J'ai rêvé que je filmais un gang (non pas de bang après) avec des parisiens mais en Guyane.
Je les voyais le soir avant qu'ils aillent faire des sales coups, y'avait du rap français à fond dans leur local, du raï parce que y'avait une majorité de rebeu. Les mecs se motivaient à base d'insulte contre la société et les gens et tout. Moi je trouvais ça chaud qu'ils parlent avec un tel mépris de la vie

Et donc le gang se décide à sortir pour voir quelle saloperie ils peuvent faire ce soir.
Donc je marche dans les rues avec eux, quand soudain, un autre gang arrive
Alors là, les mecs dégainent, et je vois les mecs du gang buter des mecs mais surtout se faire descendre.
la situation est tendue, parce qu'ils se font plus butter qu'ils ne buttent.Et moi je me dis que journaliste ou pas, le fait de savoir que j'étais avec eux, ça peut faire de moi une cible potentielle.
Pis je vois un des mecs du gang que je suis faire semblant de prendre une balle et s'allonger. Ni une, ni deux je l'imite et fait genre je m'écroule. Je suis assez fier parce que la simulation est pépère, si ils font pas chier à vérifier les corps, je peux m'en sortir pépère.
Mais bien évidemment le gang d'en face passe pour voir si y'a des survivants, et je commence à baliser, parce que courir, ça servirait à rien, j'attends donc que la police daigne arriver, les coups de feux ont du alerter le voisinage quand même
Et ben elle arrive pas

Alors le gang d'en face tombe déjà sur le mec que j'ai imité, l'insulte pour avoir fait semblant et le plombe comme une merde.
Alors là moi je roule doucement vers le caniveau, parce que y'a une meuf dans sa voiture qui est sur le point de démarrer et la porte passager est ouverte. Je veux pas faire trop de bruit pour pas alerter les méchants, donc je lui demande si elle peut me laisser monter et puis on trace rapidement pour éviter les embrouilles.
La pute fait genre qu'elle est pas chaude, préférant me laisser dans ma merde. Pis finalement elle accepte, je monte discrétos, mais visiblement pas assez, puisque à cet instant là, les méchants me remarquent et courrent vers moi. Ma vie tiens donc à une pouf qui prend tout son temps pour démarrer sa bagnole, mais je me dis que je dois pas la presser sinon elle va stresser et elle risque de caler. :o
Elle démarre juste au moment où les mecs arrivent au niveau de la vitre passager, et làje me dis ok ça peut le faire, mais c'était trop beau, le gang ouvre le feu et je me ramasse 3 balles.
Je sens mon crps se refroidir, et une envie de dormir, mais je résiste.

Vaillamment je repousse la mort et parviens à survivre.
Et puis d'un coup d'un seul, je me retrouve à nou eau dans les locaux du gang. Il en restait quelques uns, mais c'est un groupe bien plus réduit et moins influent, pourtant je constate que j'ai des tatouages du gang sur moi.
Ils ont décidé que je faisais partie de leur gang, mais moi j'étais pas chaud. Seulement, ils ont été sympas en me rappelant qu'on pouvait pas quitter le gang sous peine de me faire trucider ainsi que ma chérie, si je jouais pas mon rôle au sein de l'organisation.
J'étais donc pris au piège, et puis quand je me rappelais comment ils se sont fait descendre comme des merdes je suis pas rassuré.
On doit donc partir en mission, on est 4, je les suis, mais je croise un flic, et je me dis que je préfère encore qu'il m'arrête, je dénonce tout le monde et puis on change d'identité et de pays avec ma chérie. (Ouai je poucave ses batards).
Il est à noter qu'il y a 2 mexicains et un arabe dans le gang, et que l'action se situe à New york cette fois ci.
Donc je vois que le flic m'offre cette opportunité que je saisis sans broncher. Après avoir passé le deal, je marche pépère quand je croise les mecs du gang qui me disent que y'a une baston avec un autre gang que je dois venir, sinon ils me butent.
J'y vais donc, et là ça loupe pas, y'a des échanges de coups de feu. Les mecs de mon gang sont moins nombreux et les pertes sont assez rapides. J'en arrive à être tout seul, et je me casse en courant. Je me mange une balle, mais ça va je peux encore courir, là je commence à me dire que la situation est désespérée et que je vais crever comme une merde. (remarquez au passage que mon arrangement avec la police n'a plus aucun itérêt à ce moment précis

)
Et mà alors que on ne l'attendait plus, la salvatrice sonnerie du réveil interromps ce carnage. Ouf, je me réveille et je suis bien content.
ça fait flipper ce genre de rêve, par contre ça m'a rendu chaud pour jouer à gta 4 en réseau et buter des chicanos.
