J'savais bien que j'aurais dû parler de plagiat, ça m'aurait évité une faute du genre... ^^'
Audioslave - Be Yourself.
Publié : 04 avr. 2007 09:28
par Dhalsim
Une vidéo que Nicky avait posté dans "vidéo sur internet"...
Le son est entrainant, d'ailleurs pensez-vous que ce soit tzigane ? Rouroulio à ce propos vis-tu vraiment dans une roulote, je ne comprends pas l'acharnement des membres du dojo ?!
Où est-ce plutôt grec, genre du sirtaki ou quelque chose comme ça ?
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J'essaie d'alterner entre Nine Inch Nails et The Jean D'Ormesson Disco Suicide.
Et c'est le bien dans mes oreilles que ça fait tout bien dedans. Vous comprendrez.
Publié : 06 avr. 2007 16:34
par Kazahk
ole a écrit :
Tain mais il l'aura finalement balancé en entier sur le net
Ce mec est un grand malade doublé d'un génie
Publié : 06 avr. 2007 16:46
par Valentine Rose
Club 8 - Love in December
De la pop suédoise tout pépére, un peu comme "The Cardigans" mais en beaucoup plus feutré, la musique est tellement douce et agréable qu'on croirait un bonbon
<center></center>
la même image de l'un de leur album en full resolution (1000*900):
Spoiler:
<center></center>
Publié : 06 avr. 2007 17:06
par Me_Marcadet
Orphaned Land - The Storm Still Rages
Un des plus beau morceau jamais crée avec un solo de guitare de folie.
Serieusement, si vous etes amateur de rock progressif, que le chant death ne vous rebute pas (meme s'il est tres discret sur l'album et utilisé tres judicieusement), faut absolument ecouter l'album "Mabool". C'est un veritable chef d'oeuvre.
la chronique de Niko d'obskure qui comme d'habitude decrit parfaitement l'album :
A l’heure où la Suède inventait de toutes pièces le death mélodique avec Dark Tranquillity et In Flames, c’est de l’Orient que sont arrivés les israéliens d’Orphaned Land avec un death metal aux forts accents arabisants dont le sens s’est révélé sur leur deuxième album « El Nora Alila ». Et depuis cet opus marquant de 1996, silence complet.
Le retour des fils prodiges s’incarne en « Mabool », un concept album saisissant et qui prouve qu’Orphaned Land a mis à profit ces huit années pour faire parfaire sa richesse musicale. Car de richesse il est véritablement question dans cette imbrication spectaculaire à mille lieues de la sempiternelle mise bout à bout de titres, pour une œuvre ambitieuse d’ores et déjà majeure, dont l’assimilation est lente et délectable.
Imaginez un groupe à la virtuosité de Dream Theater sans aucune prétention ni démonstration, délivrant un message sonique entre Septic Flesh, Chaostar, Opeth et Dark Tranquillity avec de surcroît toute la couleur des musiques orientales et vous aurez une idée de l’ampleur de « Mabool ».
« Birth of the Three » renoue d’emblée avec le Orphaned Land que nous avions quitté mais diverge rapidement pour proposer une ouverture polyphonique immense, d’une finesse d’exécution et de composition réellement rare, trait d’union entre les styles qui nous font vibrer à l’extrême.
Le death metal de Septic Flesh de « Revolution DNA » apparaît sur « The Kiss of Babylon » pour se retrouver magnifié par le chant de Shlomit Levi, féminité imposante et envoûtante qui tient a cappella « A’salk » avant l’entrée des instruments acoustiques pour une pièce qu’Opeth ne renierait pas. « A Call to Awake » et sa concurrence guitare-clavier digne des duos Petrucci-Ruddess sur « Metropolis Part II » laisse pantois, les samples d’orage de « Mabool » annoncent le déluge mué en symphonie classique sur « The Storm Still Rages Inside » et l’auditeur est hébété.
Tout en « Mabool » est somptueux sans aucune faute de goût. Du chant cristallin ou déchiré de Kori Farhi aux soli de guitare comme on n’en entendait plus depuis des années, aux progressions de chœurs de « Building the Ark » en passant par les tourments électriques de « Ocean Land ». Et on entrevoit Orphaned Land comme le groupe capable d’offrir l’album transverse entre les courants, à même de réconcilier les amateurs de musique ethnique et de métal agressif, de faire se côtoyer le progressif et l’acoustique dans une spirale ascendante désormais de référence.
L’absolu n’existe pas mais « Mabool » est une telle réussite qu’il représente sincèrement un point d’aboutissement ponctuel de quinze années d’évolution du métal. Tout simplement.
si vous voulez tester, y'a un morceau disponible gratuitement, mais bon, l'album est tellement riche que c'est impossible de se faire un avis juste sur un morceau :
Me_Marcadet a écrit :si vous etes amateur de rock progressif
Je me souviens qu'à une époque j'écoutais Angra et Dream Theater, dans le style. Mais ça fait un moment que j'ai laché, je sais même pas si ils tournent encore.
Publié : 06 avr. 2007 22:10
par Valentine Rose
Club 8 - Love in December
J'en démord pas .
Don't you worry
I'll be there for you
Don't worry about me
You know me better than that
I'll catch you if you would fall
(je voudrais trop qu'on me dise ça .)
gné, si tu sais toujours pas quoi dire à cette fille, c'est le moment .
La pochette du prochain opus de Björk, Volta, n'a pas arrêté de changer ces dernières semaines La cover finale est celle tout à droite, et j'dois dire que je la trouve plutôt jolie, les couleurs sont vives et l'ensemble est assez original
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Le premier titre issu de l'album, Earth Intruders, est en tout cas à l'image de tout ça, quelquechose d'assez tribal et très björk, un peu violent, comme un refoulement qui se retrouve tout d'un coup libéré, prêt à investir de son souffle les corps du monde entier, tout soumis à une puissance forcenée pour cette communion corporelle, c'est le réveil du corps et des sens prisonniers, si j'en fais trop vous le dites Les premiers rips d'assez bonne qualité arrivent, mais c'est surtout les mp3 officiels qui seront intéressants, pour voir la profondeur et la teneur du tout, ces petits sons qu'on croit percevoir mais qui sont dissimulés dans ces audios radiorippés... Lundi!
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Je voudrais combler ce manque
Mon obsession me hante,
J'en ai jamais assez, je voudrais bien trouver
Que j'ai beaucoup de chance,
Me rendre à l'évidence
J'en ai jamais assez, je vois toujours après,
Des fois je me demande
Comment je peux m'y prendre
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Je suis jamais contente,
On dit que je suis chiante
J'en ai jamais assez, j'aimerais bien penser
A 2 centimètres à l'heure pour éviter les pleurs,
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Il faudrait que j'entende, un jour tu seras grande,
Me_Marcadet a écrit :Orphaned Land - The Storm Still Rages
Un des plus beau morceau jamais crée avec un solo de guitare de folie.
Serieusement, si vous etes amateur de rock progressif, que le chant death ne vous rebute pas (meme s'il est tres discret sur l'album et utilisé tres judicieusement), faut absolument ecouter l'album "Mabool". C'est un veritable chef d'oeuvre.
la chronique de Niko d'obskure qui comme d'habitude decrit parfaitement l'album :
A l’heure où la Suède inventait de toutes pièces le death mélodique avec Dark Tranquillity et In Flames, c’est de l’Orient que sont arrivés les israéliens d’Orphaned Land avec un death metal aux forts accents arabisants dont le sens s’est révélé sur leur deuxième album « El Nora Alila ». Et depuis cet opus marquant de 1996, silence complet.
Le retour des fils prodiges s’incarne en « Mabool », un concept album saisissant et qui prouve qu’Orphaned Land a mis à profit ces huit années pour faire parfaire sa richesse musicale. Car de richesse il est véritablement question dans cette imbrication spectaculaire à mille lieues de la sempiternelle mise bout à bout de titres, pour une œuvre ambitieuse d’ores et déjà majeure, dont l’assimilation est lente et délectable.
Imaginez un groupe à la virtuosité de Dream Theater sans aucune prétention ni démonstration, délivrant un message sonique entre Septic Flesh, Chaostar, Opeth et Dark Tranquillity avec de surcroît toute la couleur des musiques orientales et vous aurez une idée de l’ampleur de « Mabool ».
« Birth of the Three » renoue d’emblée avec le Orphaned Land que nous avions quitté mais diverge rapidement pour proposer une ouverture polyphonique immense, d’une finesse d’exécution et de composition réellement rare, trait d’union entre les styles qui nous font vibrer à l’extrême.
Le death metal de Septic Flesh de « Revolution DNA » apparaît sur « The Kiss of Babylon » pour se retrouver magnifié par le chant de Shlomit Levi, féminité imposante et envoûtante qui tient a cappella « A’salk » avant l’entrée des instruments acoustiques pour une pièce qu’Opeth ne renierait pas. « A Call to Awake » et sa concurrence guitare-clavier digne des duos Petrucci-Ruddess sur « Metropolis Part II » laisse pantois, les samples d’orage de « Mabool » annoncent le déluge mué en symphonie classique sur « The Storm Still Rages Inside » et l’auditeur est hébété.
Tout en « Mabool » est somptueux sans aucune faute de goût. Du chant cristallin ou déchiré de Kori Farhi aux soli de guitare comme on n’en entendait plus depuis des années, aux progressions de chœurs de « Building the Ark » en passant par les tourments électriques de « Ocean Land ». Et on entrevoit Orphaned Land comme le groupe capable d’offrir l’album transverse entre les courants, à même de réconcilier les amateurs de musique ethnique et de métal agressif, de faire se côtoyer le progressif et l’acoustique dans une spirale ascendante désormais de référence.
L’absolu n’existe pas mais « Mabool » est une telle réussite qu’il représente sincèrement un point d’aboutissement ponctuel de quinze années d’évolution du métal. Tout simplement.
si vous voulez tester, y'a un morceau disponible gratuitement, mais bon, l'album est tellement riche que c'est impossible de se faire un avis juste sur un morceau :
Le morceau du lien, j'ai pas trouvé ça fantastique, les sonorités orientales du début, je les ai pas trouvés bien implémentées, ça faisait un peu lourd et quand le chanteur est en voix claire ça fait légèrement chanteur de bal faut voir le reste de l'album...