Publié : 16 mars 2006 21:00
Et parce que personne n'a les couilles pour les remettre a leur place 
Et toi, tu en es fier, tu viens exhiber ton incompetence

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Cyrare a écrit :Est-ce que je me trompe, mais j'ai l'impression qu'il y a de plus en plus de "syndicats" de droite qui font des opérations contre les manifestations.
Il y a 5 ans, ça existait pas du tout, et maintenant, ça se monte petit à petit. Uni, le syndicat universitaire de droite, fait pas mal d'opération anti-anti-CPE et je trouve que ça rééquilibre un peu, même si les médias ne s'en occupe pas encore.
Dans 5 ans, on va avoir une vraie représentativité des anti-anti-réformes, et je trouve que c'est bien que ceux qui sont contents manifestent aussi pour montrer à la France que y'a pas que les chieurs qui existent.
Ha non, j'ai surtout pas parlé de grèves, mais de manifestations. Défiler dans la rue pour dire qu'on est pour une réforme, pour montrer à la France que y'a pas que les chieurs qui sont contre tout, pour contrebalancer cette image de protestataires, je suis plutôt content. Il n'y a pas que les manifestations, il y a les communiqués de presse, les actions ciblées (distribution de tract) et le tout dans un respect des lois.Chat-Minou a écrit :Ouais, allez, tout le monde en grève pour tout et pour rien. Déjà que les grèves c'étaient parfois risible alors maintenant on fait grève contre ceux qui font grève : il n'y a plus aucune crédibilité, quel pays de merde !
Mais bon, c'est mieux que de faire alliance avec le FN hein ?Georges Frêche mis en examen pour insultes
[2006-03-24 11:41]
TOULOUSE (Reuters) - Le président socialiste de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, a été mis en examen pour "injures" à l'encontre de représentants d'une association de harkis, apprend-on auprès du Conseil Régional.
Cette mise en examen "lui a été signifiée mardi soir par le doyen des juges d'instruction du tribunal de Montpellier", a dit un responsable, ajoutant que "Monsieur Frêche ne tient pas pour l'instant à commenter publiquement cette décision judiciaire".
Le 11 février dernier, Georges Frêche, réputé pour son franc-parler, avait vivement pris à partie les responsables d'une association régionale de harkis lors d'une cérémonie à Montpellier. Entre autres invectives, il leur avait lancé : "Vous êtes des sous-hommes".
Il avait présenté des excuses deux jours après mais les représentants de l'association de harkis avaient porté plainte. Deux semaines plus tard, le Parti socialiste avait suspendu Georges Frêche de son bureau national.
Mail envoyé par le doyen de ma fac aux différents responsables de promos de la fac et qui nous a été transmis par le notre.[...] De récentes intrusions dans nos locaux d'éléments incontrôlés extérieurs à la Faculté se sont traduites par des dégradations, heureusement pour l'instant limitées ( utilisation des lances incendie, des extincteurs dont plusieurs ont été vidés voire volés, menus larcins..) et ont par ailleurs révélé chez certaines de ces personnes des attitudes parfois agressives.
Dans le contexte actuel, pour préserver notre sécurité il m'est apparu nécessaire de faire procéder ce jour à la fermeture de l'ensemble des portes des bâtiments du campus qui ne peuvent être sous surveillance permanente. [...]
On est pas sorti de ce bourbier >_<CPE : Les syndicats quittent Matignon insatisfaits
La première réunion entre syndicats et Dominique de Villepin a duré moins d'une heure. Les syndicats sont repartis sans avoir obtenu le retrait du CPE. Les organisations syndicales étudiantes devraient cependant être reçues à Matignon samedi matin.
Un peu moins d'une heure. C'est le temps qu'a duré l'entrevue entre les syndicats et le Premier ministre vendredi à Matignon. Les cinq confédérations syndicales ont quitté la réunion sur le CPEà 15h45. Le leader de la CGT, Bernard Thibault, a déclaré à la sortie n'avoir pas convaincu Dominique de Villepin de retirer le CPE, mais avoir obtenu qu'il reçoive les organisations étudiantes samedi matin.
Avant d'être reçus, les leaders des cinq principales confédérations syndicales n'avaient pas caché leur perplexité face aux propos tenus un peu plus tôt par le Président Chirac à Bruxelles. Jacques Chirac a déclaré que la loi sur le contrat première embauche devait "être appliquée" mais que le gouvernement et les syndicats devaient avoir un "dialogue responsable" pour en discuter des modalités.
Le secrétaire général de la CFDT François Chérèque a déploré la déclaration "très maladroite" du président Jacques Chirac sur le CPE. "Je ne comprends plus à quoi sert le dialogue", a-t-il dit dans la cour de Matignon. La réunion a débuté peu après 14h30 avec les cinq leaders des confédérations syndicales (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC). De son côté, le président de la CFTC, Jacques Voisin, a estimé que "l'annonce du président de la République n'est pas de bon augure" avant d'ajouter : "il faut retirer le CPE avant toute négociation".
L'intersyndicale aurait par ailleurs souhaité être reçue à douze : organisations de salariés, étudiants et lycéens réunies : CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, l'Unsa, la FSU, l'Unef, la Confédération étudiante, la Fidl et l'UNL. Ces derniers ont d'ailleurs annoncé qu'ils n'iraient pas chez le ministre de l'Education Gilles de Robien où ils étaient invités à 15h30.
Oui effectivement, j'ai beaucoup vu l'UNI (d'ailleurs l'un d'eux a essayé de nous convaincre pour voter pour leur liste aux élections du CROUS), j'ai aussi vu pas mal de tracts de RED (Rassemblement Etudiants de Droite). Quand je voyais des autocollants d'eux, je les décollais pasCyrare a écrit :Est-ce que je me trompe, mais j'ai l'impression qu'il y a de plus en plus de "syndicats" de droite qui font des opérations contre les manifestations.
Il y a 5 ans, ça existait pas du tout, et maintenant, ça se monte petit à petit. Uni, le syndicat universitaire de droite, fait pas mal d'opération anti-anti-CPE et je trouve que ça rééquilibre un peu, même si les médias ne s'en occupe pas encore.
Dans 5 ans, on va avoir une vraie représentativité des anti-anti-réformes, et je trouve que c'est bien que ceux qui sont contents manifestent aussi pour montrer à la France que y'a pas que les chieurs qui existent.
Si vous le pouvez, restez chez vous mardi^^CPE: la coordination nationale étudiante demande la démission du gouvernement
26/03/2006 14h56
PARIS (AFP) - La coordination nationale étudiante a demandé dimanche la démission du gouvernement de Dominique de Villepin en plus du retrait du CPE, à l'issue d'une réunion de deux jours à Aix-en-Provence.
Le Premier ministre s'était dit prêt samedi à "répondre" aux "deux préoccupations majeures" des jeunes sur le CPE - la période d'essai et les conditions de la rupture du contrat - à l'issue d'une rencontre avec les trois seules organisations d'étudiants qui avaient accepté de le voir avant la mobilisation nationale prévue mardi.
La coordination nationale étudiante a demandé dimanche la démission du gouvernement de Dominique de Villepin en plus du retrait du CPE, à l'issue d'une réunion de deux jours à Aix-en-Provence.
"Le gouvernement devra partir en même temps qu'il retirera son projet" de Contrat première embauche (CPE), a déclaré la coordination nationale étudiante dans un texte lu par plusieurs de ses membres, lors d'un point presse sur le site de l'université d'Aix-Marseille I.
"Le gouvernement a joué la stratégie de la confrontation, il a fait le choix du pourrissement et de la violence policière", ont ajouté les étudiants dans leur déclaration commune.
"Nous attendons la démission du gouvernement qui a eu l'audace, l'imprudence voire l'arrogance de faire jouer le 49-3 pour faire adopter le CPE", a déclaré à l'AFP Houssan, étudiant en histoire et sciences politiques à La Sorbonne à Paris.
Dans la soirée de samedi, le tribunal correctionnel de Paris a condamné à des peines de prison allant jusqu'à un mois de prison ferme cinq jeunes poursuivis pour des violences contre des policiers, sans les blesser, lors de la manifestation anti-CPE de jeudi entre la place d'Italie et les Invalides.
Après avoir affiché sa fermeté sur le maintien du CPE vendredi devant les confédérations syndicales, Dominique de Villepin a affirmé samedi sa volonté de "trouver une solution rapidement" à la crise sur le CPE, "par le dialogue".
L'Unef, la Confédération étudiante et les lycéens de l'UNL et de la Fidl ont décliné l'invitation de Dominique de Villepin mais sont venus devant Matignon, en fin de matinée, pour lire à l'intention de la presse la lettre qu'ils ont transmise au Premier ministre.
Pendant cette conférence de presse improvisée, les délégations de la Fage, l'UNI et PDE, les trois organisations étudiantes qui ont accepté l'invitation à Matignon, arrivaient à la réunion.
Les quatre organisations ayant décliné l'invitation ont reproché à Dominique de Villepin de vouloir les recevoir pour n'évoquer que les seules "+améliorations et conditions de mise en oeuvre du CPE+", donc posant "en préalable le maintien du CPE". Elles l'ont accusé de "verrouiller ainsi le débat en restant inflexible sur un contrat très largement contesté".
Elles ont renouvelé leur demande "solennelle" de retrait du contrat première embauche. "En confondant autorité et entêtement, le gouvernement plonge le pays dans une crise grave", a commenté Bruno Julliard (Unef).
Dans une brève allocution prononcée après plus d'une heure de réunion avec les trois organisations présentes, le Premier ministre a "regretté" que "certaines" organisations étudiantes et les organisations lycéennes, "aient refusé cette invitation au dialogue".
Mais il leur a surtout adressé un message: "Je souhaite répondre aux deux préoccupations majeures des jeunes sur le CPE: la période de deux ans et les conditions de la rupture du contrat", a-t-il déclaré.
M. de Villepin a annoncé par ailleurs un allongement de la durée des bourses entre le diplôme et l'insertion professionnelle, revendication de longue date et commune à tous les syndicats étudiants.
Le Premier ministre a assuré avoir "entendu les demandes" des jeunes quant à "la rémunération du risque pris par le jeune et le renforcement du filet de sécurité en cas de rupture du contrat", rappelant sa proposition d'"un revenu pendant trois mois" si "le jeune salarié fait le choix de la formation".
Il a également rappelé sa proposition d'évaluer le CPE "dans six mois", suggérant que les organisations étudiantes y participent, et annoncé une nouvelle rencontre avec "les organisations étudiantes la semaine prochaine pour progresser avec elles sur tous ces points".
Le président de la Fage, seule organisation présente à avoir pris position contre le CPE, Jean-François Martins, a estimé que "le dialogue est enfin ouvert".
L'intersyndicale (CGT, CFDT, CFTC, FO, CFE-CGC, FSU, Unsa, Unef, confédération étudiante, UNL et Fidl) qui mène depuis deux mois dans l'unité le mouvement contre le CPE a appelé à une journée interprofessionnelle de manifestations avec arrêts de travail mardi.
Blessé le 18 mars à l'issue d'une manifestation anti-CPE à Paris, le syndicaliste de Sud-PTT, Cyril Ferez, était toujours samedi dans le coma dans un état "stationnaire" selon l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).
J'aimerai préciser qu'en aucun cas le CPE en lui même n'est passé en 49-3."Nous attendons la démission du gouvernement qui a eu l'audace, l'imprudence voire l'arrogance de faire jouer le 49-3 pour faire adopter le CPE", a déclaré à l'AFP Houssan, étudiant en histoire et sciences politiques à La Sorbonne à Paris.
Le CPE fait partie de la loi sur l'égalité des chances. Cette loi a commencé à passer de manière parlementaire, le CPE est passé de cette façon puis l'opposition a tenté de bloquer le processus pour gagner du temps, et le premier ministre a demandé le 49-3.19oj19 a écrit :On nous aurait menti
Qu'est ce qui est passé en 49-3 alors ? La loi sur l'égalité des chances ou encore autre chose ?
Et alors ?RudeBoy a écrit :Cyrare faut pas croire que les flics sont gentils tout plein.
Y a aussi une bonne partie d'enculé, qui dés qu'ils arrivent à serrer quelqu'un ne se gêne pas pour lui faire des "petites tapes amicales".