inverse, Ubi flambe à des niveaux très élevés ; en théorie, il serait probable de la voir stopper sa hausse un ou deux jours avant de continuer mais là non c'est du non-stop.
Et les volumes d'échanges de titres sont très importants, de plus en plus en fait.
Là où une journée normale tourne à 100 000 titres, nous sommes ce vendredi à 14h (cloture à 17h30) à 350 000 titres, 300 hier, 217 mercredi, 132 mardi et 95 lundi.
Qu'est-ce qui peut justifier un tel engouement ? Ubi a assez bien marqué les esprits avec Ghost Recon 3, mais outre ce titre, la firme est loin d'avoir "fait des ravages" à l'E3 comme annoncé, les consoles ont été les stars du salon et, je doute d'ailleurs qu'aucun éditeur n'ait pu en sortir vainqueur... Ce qui rend d'autant plus suspect la flambée d'Ubi, flambée qui semble réellement être un cas isolé.
Alors on a bien quelques analystes qui ont publié des avis très positifs sur le secteur ces derniers jours, Ubi étant saine financièrement avec de belles licences, équipes etc, et le risque d'OPA d'EA, on peut penser qu'elle en profite plus que les autres...
Mais le risque d'OPA n'est pas une nouveauté, il aurait même tendance à diminuer au fur et à mesure que l'action flambe...
Nous avons bien les déclarations faites par Yves Guillemot (voir au-dessus)... Des rumeurs sur une éventuelle fusion avec Infogrames (ce qui n'aurait pas forcément un impact positif sur Ubi, ça serait même plutôt le contraire)... Mais rien de neuf depuis le début de semaine.
Conclusion : soit cette hausse est le fait de l'ensemble des pistes citées... Et j'avoue que cela me semble un peu léger ; s'il y en avait au moins une de claire ça serait plus vraissemblable mais là non.
Soit il se passe quelque chose dans l'actionnariat, l'un des actionnaires monte en puissance... EA ? Dreamworks ? Disney ? Une autre major ?
La faiblesse de cette seconde hypothèse tient au fait que quitte à monter en puissance, autant le faire avant les résultats et non à de tels niveaux.
Bref, tout ceci pour dire qu'il ne se passe peut-être rien... Ou que nous pourrions avoir une surprise dans les prochains jours, difficile de dire qu'elle irait dans le bon sens...
Hausse suspecte de l'action Ubi Soft :
Et en parlant d'ombre justement, je voulais signaler que l'action Ubi Soft est en train d'exploser tous ses sommets récents depuis le début de la semaine. Nous sommes revenus à des niveaux de valorisation datant de début 2002 traduisant les derniers instants de la bulle techno.
Pourquoi je vous en parle ? Hé bien parce qu'à première vue, rien ne justifie un tel décollage. Le 28 avril, le CA annuel a été publié, les perspectives confirmées (mais pas relevées), et l'action n'a pas bougé avant quelques jours et c'est vraiment depuis lundi qu'elle part en fusée.
Effet E3 ? Il est vrai que, sur la semaine, les actions du secteur se sont bien comportées mais cela reste très variable, généralement 3, 4 voire 5 %, là où Ubi nous fait +12%
Emportée par l'élan général ? Effectivement, la bourse dans son ensemble a bien grimpé cette semaine, mais pas suffisamment pour banaliser une telle grimpette.
Infogrames a bien fait +10% mais l'action ne vaut pas un kopeck, il est donc facile de la faire flamber.
A l'inverse, Ubi flambe à des niveaux très élevés ; en théorie, il serait probable de la voir stopper sa hausse un ou deux jours avant de continuer mais là non c'est du non-stop.
Et les volumes d'échanges de titres sont très importants, de plus en plus en fait.
Là où une journée normale tourne à 100 000 titres, nous sommes ce vendredi à 14h (cloture à 17h30) à 350 000 titres, 300 hier, 217 mercredi, 132 mardi et 95 lundi.
Qu'est-ce qui peut justifier un tel engouement ? Ubi a assez bien marqué les esprits avec Ghost Recon 3, mais outre ce titre, la firme est loin d'avoir "fait des ravages" à l'E3 comme annoncé, les consoles ont été les stars du salon et, je doute d'ailleurs qu'aucun éditeur n'ait pu en sortir vainqueur... Ce qui rend d'autant plus suspect la flambée d'Ubi, flambée qui semble réellement être un cas isolé.
Alors on a bien quelques analystes qui ont publié des avis très positifs sur le secteur ces derniers jours, Ubi étant saine financièrement avec de belles licences, équipes etc, et le risque d'OPA d'EA, on peut penser qu'elle en profite plus que les autres...
Mais le risque d'OPA n'est pas une nouveauté, il aurait même tendance à diminuer au fur et à mesure que l'action flambe...
Nous avons bien les déclarations faites par Yves Guillemot (voir au-dessus)... Des rumeurs sur une éventuelle fusion avec Infogrames (ce qui n'aurait pas forcément un impact positif sur Ubi, ça serait même plutôt le contraire)... Mais rien de neuf depuis le début de semaine.
Conclusion : soit cette hausse est le fait de l'ensemble des pistes citées... Et j'avoue que cela me semble un peu léger ; s'il y en avait au moins une de claire ça serait plus vraissemblable mais là non.
Soit il se passe quelque chose dans l'actionnariat, l'un des actionnaires monte en puissance... EA ? Dreamworks ? Disney ? Une autre major ?
La faiblesse de cette seconde hypothèse tient au fait que quitte à monter en puissance, autant le faire avant les résultats et non à de tels niveaux.
Bref, tout ceci pour dire qu'il ne se passe peut-être rien... Ou que nous pourrions avoir une surprise dans les prochains jours, difficile de dire qu'elle irait dans le bon sens...
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Orin
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AOF le 23/05/2005 09:02
Discussions interrompues entre UBISOFT et ELECTRONIC ARTS
(AOF) - Les discussions seraient totalement interrompues depuis plusieurs semaines entre Ubisoft et Electronic Arts avec peu d'espoir de reprise selon " Les Echos ". Les frères Guillemot, qui détiennent la majorité des droits de vote, réclament entre 40 et 45 euros par action au minimum, tandis que le numéro un mondial ne serait pas prêt de payer plus que le cours affiché aujourd'hui. Le président d'Ubisoft, estime que la valeur de l'éditeur peut doubler en deux ans avec une rentabilité sans cesse améliorée et Electronic Arts n'est pas prêt à surpayer de nouvelles actions Ubisoft.
Le quotidien estime que la perspective d'une offre hostile semble en peu envisageable, car ce ne sont pas les habitudes du secteur et car les risques industriels que prendrait l'américain seraient alors très élevés.
La vraie info là-dessus, ça n'est pas que les discussions aient été interrompues mais qu'elles ne soient pas prêtes de redémarrer.
Bon maintenant, se faire bouffer par Electronics Arts ou par une major du cinéma, j'ai du mal à comprendre les sous-entendus des Guillemot... A moins que leur stratégie ne consiste tout simplement en un brouillage des pistes afin de me tenir à distances tous les vautours ?
Faut l'espérer parce que EA ou une major du ciné, la différence est infime, Miramax peut en témoigner.
Discussions interrompues entre UBISOFT et ELECTRONIC ARTS
(AOF) - Les discussions seraient totalement interrompues depuis plusieurs semaines entre Ubisoft et Electronic Arts avec peu d'espoir de reprise selon " Les Echos ". Les frères Guillemot, qui détiennent la majorité des droits de vote, réclament entre 40 et 45 euros par action au minimum, tandis que le numéro un mondial ne serait pas prêt de payer plus que le cours affiché aujourd'hui. Le président d'Ubisoft, estime que la valeur de l'éditeur peut doubler en deux ans avec une rentabilité sans cesse améliorée et Electronic Arts n'est pas prêt à surpayer de nouvelles actions Ubisoft.
Le quotidien estime que la perspective d'une offre hostile semble en peu envisageable, car ce ne sont pas les habitudes du secteur et car les risques industriels que prendrait l'américain seraient alors très élevés.
La vraie info là-dessus, ça n'est pas que les discussions aient été interrompues mais qu'elles ne soient pas prêtes de redémarrer.
Bon maintenant, se faire bouffer par Electronics Arts ou par une major du cinéma, j'ai du mal à comprendre les sous-entendus des Guillemot... A moins que leur stratégie ne consiste tout simplement en un brouillage des pistes afin de me tenir à distances tous les vautours ?
Faut l'espérer parce que EA ou une major du ciné, la différence est infime, Miramax peut en témoigner.
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Orin tu devrais en faire un article une fois toute cette affaire terminée.
Et quand est-il de l'achat d'un autre studio par Ubi ?
Comme la fusion de Ubi avec l'autre société des guillemot (me souvient plus du nom) il disait que sa prendrai trop de temps a faire, mais cette affaire traine déjà depuis de nombreux mois, il aurait eut le temps de fusioner depuis.
Et quand est-il de l'achat d'un autre studio par Ubi ?
Comme la fusion de Ubi avec l'autre société des guillemot (me souvient plus du nom) il disait que sa prendrai trop de temps a faire, mais cette affaire traine déjà depuis de nombreux mois, il aurait eut le temps de fusioner depuis.
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Orin
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Faire un article heu oui... Cela ressemble déjà à un feuilleton à vrai dire 
Feuilleton raté et longuet d'ailleurs...
Bref. Rachat d'un autre studio par Ubi, là c'est le black-out total, ils ont laissé passer Eidos (à mon avis c'est une connerie mais passons), Infogrames personne n'en veut même si la piste a été étudiée... Les dernières déclarations de Guillemot tendent vers une fusion avec un gros mais à part égale, genre un THQ qui est plus gros qu'eux mais qui dans les faits serait considéré comme l'égal d'Ubi... Je ne sais pas trop comment le père Yves veut faire avaler ça à la partie adverse mais bon.
En résumé, on n'a rien de concret sur un rachat de studio depuis une plombe.
La fusion avec Gameloft resterait tout de même très longue et même si maintenant elle pourrait être en phase finale aujourd'hui, son démarrage à l'époque aurait pu être considéré comme une déclaration de guerre par EA qui aurait pu contre-attaquer.
Dans les faits, ça reste difficile à faire (voire impossible, il faut des votes), et économiquement ça deviendrait très compliqué à gérer puisque les 2 sociétés ont des besoins différents.
Feuilleton raté et longuet d'ailleurs...Bref. Rachat d'un autre studio par Ubi, là c'est le black-out total, ils ont laissé passer Eidos (à mon avis c'est une connerie mais passons), Infogrames personne n'en veut même si la piste a été étudiée... Les dernières déclarations de Guillemot tendent vers une fusion avec un gros mais à part égale, genre un THQ qui est plus gros qu'eux mais qui dans les faits serait considéré comme l'égal d'Ubi... Je ne sais pas trop comment le père Yves veut faire avaler ça à la partie adverse mais bon.
En résumé, on n'a rien de concret sur un rachat de studio depuis une plombe.
La fusion avec Gameloft resterait tout de même très longue et même si maintenant elle pourrait être en phase finale aujourd'hui, son démarrage à l'époque aurait pu être considéré comme une déclaration de guerre par EA qui aurait pu contre-attaquer.
Dans les faits, ça reste difficile à faire (voire impossible, il faut des votes), et économiquement ça deviendrait très compliqué à gérer puisque les 2 sociétés ont des besoins différents.
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De rien Fox. Aides au secteur, on continue :
AFP le 24/05/2005 17:05
Le jeu vidéo veut un crédit d'impôt en France, le marché se porte bien
L'industrie du jeu vidéo, éditeurs et fabricants, a réitéré mardi lors d'un déjeuner de presse sa demande d'un crédit d'impôt pour maintenir ses activités en France, et a présenté des chiffres prouvant que le marché français du jeu vidéo se porte bien.
Souhaitant pousser "un coup de gueule", le délégué général du Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (SELL), Jean-Claude Larue, a réitéré sa demande d'une aide gouvernementale au secteur, sous la forme d'un crédit d'impôt, qu'il a évalué à 30 millions d'euros.
"Tout le monde admet, en France, que l'Etat intervient beaucoup dans le domaine de la culture. C'est vrai pour le cinéma, pour la chanson, pourquoi pas pour le jeu vidéo? Nous ne voulons pas l'exception culturelle, mais une aide parce que nous avons tous besoin d'employer", a-t-il déclaré.
La production de jeux en France est en "crise", selon le SELL, car "aucune mesure significative n'a été mise en place" par le gouvernement depuis 2003.
"Les conséquences de cette attitude se lisent aujourd'hui en termes d'emplois", résume le SELL, pour qui la crise des studios indépendants se poursuit et les délocalisations s'accélèrent, notamment en Asie ou au Canada, l'éditeur français Ubisoft prévoyant notamment de créer 1.000 emplois supplémentaires à Montréal.
Au Canada, selon un éditeur de jeu, les pouvoirs publics payent "la moitié des salaires" de ce secteur.
En France, les emplois dans l'édition des jeux vidéos sont passés "de 5.000 à 500" en quelques années, selon M. Larue.
Interrogé sur le fait de savoir si la demande d'aides publiques en France ne constituait pas un "chantage à la délocalisation", M. Larue a déploré qu'en France le jeu vidéo n'était pas considéré comme un élément de la "culture", au même titre que le cinéma ou la musique.
"Dans les années 1920, le cinéma français est parti à Hollywood. Aujourd'hui, nous, c'est Montréal", a-t-il commenté.
Pourtant, le marché français progresse fortement, selon les chiffres du groupe d'études Gfk, récoltés auprès de 40 enseignes. 33 millions de logiciels de loisirs ont été vendus en 2004, soit une hausse de 11%.
Le marché des consoles a néanmoins baissé, à 2,35 millions d'unités vendues contre 2,54 millions en 2003, mais 2005 devrait battre le record de 2003, prévoit Gfk.
Parmi les 20 plus produits culturels les plus vendus en France en valeur en 2004, le jeu vidéo "Grand Theft Auto San Andreas" arrive en deuxième position, alors que le succès de librairie "Da Vinci Code", premier livre classé, vient en septième position, a précisé GfK.
Le groupe américain Microsoft a rappelé que sa console XBox 360 sera commercialisé en France à la fin de l'année, à un prix non précisé, et que la XBox actuelle continuera à être vendue.
Sony a précisé que sa console Play Station Portable (PSP) sera disponible en France le 1er septembre pour 250 euros. Le groupe compte en vendre 1 million en un an, dont 600.000 à 700.000 d'ici décembre.
AFP le 24/05/2005 17:05
Le jeu vidéo veut un crédit d'impôt en France, le marché se porte bien
L'industrie du jeu vidéo, éditeurs et fabricants, a réitéré mardi lors d'un déjeuner de presse sa demande d'un crédit d'impôt pour maintenir ses activités en France, et a présenté des chiffres prouvant que le marché français du jeu vidéo se porte bien.
Souhaitant pousser "un coup de gueule", le délégué général du Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (SELL), Jean-Claude Larue, a réitéré sa demande d'une aide gouvernementale au secteur, sous la forme d'un crédit d'impôt, qu'il a évalué à 30 millions d'euros.
"Tout le monde admet, en France, que l'Etat intervient beaucoup dans le domaine de la culture. C'est vrai pour le cinéma, pour la chanson, pourquoi pas pour le jeu vidéo? Nous ne voulons pas l'exception culturelle, mais une aide parce que nous avons tous besoin d'employer", a-t-il déclaré.
La production de jeux en France est en "crise", selon le SELL, car "aucune mesure significative n'a été mise en place" par le gouvernement depuis 2003.
"Les conséquences de cette attitude se lisent aujourd'hui en termes d'emplois", résume le SELL, pour qui la crise des studios indépendants se poursuit et les délocalisations s'accélèrent, notamment en Asie ou au Canada, l'éditeur français Ubisoft prévoyant notamment de créer 1.000 emplois supplémentaires à Montréal.
Au Canada, selon un éditeur de jeu, les pouvoirs publics payent "la moitié des salaires" de ce secteur.
En France, les emplois dans l'édition des jeux vidéos sont passés "de 5.000 à 500" en quelques années, selon M. Larue.
Interrogé sur le fait de savoir si la demande d'aides publiques en France ne constituait pas un "chantage à la délocalisation", M. Larue a déploré qu'en France le jeu vidéo n'était pas considéré comme un élément de la "culture", au même titre que le cinéma ou la musique.
"Dans les années 1920, le cinéma français est parti à Hollywood. Aujourd'hui, nous, c'est Montréal", a-t-il commenté.
Pourtant, le marché français progresse fortement, selon les chiffres du groupe d'études Gfk, récoltés auprès de 40 enseignes. 33 millions de logiciels de loisirs ont été vendus en 2004, soit une hausse de 11%.
Le marché des consoles a néanmoins baissé, à 2,35 millions d'unités vendues contre 2,54 millions en 2003, mais 2005 devrait battre le record de 2003, prévoit Gfk.
Parmi les 20 plus produits culturels les plus vendus en France en valeur en 2004, le jeu vidéo "Grand Theft Auto San Andreas" arrive en deuxième position, alors que le succès de librairie "Da Vinci Code", premier livre classé, vient en septième position, a précisé GfK.
Le groupe américain Microsoft a rappelé que sa console XBox 360 sera commercialisé en France à la fin de l'année, à un prix non précisé, et que la XBox actuelle continuera à être vendue.
Sony a précisé que sa console Play Station Portable (PSP) sera disponible en France le 1er septembre pour 250 euros. Le groupe compte en vendre 1 million en un an, dont 600.000 à 700.000 d'ici décembre.
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En ce qui concerne UBI :
Dernier épisode en date jeudi dernier, lors du Forum sur les Télécoms, les Médias et les Technologies (TMT) organisé par Reuters à Paris, où Yves Guillemot a une nouvelle fois affirmé le coeur de sa stratégie, considérant à être évalué à sa juste valeur avant toute opération, alors même que son cours venait d'être considérablement renforcé. "Ce qui m'intéresse, c'est le bien être de mes employés et de mes actionnaires. Si quelqu'un met sur la table une offre alléchante, je le prendrai en considération (...) nous n'excluons rien mais n'allons pas brader l'entreprise à quelqu'un qui ne l'estime pas à sa juste valeur", a-t-il affirmé. Il a toutefois refusé d'indiquer une estimation précise, indiquant tout au plus qu'elle valait "beaucoup" puisqu'elle dispose de bonnes positions sur un marché en croissance rapide.
"Il y a beaucoup de gens qui sont intéressés par notre entreprise, ou par une envie de faire quelque chose avec nous, donc nous serions mal avisés de dire oui au premier venu", indique-t-il en direction d'Electronic Arts.
article complet sur GameKult :
http://www.gamekult.com/tout/actus/arti ... 41460.html
Dernier épisode en date jeudi dernier, lors du Forum sur les Télécoms, les Médias et les Technologies (TMT) organisé par Reuters à Paris, où Yves Guillemot a une nouvelle fois affirmé le coeur de sa stratégie, considérant à être évalué à sa juste valeur avant toute opération, alors même que son cours venait d'être considérablement renforcé. "Ce qui m'intéresse, c'est le bien être de mes employés et de mes actionnaires. Si quelqu'un met sur la table une offre alléchante, je le prendrai en considération (...) nous n'excluons rien mais n'allons pas brader l'entreprise à quelqu'un qui ne l'estime pas à sa juste valeur", a-t-il affirmé. Il a toutefois refusé d'indiquer une estimation précise, indiquant tout au plus qu'elle valait "beaucoup" puisqu'elle dispose de bonnes positions sur un marché en croissance rapide.
"Il y a beaucoup de gens qui sont intéressés par notre entreprise, ou par une envie de faire quelque chose avec nous, donc nous serions mal avisés de dire oui au premier venu", indique-t-il en direction d'Electronic Arts.
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waru
- Yoshi's Island
- Messages : 2044
- Inscription : 03 juil. 2002 01:23
- Localisation : Montpellier FRANCE
Felicitation Orin pour ce topic qui centralise tout un tas de news bien enrichissantes !
Puis un topic sans les traditionnels boulets du forum j'y croyais plus, il suffit de faire un topic intelligent et bien construit pour faire fuir les abrutis, j'en prends note ^^
Encore bravo, tu vas pouvoir faire une rubrique eco sur le dojo à ce rythme !
Puis un topic sans les traditionnels boulets du forum j'y croyais plus, il suffit de faire un topic intelligent et bien construit pour faire fuir les abrutis, j'en prends note ^^
Encore bravo, tu vas pouvoir faire une rubrique eco sur le dojo à ce rythme !
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Orin
- Super Mario World
- Messages : 1385
- Inscription : 09 août 2003 09:56
- Localisation : Trouperdu (au sud de Pétaouchnoc)
Merci Waru Je dois dire que je préfèrerai infiniment alimenter un topic sur les dernières photos volées de Jade bronzant gracieusement sur la plage, mais tant qu'EA est là, faut tenir le cap et ne pas perdre la situation de vue.
[Pit'être que je vais étudier la question d'un mini-site, mais rien de sûr pour l'instant.]
Merci pour l'info Jez !
EDIT :
Complément sur l'info de Jez : si les dernières déclarations de Guillemot sur un rachat ou rapprochement se font de plus en plus précises (et répétées), l'autre nouveauté concernent l'identité des interlocuteurs :
" "Nous sommes à un tournant pour notre industrie. Donc ce n'est pas le moment de vendre l'entreprise pour un prix trop peu élevé (...) nous discutons avec beaucoup d'entreprises (...) y compris avec des entreprises chinoises",
Bon concrètement, il est toujours aussi difficile de comprendre la ligne des Guillemot, elle semble se résumer à 1) valoriser l'entreprise (=> action) le plus possible et 2) brouiller les pistes au maximum concernant la solution finale.
L'idéal pour conerserver notre Ubi, talentueuse et (un peu) frenchy, ça resterait le rachat d'un concurrent ou une fusion d'égal à égal. Dans toute autre solution, les Guillemots ne seraient plus mettre du destin d'Ubi, et le jour où ça merde...
Ce qui est bon dans la situation actuelle, c'est que la flambée de l'action rend Ubi plus apte à racheter un concurrent, tout comme l'amélioration de la structure financière... Le moins bon c'est que jusqu'ici l'implantation d'Ubi en Chine c'était censé être un relai de croissance, pas un piège à cons.
Je dois dire que je préfèrerai infiniment alimenter un topic sur les dernières photos volées de Jade bronzant gracieusement sur la plage, mais tant qu'EA est là, faut tenir le cap et ne pas perdre la situation de vue.[Pit'être que je vais étudier la question d'un mini-site, mais rien de sûr pour l'instant.]
Merci pour l'info Jez !
EDIT :
Complément sur l'info de Jez : si les dernières déclarations de Guillemot sur un rachat ou rapprochement se font de plus en plus précises (et répétées), l'autre nouveauté concernent l'identité des interlocuteurs :
" "Nous sommes à un tournant pour notre industrie. Donc ce n'est pas le moment de vendre l'entreprise pour un prix trop peu élevé (...) nous discutons avec beaucoup d'entreprises (...) y compris avec des entreprises chinoises",
Bon concrètement, il est toujours aussi difficile de comprendre la ligne des Guillemot, elle semble se résumer à 1) valoriser l'entreprise (=> action) le plus possible et 2) brouiller les pistes au maximum concernant la solution finale.
L'idéal pour conerserver notre Ubi, talentueuse et (un peu) frenchy, ça resterait le rachat d'un concurrent ou une fusion d'égal à égal. Dans toute autre solution, les Guillemots ne seraient plus mettre du destin d'Ubi, et le jour où ça merde...
Ce qui est bon dans la situation actuelle, c'est que la flambée de l'action rend Ubi plus apte à racheter un concurrent, tout comme l'amélioration de la structure financière... Le moins bon c'est que jusqu'ici l'implantation d'Ubi en Chine c'était censé être un relai de croissance, pas un piège à cons.