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PARIS - La "bonne durée du travail, c'est celle qui permet de trouver le bon équilibre dans l'entreprise", a souligné samedi matin la présidente du MEDEF Laurence Parisot.


Si 2008 ne marquera pas la fin des 35 heures, "je suis persuadée qu'(elle) marque en tous cas la fin de l'erreur de raisonnement que beaucoup ont commise sur les 35 heures", a-t-elle noté sur Europe-1.

"Tout le monde a compris que la durée du travail ne se décrétait pas de manière uniforme, indéfinie", a poursuivi la présidente du Mouvement des entreprises de France (patronat). "La bonne durée du travail, c'est celle qui permet de trouver le bon équilibre dans l'entreprise, pour continuer à être compétitive, pour continuer à être rentable, pour continuer à être performante".

Elle a plaidé pour l'adoption des modèles des pays d'Europe du Nord ou d'Allemagne. C'est "un modèle où la durée du travail est déterminée par accord entre les organisations syndicales et les organisations patronales, entreprise par entreprise, ou branche par branche".

Selon Laurence Parisot, "il va y avoir encore beaucoup de cheminement, de réflexion" sur ce sujet. AP

Urd a écrit :

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Xavier Garambois
Directeur Général

deisuke a écrit :

PARIS - La "bonne durée du travail, c'est celle qui permet de trouver le bon équilibre dans l'entreprise", a souligné samedi matin la présidente du MEDEF Laurence Parisot.


Si 2008 ne marquera pas la fin des 35 heures, "je suis persuadée qu'(elle) marque en tous cas la fin de l'erreur de raisonnement que beaucoup ont commise sur les 35 heures", a-t-elle noté sur Europe-1.

"Tout le monde a compris que la durée du travail ne se décrétait pas de manière uniforme, indéfinie", a poursuivi la présidente du Mouvement des entreprises de France (patronat). "La bonne durée du travail, c'est celle qui permet de trouver le bon équilibre dans l'entreprise, pour continuer à être compétitive, pour continuer à être rentable, pour continuer à être performante".

Elle a plaidé pour l'adoption des modèles des pays d'Europe du Nord ou d'Allemagne. C'est "un modèle où la durée du travail est déterminée par accord entre les organisations syndicales et les organisations patronales, entreprise par entreprise, ou branche par branche".

Selon Laurence Parisot, "il va y avoir encore beaucoup de cheminement, de réflexion" sur ce sujet. AP

http://fr.news.yahoo.com/ap/20080112/tf ... 3fe_1.html


wouhou.

Après de longues négociations, l’Elysée et TF1 se sont enfin mis d’accord : le Président de la République apparaîtra dans un des prochains épisode de la série policière Julie Lescaut. Nicolas Sarkozy jouera son propre rôle dans une séquence où le commissaire Lescaut reçoit la Légion d’Honneur pour avoir déjoué un complot terroriste en plein cœur de Paris.

Toad San a écrit :

Après de longues négociations, l’Elysée et TF1 se sont enfin mis d’accord : le Président de la République apparaîtra dans un des prochains épisode de la série policière Julie Lescaut. Nicolas Sarkozy jouera son propre rôle dans une séquence où le commissaire Lescaut reçoit la Légion d’Honneur pour avoir déjoué un complot terroriste en plein cœur de Paris.

Voilà qui ferait plaisir à tous les sarkoboys (et girls ouais !) du dojo dont moi (mdr )

Kenshin83 a écrit :je sais pas... Personne avait crié au scandale lors de l'apparition de Chirac dans Taxi 2...

C'est "un cataclysme économique et politique". Martin Weale, le directeur d'un très sérieux institut économique britannique s'alarme-t-il du baril à 100 dollars, de la crise du crédit dans le Financial Times ? Point du tout. Il s'agit de quelque chose de beaucoup plus grave : l'économie anglaise est passée derrière celle de ses terribles voisins, les Français.

Le produit intérieur brut (PIB) français vient en effet de dépasser le PIB britannique, grâce à la forte dépréciation de la livre sterling par rapport à l'euro, redonnant à la France le rang de cinquième puissance économique mondiale, selon le Financial Times.

"La chute du Royaume Uni à la sixième place va mettre sous pression la réputation de compétence économique du gouvernement, d'autant que c'est l'ancien rival de l'Angleterre, la France qui gagne une place", estime le quotidien britannique...

Déjà la Chine...

L'article du "FT" explique cette chute par le plongeon spectaculaire de la devise britannique face à la monnaie unique (-9% depuis novembre). Il la compare avec la crise de la livre en 1992, qui avait entraîné la sortie du Royaume-Uni du Système monétaire européen.

Selon les savants calculs du quotidien britannique, le PIB 2006 du Royaume-Uni (dernier chiffre annuel disponible), qui s'élevait à 1.304 milliards de livres, ne pèse plus que 1.721 milliards d'euros au taux de change actuel, soit 4% de moins que celui de la France la même année (1.792 milliards d'euros).

Ce qui désole un peu plus les économistes anglais, c'est que le Royaume Uni avait déjà laissé sa place de quatrième puissance économique à la Chine en 2005. Le PIB français remonte, provisoirement tout du moins, au 5ème rang mondial, derrière celui des Etats-Unis, du Japon, de l'Allemagne et de la Chine.

d'autant que c'est l'<b>éternel</b> rival de l'Angleterre, la France qui gagne une place