Re: Le Topic du foot
Publié : 15 sept. 2009 22:34
pour l'instant les résultats sont parfaits 

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Dans les arrêts de jeu de la première mi-temps, Gilardino est coupable d’un coup de coude sur Jérémy Toulalan et est expulsé par l’arbitre néerlandais.
Nan mais jor le coup de coude volontaire dans la gueule ça vaut pas un rougeL'exclusion était injuste mais je ne veux pas commenter l'arbitrage. L'arbitrage a-t-il tout changé ? Cela me fait plaisir que cette remarque provienne de la presse française.
J'ai pronostiqué pareil pour Real - OMLeon a écrit :Bon, Lyon a fait le boulot en Hongrie. 6 pts sur 6. Le plus dur commence.
Ce soir c'est Real-OM. Pas mal de gens se disent que l'OM peut faire un truc. Moi pas trop, ça risque d'être dur pour eux. L'essentiel c'est pas de se prendre une valise. Allez, le prono-tout-pourri-de-Leon : 3-1 pour les merengues.
Bordeaux de son coté ne peut que gagner (meilleure équipe française à domicile contre Tel Aviv), 3 - 0.
Bon bah je me suis pas trop trompé, il manque juste un but pour l'OMrom vat a écrit :J'ai pronostiqué pareil pour Real - OMLeon a écrit :Bon, Lyon a fait le boulot en Hongrie. 6 pts sur 6. Le plus dur commence.
Ce soir c'est Real-OM. Pas mal de gens se disent que l'OM peut faire un truc. Moi pas trop, ça risque d'être dur pour eux. L'essentiel c'est pas de se prendre une valise. Allez, le prono-tout-pourri-de-Leon : 3-1 pour les merengues.
Bordeaux de son coté ne peut que gagner (meilleure équipe française à domicile contre Tel Aviv), 3 - 0., mais 1-0 pour Bordeaux
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A quelques jours de France - Féroé à Guingamp (le 10octobre), Raymond Domenech a accordé une interview exclusive au Télégramme. Il revient notamment sur la polémique lancée par Le Parisien avant France - Serbie.
- Raymond Domenech, lorsque vous avez dirigé votre premier match des A, à Rennes en 2004, vous sembliez déjà tout connaître du métier de sélectionneur après avoir été à la tête des espoirs pendant onze ans. En quoi les cinq années écoulées ont-elles modifié votre approche?
«Il y a un abysse entre les espoirs et les A.La pression autour est au-delà de ce qu'on peut imaginer. Tant qu'on ne l'a pas vécue, on peut en parler, on peut croire que, tous les entraîneurs de clubs peuvent raconter ce qu'ils veulent... Ce métier-là apprend à être prêt à tout. Il faut être bon marin pour continuer à avancer en utilisant les vents».
- Il faut tirer des bords...
«Voilà! Je tirerais bien parfois autrement (il fait mine de se servir d'un fusil et vise la porte) mais... Le métier de sélectionneur, c'est ça: se dire qu'on a une idée, on sait où il faut aller, on ne sait pas toujours comment, mais on sait qu'on va y aller. Et il faut savoir orienter et utiliser l'énergie des uns et des autres».
- Revenons à Rennes en 2004. Un article de l'époque vous y décrivait en «sélectionneur bavard, compréhensible, explicite». Donc très différent de vos trois prédécesseurs. Pourquoi ça n'a pas duré?
(rires). Les communications d'Aimé (Jacquet) et de Roger (Lemerre) au départ, ne devaient pas être très différentes de la mienne. Jacques (Santini) un peu moins parce qu'il était un peu plus fermé... Et, petit à petit, on se rend compte qu'on est obligé de peser ses mots. Des phrases anodines sont devenues des bombes à retardement une fois décortiquées et sorties de manière mal intentionnée. Parce qu'on les a utilisées pour ça et que des gens malsains ont fait ça. Du coup, on est obligé de revenir à une rigueur dans le discours qui donne l'impression que c'est de la langue de bois».
- Comment vivez-vous les critiques systématiques d'anciens joueurs devenus consultants dans les médias?
«Je leur souhaite une chose, c'est d'être sélectionneur un jour. Mais je remarque que les plus critiques sont ceux qui n'ont jamais rien fait. Ceux qui savent tout sans avoir jamais rien fait. Je ne vais pas répondre à des vieux aigris qui trouvent le mal partout et qui critiquent systématiquement sans jamais avoir prouvé quoi que ce soit. Certains ont essayé, ils ont été trois mois entraîneur (*). Ils sont redevenus consultants. C'était mieux. Tant pis pour eux s'ils finissent vieux rabougris».
- Quoi qu'il en soit, des sifflets systématiques vous accueillent à chaque match. Dans la chanson qu'elle vous a consacrée, Catherine Ringer dit de vous «Il se fout du qu'en dira-t-on». Est-ce vrai?
«Ah, vraiment, oui! Ça a une influence uniquement sur les gens autour de moi. Je sais que ça les touche. D'entendre dire toute la journée que je suis le roi des abrutis, que je suis un connard, que je n'y comprends rien, que je suis nul, à la longue ça doit être fatigant. J'essaie de leur prouver dans la vie de tous les jours que je ne suis pas celui-là. Je ne peux pas faire autre chose. Je ne peux pas lutter contre la mauvaise foi, les rumeurs malsaines... les mensonges. Parce qu'il y a des mensonges aussi. Volontaires».
- Vous pensez à l'histoire d'avant France - Serbie?
«Oui. L'histoire avec Thierry Henry, c'est un mensonge volontaire. Malsain. Dangereux. Coupable. Il n'y a pas de présomption d'innocence: le mec qui a colporté ça est coupable de vouloir déstabiliser l'équipe de France. Ce jour-là, on a parlé de l'organisation, comme ça se fait naturellement quand on a une équipe qui arrive à parler... Moi je suis sorti de là en disant «super», on a réussi à remettre les choses en place. Après, le match de la Roumanie me prouve que c'était vrai, que les mecs avaient vraiment adhéré. J'étais vraiment bien. Et on m'en fait une pourriture... J'avoue des fois un petit peu de colère. (Son visage se durcit). Et si je pouvais avoir sous la main le mec qui a sorti ça comme ça, je pourrais être méchant. Vraiment. Froidement. Parce que c'est vraiment malhonnête».
- Compte tenu de la richesse de son effectif, comprenez qu'on soit surpris de voir l'équipe de France en difficulté dans ce groupe éliminatoire...
«Je ne comprends pas qu'on puisse sous-estimer les adversaires. Le nivellement sur un match, c'est l'essence même du football, c'est sa richesse et sa force. Regardez l'Argentine, qui avec les meilleurs joueurs du monde ne jouera peut-être même pas les barrages!»
- Votre équipe, elle, passera vraisemblablement par les barrages. A tout prendre, et en cas de qualification bien sûr, est-ce un mal pour un bien de disputer ces deux matchs de compétition plutôt que des matchs amicaux?
«Ces matchs à haute intensité sont enrichissants pour les mecs costauds. Ils sont perturbants pour les pleureuses et les gens qui ont toujours des excuses. Un groupe solide et talentueux doit sortir renforcé d'une épreuve comme celle-là. Si on passe les barrages, on va à la Coupe du monde armé. Costaud».
- Pour la gagner?
«Mais oui!»
- Dans la reconstruction de votre équipe, Gourcuff a été un miracle, non?
«Non. Comme pour Zidane à l'époque, c'est une suite normale de l'évolution des joueurs et des choix des sélectionneurs. Il y a un moment où on se dit, il est là, il est prêt et c'est à nous d'ouvrir la porte et de le pousser, de le jeter. Ce n'est pas un miracle».
- Pendant combien de temps pouvez-vous rester dans l'ambiguïté sur le dossier Mandanda-Lloris?
«Je ne suis pas dans l'ambiguïté. Je rappelle que pendant un an j'ai dit, ?j'ai une hiérarchie, je la garde ?. Aujourd'hui, le contexte est différent. Les prestations de Steve ne justifient pas qu'on dise continuellement qu'il aurait mérité de rester le premier. Il fallait essayer l'autre aussi, voir ce que ça pouvait donner. Maintenant, on a des bases. Elles sont équilibrées. Mais je n'oublie pas non plus que, derrière, il y a Carasso. Pour le moment, il est peut-être un peu en retard, mais...»
- Comment avez-vous reçu les paroles de Benzema, qui, dimanche dernier sur TF1, a avoué qu'il n'avait? pas forcément envie de tout donner ?lorsqu'il est entré contre la Roumanie?
«Ce qu'il dit d'abord est inadmissible. C'est une erreur de le faire, une erreur de le dire. Mais derrière, il dit qu'il a compris, que, même s'il doit rentrer cinq minutes, il montrera quelque chose. Je retiens ça. Je ne condamne pas des gens sur une phrase. Que Karim montre sur le terrain que la dernière phrase qu'il a dite est plus importante que celles d'avant».
- Vous allez jouer à Guingamp, «chez» Noël Le Graët. Quels sont vos rapports?
«J'ai un profond respect pour lui. D'abord, pour ce qu'il a fait pour son club et tout le reste autour. La mairie, l'entreprise, la sorte de tribu qu'il a autour de lui... Je suis admiratif de tout ce qu'il a construit. Admiratif aussi du travail qu'il a fait à la fédération. C'est lui qui négocie... tout. Je sais en plus que dans les périodes troubles et difficiles, et depuis ce jour-là j'ai une vraie admiration pour le patron qu'il est, c'est lui qui a été l'homme fort pour soutenir Aimé Jacquet».
- Il a recommencé après l'Euro 2008 en mettant tout son poids pour vous sauver à votre tour...
«Il est fidèle et respectueux de ses engagements. C'est un bonheur d'avoir un dirigeant comme lui».
(*) Il vise Jean-Michel Larqué, consultant consensuel pour TF1, mais qui sur RMC multiplie les interventions à charge contre Domenech. Larqué a été entraîneur du PSG en1977 et1978.
Raymond il fait exprès de jouer les barrages pour s'assurer qu'il n'y a pas de lopettes«Ces matchs à haute intensité sont enrichissants pour les mecs costauds. Ils sont perturbants pour les pleureuses et les gens qui ont toujours des excuses.
Histoire de renouer avec la victoire et la confiance, les joueurs de l’AS Nancy-Lorraine avaient décidé d’affronter l’équipe espoirs du club en amical ce matin.
C’est raté, l’équipe A s’est faite étriller 0-5. Ironie du sort, c’est Samir Hadji, le fils de Mustapha Hadji, donc ipso facto le neveu de Youssouf Hadji, qui a marqué un triplé ravageur pour les jeunes.
C’est le PSG qui a eu de la chance...
Metz part en croisade européenne lors de la saison 1984-85. Dès le premier tour, les Messins créent l'exploit, face au FC Barcelone de Bernd Schuster, le fantasque meneur de jeu allemand. A l'aller, les Messins ont l'intention de se surpasser devant leur public. Un premier but de Luc Sonor contre son camp anesthésie les supporters messins, mais Toni Kurbos réchauffe l'ambiance en égalisant une minute avant la fin de la première mi-temps. Malheureusement, dès la reprise, les Messins s'effondrent. Ils encaissent trois buts en vingt minutes. Schuster (47ème ), Calderer (53ème ) puis Carrasco (64ème) portent le score à 4-1 en faveur de la formation catalane. Les Lorrains sont dépassés, décontenancés par la rapidité et la technique des attaquants du Barça. Un pénalty accordé à Metz et transformé par Jean-Philippe Rohr (85ème) permet de réduire la marque à 2-4.
Les Messins entrevoient déjà une élimination prématurée, à l'image de leurs expériences passées en Coupe d'Europe. Les Barcelonais, eux, s'estiment qualifiés. L'excès de confiance les guette. Aucune couverture nationale n'est prévue, que ce soit à la TV ou par radio. Les supporters grenats les plus chanceux en sont quitte pour suivre la rencontre sur la bande FM. Le FC Metz est trop largement sous-estimé par les Espagnols. Au retour, dans un Camp Nou désert aux deux tiers, Barcelone ouvre le score grâce à Carrasco (33ème). Désormais, Metz doit marquer quatre fois pour se qualifier, ce qui parait absolument impossible. Mais rien ne peut arrêter le FC Metz en cet extraordinaire 10 octobre 1984. Toni Kurbos se déchaîne et égalise à la 38ème minute. Plus que trois buts à inscrire...Une minute pus tard, une erreur défensive de Sanchez, qui marque contre son camp, donne l'avantage à Metz sur le terrain du Barça. Plus que deux buts. C'est la mi-temps. Le festival Toni Kurbos débute. Le feu follet marque à la 55ème minute, ce qui fait douter Barcelone, mené 1-3. Plus qu'un but. Il survient à la 85ème minute et est signé...Kurbos, alors que les 24 000 " socios " ont déjà déserté le stade. Metz mène 4-1 et se qualifie! Les Espagnols n'ont plus les moyens physiques ni la force mentale nécessaires pour réagir.Le club lorrain est propulsé au deuxième tour de la Coupe des coupes pour la première fois de son histoire. L' exploit retentissant fait le tour de l'Europe mais reste sans lendemain.
19oj19 a écrit :On peut refaire un Barcelone-FC Metz cette année ? Histoire de rigoler un bon coup quoi