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Publié : 25 sept. 2007 21:45
par Chunky
Ok

Publié : 25 sept. 2007 23:15
par Martinus
Kaji a écrit :Le scénario, peut-être, mais c'était quand même foutrement efficace.
N'est pas McTierman qui veut.

(Suffit de voir Die Hard 4

)
Die Hard 4 est très efficace

Publié : 25 sept. 2007 23:42
par Kaji
Mouaif, bof. Le fait que ça ait complétement dénaturé la série gache à peu près tout. C'est un vulgaire film d'action sans réelle âme...
Publié : 25 sept. 2007 23:46
par KirbyX
Ah j'ai jamais dit que le scénario était pas efficace, juste que l'aspect à vieilli et qu'aujourd'hui ça fait sourire ^^
A part ça le film il rox TA MÈRE !

Publié : 25 sept. 2007 23:47
par Kaji
YAY \o/
Publié : 25 sept. 2007 23:55
par Nosuke
Le tombeau des lucioles, le film dans l'ensemble est chiant, mais la mise en scène de la fin et de ce qui arrive au héros permet de rattraper un peu le coup, d'ailleurs, le point fort du film, c'est la fin, car malgré qu'elle soit prévisible comme pas permis, elle est assez triste (elle se veut morale, et représente certaines réalités de la guerre)...
Publié : 26 sept. 2007 00:22
par Urd
Fin prévisible ? La fin ce sont les premières minutes du film.

Publié : 26 sept. 2007 00:24
par Holaf
KirbyX a écrit :Die Hard 1
Les scénarios de l'époque de la
Jeunesse d'Holaf 
j'avais 15 ans

Publié : 26 sept. 2007 00:34
par rom vat
Nosuke a écrit :Le tombeau des lucioles, le film dans l'ensemble est chiant, mais la mise en scène de la fin et de ce qui arrive au héros permet de rattraper un peu le coup, d'ailleurs, le point fort du film, c'est la fin, car malgré qu'elle soit prévisible comme pas permis, elle est assez triste (elle se veut morale, et représente certaines réalités de la guerre)...
Je ne suis pas du tout d'accord, pour moi le point fort du film c'est la justesse de la relation entre Seita et Setsuko et des sentiments qui les traversent, à commencer par l'abnégation impuissante de Seita pour survivre. C'est un film extrêmement dur et c'est d'ailleurs bien plus un film de guerre, comme Johnny Got His Gun par exemple, que tous les films mettant en scène des combats, car en montrant les combats il y a toujours un côté héroïque qui est véhiculé, on veut nous faire admirer la bravoure ou bien éprouver la fascination, deux idées purement romantiques qui confèrent des valeurs positives à la guerre.
Publié : 26 sept. 2007 00:37
par KirbyX
Depuis le temps que j'entend parler en bien du Tombeau des Lucioles et que je me dis qu'il faudrait que je me débrouille pour le matter...
Mais à force d'en entendre parler, limite je connais déjà tout le film par coeur

Publié : 26 sept. 2007 01:02
par Mélusine
Je plussoie rom vat, qui roxe toujours autant

Publié : 26 sept. 2007 01:05
par Valentine Rose
Il y a même une adaptation live

.
Publié : 26 sept. 2007 01:05
par Urd
rom vat a écrit :car en montrant les combats il y a toujours un côté héroïque qui est véhiculé, on veut nous faire admirer la bravoure ou bien éprouver la fascination, deux idées purement romantiques qui confèrent des valeurs positives à la guerre.
Il y a quand même des œuvres où le héros devient une machine à tuer malgré lui, entraîné de force à la guerre, et ne tire aucune satisfaction des luttes qu'il mène. Les personnages sont déchirés par les actes qu'ils commettent mais ne peuvent agir autrement.
Je pense en particulier à
Area 88 mais beaucoup de space opéra ont des thématiques similaires.
Ce n'est pas sur l'héroïsme des combats que se focalisent les œuvres mais sur la façon dont les personnages font face à leur conditionnement partiel ou total à la guerre.
Publié : 26 sept. 2007 01:16
par rom vat
Je ne connais pas Area88, mais de tous les films que j'ai vus, même quand il y avait un message critique (par exemple sur le fait qu'on formait des machines à tuer), il en ressortait une certaine fascination. Je comprends qu'on soit fasciné parce que ce sont des situations exceptionnelles où tout semble différent, mais je pense qu'il faut s'interroger sur cette fascination et comprendre ce qu'elle a de dangereux (y compris dans sa simple représentation à dessein de réflexion) : en appréciant "une belle scène de guerre", on porte un jugement esthétique qui tend à dénaturer la réalité d'un phénomène. Avec la fascination, c'est pareil, on est dans l'esthétique, et l'esthétique n'est pas la réalité, alors que l'on devrait (selon moi) s'efforcer de toujours vivre dans la réalité, autrement dit trouver le sens dans le réel et non dans le beau (et par ce biais, c'est d'ailleurs le réel qui devient beau car porteur du sens).
Publié : 26 sept. 2007 01:22
par Nosuke
Ba la relation entre frère et petite soeur, c'est évident que c'est aussi un point fort, vu que c'est ça qui rend la fin triste

, d'autant plus quand on sait que Seita a vu sa propre mère brulé, sous des bandages, sous ses yeux, et ça fait parti des réalités de la guerre que veut faire passer le film, quand on sait aussi que le seul espoir de Seita, de pouvoir encore vivre en famille sans peiner autant qu'il le fait, pour aider sa soeur, c'est de retrouver son père, et qu'il apprend que son père est mort en guerre, c'est sûr qu'une fois encore, ça l'fout mal, mais je sais pas pourquoi, j'ai trouvé le film vraiment chiant... Triste et morale, okay, mais un peu chiant aussi...
Publié : 26 sept. 2007 01:26
par Valentine Rose
Il y a même une adaptation live

.
*persiste*
Publié : 26 sept. 2007 01:28
par Kaji
Qu'est-ce que t'essayes de nous dire ? Qu'il éxiste une oeuvre complètement à l'opposé de l'anime, bien qu'en reprennant la trame, avec des acteurs mauvais et un réalisateur sans talent ?

Publié : 26 sept. 2007 01:31
par Iglou
J'ai loué INLAND EMPIRE pour me faire ma petite idée sur le dernier Lynch.
Je ne suis pas un inconditionnel du bonhomme mais je suis toujours prêt à laisser une chance.
Au final 2h50 de supplice, une oeuvre néo arty branchouille pour bobo défoncé tellement merdique qu'on se demande ce qu'est venu foutre Laura Dern dans ce merdier.
Putain c'est grave comment Lynch se regarde ce filmer, c'est à dire absolument n'importe comment, les gros plans utilisés en surabondance sont horribles, c'est pas cadré, c'est pas joué, c'est pas scénarisé, c'est pas sensoriel pour un sous, c'est juste du vent à haute dose pour ceux qui ont des troubles du sommeil, effet garanti.
C'est un ego trip nombriliste, en gros je crois qu'aucun film n'a mérité avec autant de justesse le terme de sombre merde (Laura Dern déambule dans des couloirs sombres pendant minimum 2h), David Lynch est vraiment la fumisterie la plus auréolé de ce début de siècle, un déni total de cinema.
Publié : 26 sept. 2007 01:34
par Kaji
Lynch n'est pas un escroc. Enfin, n'était pas : On ne peut pas réduire son cinéma à ça.
Mais c'est clair qu'à force de s'entendre dire qu'il est un génie, il l'a bien compris, et fait maintenant de la merde nombrilique pour festivals... (Depuis Muholland Drive, en fait)
Publié : 26 sept. 2007 01:35
par Urd
rom vat a écrit :Je ne connais pas Area88, mais de tous les films que j'ai vus, même quand il y avait un message critique (par exemple sur le fait qu'on formait des machines à tuer), il en ressortait une certaine fascination. Je comprends qu'on soit fasciné parce que ce sont des situations exceptionnelles où tout semble différent, mais je pense qu'il faut s'interroger sur cette fascination et comprendre ce qu'elle a de dangereux (y compris dans sa simple représentation à dessein de réflexion) : en appréciant "une belle scène de guerre", on porte un jugement esthétique qui tend à dénaturer la réalité d'un phénomène. Avec la fascination, c'est pareil, on est dans l'esthétique, et l'esthétique n'est pas la réalité, alors que l'on devrait (selon moi) s'efforcer de toujours vivre dans la réalité, autrement dit trouver le sens dans le réel et non dans le beau (et par ce biais, c'est d'ailleurs le réel qui devient beau car porteur du sens).
Donc quand on vit la guerre en tant que simple citoyen victime, on vit dans la réalité et quand on vit la guerre sur un champ de bataille on vit dans la fascination ? (C'est ça que j'ai l'impression de lire

)
Voir de "belles batailles" ou non dans les films, ce n'est pas l'important (sauf pour les ricains). Pour qu'un héros soit torturé mentalement, il faut qu'il ait connu un minimum de situations bouleversantes, je ne pense pas que ce soit ce qui manque dans les guerres... le résultat reste le même. Quelle que soit l'implication d'une personne pendant une guerre, la guerre aura eu un impact plus ou moins important sur elle.
Publié : 26 sept. 2007 01:37
par Iglou
Kaji a écrit :Lynch n'est pas un escroc. Enfin, n'était pas : On ne peut pas réduire son cinéma à ça.
Mais c'est clair qu'à force de s'entendre dire qu'il est un génie, il l'a bien compris, et fait maintenant de la merde nombrilique pour festivals... (Depuis Muholland Drive, en fait)
attention j'ai bien mis dans mon post "de ce siècle" donc ca ne comprend pas ses anciens films qui sont très bon, voir Muholland Drive qui reste a peu près correct.
Publié : 26 sept. 2007 01:38
par Martinus
Kaji a écrit :Mouaif, bof. Le fait que ça ait complétement dénaturé la série gache à peu près tout. C'est un vulgaire film d'action sans réelle âme...
J'admets que McClane a un peu changé mais vu son âge, le placer avec un jeune geek était pas une si mauvaise idée. Puis après ça reste le même genre d'histoire (en un peu plus "moderne" mais fallait pas s'attendre à retrouver les années 80 non plus.) avec un bon humour tout bête. Je veux bien être critique, il est loin du troisième par exemple, mais c'est pas une trahison non plus

Publié : 26 sept. 2007 01:42
par Kaji
J'ai peut-être exageré, mais je trouve tout de même que ça passe pas loin de la trahison.
Tu dis qu'il ne fallait pas s'attendre à quelque chose qui ressemblait de près ou de loin à aux trois permiers films... Pourquoi ? En plus d'être fidèle à l'origine de la série, c'aurait fait plaisir au fan-base.
Mais surtout, ce n'était pas du tout impossible : Rocky Balboa, c'est du 70's jusqu'à l'os. Et le film n'en est que meilleur.
Publié : 26 sept. 2007 01:45
par Martinus
J'ai pas vu le dernier Rocky mais même ces films là ont beaucoup changés avec les années. Et les films d'action aussi, Die Hard 4 est de son temps, tout comme le troisième est un emblême des années 90 et le premier des années 80.
Publié : 26 sept. 2007 01:48
par gné
Ça c'est pas de la bataille de lopette
(oui c'est le 1500eme fois que je le regarde
)