19oj19 a écrit :La dette a pas baissé, elle a moins augmenté
(Même si c'est un début, j'en conviens^^)
Chunky a écrit :Le PIB il change aussi, ça veut un peu rien dire si ils se basent sur des PIB différents
On veut des chiffres pour 2005, pas des pourcentages
La dette n'est interessante qu'en fonction du PIB...
Dette française 2005 : 1 136,8 M€, soit 66,2 % du PIB
Dette française 2006 : 1 142,2 M€, soit 63,9 % du PIB
Si un petit pays qui a un PIB 100 fois inférieur au notre à une dette de 500 M€, ça veut pas dire qu'ils sont en 2 fois meilleure santé que nous.
On a une dette en valeur plus importante, mais 1 € de dette à l'année n est moins grave qu'1€ de dette à l'année n+1. (hors recession)
Ne pas prendre en compte le PIB, c'est comme si en 2002 t'avais dit "Trop cool, la dette est passé de 6500 M à 1000 M (on s'en fout de la monnaie, je regarde que les chiffres moi )."
Cyrare a écrit :
Et hausse des prélèvements obligatoires, ce qui confirme une baisse du chomage par une reprise de l'activité.
Alors, je ne sais pas si j'ai tout bien compris, mais ce n'est pas parce qu'il y a plus de personnes qui payent d'impôts qu'il y a forcément une baisse du chomage. Il peut très bien y avoir plus de chomeurs et plus d'actifs en même temps ...
Chat-Minou a écrit :Alors, je ne sais pas si j'ai tout bien compris, mais ce n'est pas parce qu'il y a plus de personnes qui payent d'impôts qu'il y a forcément une baisse du chomage. Il peut très bien y avoir plus de chomeurs et plus d'actifs en même temps ...
Oui mais y'a pas eu de boum démographique provoquant une augmentation de l'offre sur le marché de l'emploi, c'est même l'inverse, il y a plus de départ à la retraite que d'arrivée de jeunes ou d'immigrants.
Sans doute grisé par les sondages qui le placent en tête du premier
tour, le candidat UMP s'est récemment laissé aller à une petite crise
d'autorité dans les locaux de France 3. Une sorte de caprice régalien
que l'on croyait appartenir à d'autres temps, ceux de la vénérable ORTF.
M. Sarkozy a en effet menacé de « virer » notre direction. Comme ça,
sur un coup de tête. Parce qu'elle n'a pas daigné lui dérouler le tapis
rouge et accourir immédiatement à sa rencontre lorsqu'il est venu, le
18 Mars dernier, participer à l'émission France Europe Express,
présentée par Christine Ockrent.
A peine arrivé, Monsieur le Ministre-candidat se laisse d'abord aller
à quelques grossièretés, estimant que cette émission « l'emmerde » et
qu'il n'a pas envie de la faire !
Ensuite, le voici vexé de devoir attendre dans les couloirs de France
3 pour être maquillé, d'autres invités occupant déjà les lieux (et oui,
France 3 ne dispose que d'une salle de maquillage). Coupable de ce «
crime de lèse-Sarkozy », voici notre direction sur la sellette. «
Toute cette direction, il faut la virer », a lâché le candidat UMP,
comme le rapporte le Canard Enchaîné du 21 Mars 2007. « Je ne peux pas
le faire maintenant. Mais ils ne perdent rien pour attendre. Ca ne va
pas tarder ».
Les Français sont désormais prévenus ! L'une des priorités de Nicolas
Sarkozy s'il est élu président de la République sera de couper des
têtes à France 3. A la trappe ces directeurs qui tardent à exécuter les
courbettes.
Le Ministre-candidat avait déjà habitué notre rédaction à ses poses
agacées, à ses humeurs dans nos locaux, face à une rédaction qui ne lui
semble manifestement pas suffisamment docile. Comme cette récente
provocation gratuite à l'adresse d'un journaliste du service politique
« ça ne doit pas être facile de me suivre quand on est journaliste de
gauche ! ». Désormais, c'est à la direction qu'il veut s'en prendre ?
La Société des Journalistes de la Rédaction Nationale de France 3 ne
peut qu'être scandalisée par une telle attitude de la part d'un
candidat à la plus haute magistrature de France. Nous nous inquiétons
que M. Sarkozy puisse afficher sans aucune gêne un tel mépris pour
l'indépendance des chaînes de service public.
Non, Monsieur Sarkozy, les journalistes de la Rédaction Nationale de
France 3 ne sont pas et ne seront jamais vos valets. Ils résisteront à
toute menace pesant sur leur indépendance. Si nous devons des comptes,
ce n'est pas à un ministre-candidat, mais aux millions de
téléspectateurs, qui regardent chaque jour nos journaux d'information.
Par respect pour eux, pour leur intelligence, nous n'accepterons
jamais aucune forme de mise sous tutelle politique. Ni de votre part,
ni de la part d'aucun autre candidat.
A bon entendeur.
La Société des Journalistes de France 3. Le 23 Mars
2007
Non c'est pas un poisson d'avril, on en parle depuis plus d'une semaine environ. Mais après ça ne veut pas dire que c'est vrai, mais bon si c'est le cas je serais pas étonné.
O.P HxH a écrit :Non c'est pas un poisson d'avril, on en parle depuis plus d'une semaine environ. Mais après ça ne veut pas dire que c'est vrai, mais bon si c'est le cas je serais pas étonné.
Il me semblait pas avoir fait un post sur un ton serieux.
Sarkozy a (si c'est vrai) eu un comportement de merde, mais ce n'est ni le premier, ni le dernier.
Et je parie qu'aucun éléphant de la politique ne fait de petite crise de dictateur refoulé (y compris la mite qui d'après l'auteur du Bebete show s'est permi de tout faire pour mettre un terme à cette émission, vive les socialos jantys )
genre les maychamps ça n'existe pas en politique . C'est plutôt les jantys qui se comptent sur les doigts d'une main d'un manchot
Red_Cheeks a écrit :Comme cette récente
provocation gratuite à l'adresse d'un journaliste du service politique
« ça ne doit pas être facile de me suivre quand on est journaliste de
gauche ! ». Désormais, c'est à la direction qu'il veut s'en prendre ?
Et puis cette phrase, faut vraiment être un coincé du cul pour s'en offusquer, c'est le genre de phrase qu'il dit tout le temps publiquement pour rigoler...
Fin bon, je vois pas le problème. Les employés menacent les patrons, les syndicats menacent les politiques, les politiques menacent les médias, les médias menacent le gouvernement, le PS menace les maires, Julien Dray menace le CRIF, les racailles menacent Sarkozy, enfin bon, tout le monde le fait et certains le découvrent aujourd'hui, c'est bien, chacun avance à son rythme cela dit.
Il aura fallu un mois de "filatures discrètes", affirme Auto Hebdo, pour établir le "palmarès" : celui des infractions les plus conséquentes aux limitations de vitesse dont se sont rendus coupables les divers candidats à l'élection présidentielle. Et l'hebdomadaire publie ses résultats ce mercredi...
Avec un dépassement de 60 km/h de la vitesse autorisée, Nicolas Sarkozy est talonné, dans ce classement d'Auto Hebdo, par Jean-Marie Le Pen (55 km/h au-dessus de la limite), François Bayrou (50 km/h) et Ségolène Royal (48 km/h).
La voiture dans laquelle avait pris place le candidat de l'UMP et ancien ministre de l'Intérieur a été chronométrée, affirme l'hebdomadaire, à 130 km/h dans une zone limitée à 70 km/h. Le candidat du Front National, qui s'est prononcé pour un relèvement de la limitation de vitesse sur autoroute, a été chronométré à 185 km/h au lieu de 130 km/h, alors que celui de l'UDF circulait à 120 km/h sur une voie limitée à 70 km/h. Enfin, la candidate socialiste roulait à 158 km/h dans une zone limitée à 110 km/h.
Sarkozy, toujours une longueur d'avance
Mais c'est dommage qu'ils aient pas chronométré Besancenot ni Mamère sur leur vélo