NintendojoFR : Le forum

Golden cube a écrit : 15 janv. 2021 17:36 En même temps quand ils sont plus agés ils mettent le masque non?
Ca pourrait expliquer.

meduz' a écrit : 29 janv. 2021 20:40 Des données bien présentées sur le nombre de vaccinations en France : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/ar ... 55770.html

Kojimoto a écrit : 30 janv. 2021 13:54 J'ai perdu goût et odorat depuis hier. Je peux donc me bourrer la tronche à coup de villageoise sans plisser les yeux ou grimacer.
Sur la gestion de crise et le vaccin je ne cherche même plus à m'informer convenablement. Juste assez pour savoir à quelle heure il faut rentrer à la maison et si on a encore le droit de sortir avec/sans papier... J'avais déjà bien aimé pendant le premier confinement le texte adressé à France Inter par Houellebecq. Les mois passant avec cette crise du COVID, et mon indifférence grandissant au fil du temps, je m'aperçois qu'en réalité ça fait des années déjà que je suis en décalage complet face aux gros problèmes que nous rencontrons collectivement. Comme marginal malgré moi en fait, je ne sais pas trop comment l'expliquer. C'est peut-être que depuis 2012, et le moment ou j'ai quitté ma campagne pour Paris, j'ai petit à petit cessé de croire au progrès, qu'il soit technologique ou social/collectif, et à l'idée de parvenir à un monde meilleur. La brutalité, l'inhumanité de Paris, le fait d'observer de l'intérieur en tant qu'agent comment fonctionne l'administration, l'exploitation politicienne de sujets cruciaux comme l'écologie, plus les attentats, plus les gilets jaunes, plus Notre-Dame qui flambe, plus cette épidémie, et systématiquement, quel que soit le sujet et sa gravité le décalage de bon sens qu'il me semble y avoir entre ce que j'en pense, et les réactions politiques/médiatiques, autant dire que je n'avais pas besoin de tout ça pour cultiver ma misanthropie, ma mélancolie, et mon penchant naturel à verser dans le "c'était mieux avant". Tout ça pour dire que bien qu'étant moi-même malade du COVID aujourd'hui je ne parviens même pas à déterminer si je suis pour ou contre le vaccin. Je n'arrive même plus à me dire si c'est ou non LA ou une solution. Ce dont je suis persuadé en revanche c'est que vu l'état de l'hôpital, vu les péripéties entourant l'approvisionnement en matériel (depuis les masques il y a un an à ces vaccins aujourd'hui) et vu la qualité du personnel politique : le jour ou un virus vraiment très dangereux se répandra ça va vraiment ressembler à l'apocalypse

MectonLaFlemme a écrit : 30 janv. 2021 23:43

Kojimoto a écrit : 30 janv. 2021 13:54 J'ai perdu goût et odorat depuis hier. Je peux donc me bourrer la tronche à coup de villageoise sans plisser les yeux ou grimacer.
Sur la gestion de crise et le vaccin je ne cherche même plus à m'informer convenablement. Juste assez pour savoir à quelle heure il faut rentrer à la maison et si on a encore le droit de sortir avec/sans papier... J'avais déjà bien aimé pendant le premier confinement le texte adressé à France Inter par Houellebecq. Les mois passant avec cette crise du COVID, et mon indifférence grandissant au fil du temps, je m'aperçois qu'en réalité ça fait des années déjà que je suis en décalage complet face aux gros problèmes que nous rencontrons collectivement. Comme marginal malgré moi en fait, je ne sais pas trop comment l'expliquer. C'est peut-être que depuis 2012, et le moment ou j'ai quitté ma campagne pour Paris, j'ai petit à petit cessé de croire au progrès, qu'il soit technologique ou social/collectif, et à l'idée de parvenir à un monde meilleur. La brutalité, l'inhumanité de Paris, le fait d'observer de l'intérieur en tant qu'agent comment fonctionne l'administration, l'exploitation politicienne de sujets cruciaux comme l'écologie, plus les attentats, plus les gilets jaunes, plus Notre-Dame qui flambe, plus cette épidémie, et systématiquement, quel que soit le sujet et sa gravité le décalage de bon sens qu'il me semble y avoir entre ce que j'en pense, et les réactions politiques/médiatiques, autant dire que je n'avais pas besoin de tout ça pour cultiver ma misanthropie, ma mélancolie, et mon penchant naturel à verser dans le "c'était mieux avant". Tout ça pour dire que bien qu'étant moi-même malade du COVID aujourd'hui je ne parviens même pas à déterminer si je suis pour ou contre le vaccin. Je n'arrive même plus à me dire si c'est ou non LA ou une solution. Ce dont je suis persuadé en revanche c'est que vu l'état de l'hôpital, vu les péripéties entourant l'approvisionnement en matériel (depuis les masques il y a un an à ces vaccins aujourd'hui) et vu la qualité du personnel politique : le jour ou un virus vraiment très dangereux se répandra ça va vraiment ressembler à l'apocalypse

Courage et soigne toi bien

Mortal a écrit : 17 févr. 2021 16:51 Avec nos 1 millions de vaccinés plus tous les immunisés, on va ptet commencer à doucement voir le bout du tunnel…