Publié : 24 oct. 2006 19:52
Le problème c'est que les gens font plus du tout confiance aux politiques 

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Qu'est ce que ça changerait ? Rien sûrement, car il y aura toujours des gens mécontents même si on fait des votes à mains levées, tu auras ceux qui sont pour et ceux qui sont contre et s'il n'y a aucun recours pour contester, tu auras toujours une partie de la population mécontente, et si y'a moyen de contester, la moindre chose à mettre en place serait encore plus lente à arriver que maintenant.pierric a écrit : Je l'ai pas développé ici. Ce ne serait pas mettre n'importe qui au gouvernement, c'est bien plus complexe que ca.
Ce ne seraient pas les ministres et autres postes uniques désignés comme cela mais plutot une assemblée générale. Pour les représentant du gouvernement, ca reste un problème à résoudre.
Ensuite, il faut bien sur des personnes compétentes. Si l'assemblée doit débattre d'un thème, ils feraient appel à différents experts et conseillers qui leur donneraient les informations et pourraient ensuite prendre des décisions.
C'est pour ça que j'ai mis une 2ème phrase.Rayy a écrit :Si on écoute le peuple, on rembourse plus(+) de médicament plus chers, on augmente les salaires, on baisse les impots, on augmente les primes et les allocations. on promet le job de leurs rêves au jeues diplomés, on garanti à tous l'emploi dont ils ont envie.Cyrare a écrit :Dans ce cas, "suffit" d'avoir des politiques qui savent écouter et prendre en compte ce qui se passe au niveau du peuple. Malheureusement, il faut aussi parfois aller contre l'envie du peuple pour le bien du pays.
et on a un trou plus grand dans la sécu, et les retraites, les papys du baby boom peuvent toujours compter dessus
j'avais bien compris, j'extrapolais sur ce qu'aurait pu être les choses si on devait faire que suivre l'opinion du peuple.Cyrare a écrit :C'est pour ça que j'ai mis une 2ème phrase.Rayy a écrit :Si on écoute le peuple, on rembourse plus(+) de médicament plus chers, on augmente les salaires, on baisse les impots, on augmente les primes et les allocations. on promet le job de leurs rêves au jeues diplomés, on garanti à tous l'emploi dont ils ont envie.Cyrare a écrit :Dans ce cas, "suffit" d'avoir des politiques qui savent écouter et prendre en compte ce qui se passe au niveau du peuple. Malheureusement, il faut aussi parfois aller contre l'envie du peuple pour le bien du pays.
et on a un trou plus grand dans la sécu, et les retraites, les papys du baby boom peuvent toujours compter dessus
parce que le peuple est con et toi pas ?Rayy a écrit :Si on écoute le peuple, on rembourse plus(+) de médicament plus chers, on augmente les salaires, on baisse les impots, on augmente les primes et les allocations. on promet le job de leurs rêves au jeues diplomés, on garanti à tous l'emploi dont ils ont envie.Cyrare a écrit :Dans ce cas, "suffit" d'avoir des politiques qui savent écouter et prendre en compte ce qui se passe au niveau du peuple. Malheureusement, il faut aussi parfois aller contre l'envie du peuple pour le bien du pays.
et on a un trou plus grand dans la sécu, et les retraites, les papys du baby boom peuvent toujours compter dessus
Ca on risque pas de lui dire !gné a écrit :qu a l ecole on te disent "casse toi morveux l ecole c ets pour les gay"
Deuxième round musclé entre les trois présidentiables PS
[2006-10-25 07:11]
par Laure Bretton et Jean-Baptiste Vey
PARIS (Reuters) - Après un premier round courtois la semaine dernière, les échanges entre présidentiables socialistes sur les questions de société se sont tendus lors de leur deuxième vrai-faux débat télévisé mardi.
Dès les premières minutes, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn se sont opposés frontalement à plusieurs mesures prônées par Ségolène Royal qui n'a rien lâché, défendant à nouveau bec et ongles ses propositions d'assouplir la carte scolaire ou de créer des "jurys de citoyens".
La présidente de Poitou-Charentes semble en revanche avoir adouci sa proposition d'encadrer militairement les primo-délinquants, en évoquant des "camps humanitaires dans un pays pauvre encadrés par l'armée" ainsi que le "développement de toutes les alternatives à la prison" pour les jeunes.
"Je fais de la politique en regardant ce que je ferai pour mes propres enfants (...) Ce choix là je veux le faire pour les jeunes de mon pays parce que si j'y étais confrontée, je ferais ce choix", a expliqué la compagne de François Hollande, avec qui elle a eu quatre enfants.
Tous trois se sont ensuite retrouvés sur des sujets plus consensuels, le passage vers une République parlementaire, les questions de laïcité - "joyau du joyau du joyau", selon Laurent Fabius -, les investissements massifs dans l'éducation ou la critique de la politique du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, qualifié de "pompier pyromane".
Ni "immigration choisie", ni "discrimination positive", ont-ils fait valoir, dénonçant également la proposition "démagogique" du président de l'UMP de faire passer en cour d'assises les agresseurs de policiers.
DESACCORDS SUR L'IMMIGRATION
Interrogés sur l'immigration, les trois présidentiables ont exposé leurs divergences, cette fois dans le calme.
Pour Ségolène Royal, qui veut donner dans ce domaine plus de pouvoirs aux "territoires", promettre des régularisations massives, c'est "se donner bonne conscience". "On ajoute de la misère à la misère", a déclaré l'élue picto-charentaise.
Laurent Fabius a estimé quant à lui qu'il fallait une "régularisation large mais pas aveugle" et s'est opposé à toute gestion "régionale" de ces questions. Il faut une "politique nationale qui doit être ferme", a-t-il souligné.
"Le vrai problème, c'est l'intégration", a fait valoir de son côté Dominique Strauss-Kahn, qui entend "régulariser régulièrement pour qu'il n'y ait pas de soubresauts nationaux".
L'élu de Sarcelles a également proposé de créer un "ministère des migrations", touristes compris, afin de retirer les questions d'immigration au ministère de l'Intérieur.
L'ancien ministre de l'Economie a distillé des mesures concrètes tout au long du débat, qui a duré près de deux heures alors que les producteur souhaitaient le limiter à 90 minutes.
Afin que les étudiants en difficulté puissent financer le début de leurs études, il a prôné la création d'un "patrimoine départ".
Il a également souhaité concentrer "toutes les aides sur les familles les plus défavorisées". "Il faut sortir de l'hypocrisie : on donne la même chose, les allocations familiales par exemple, à un enfant quel que soit le revenu de ses parents, ce n'est pas raisonnable", a-t-il estimé.
"NON, TOUT NE VA PAS BIEN !"
Les trois postulants ont également validé l'idée du mariage et de l'adoption par des couples de même sexe - une mesure figurant dans le projet présidentiel du PS - même si Ségolène Royal ne l'a approuvé que d'un petit "oui" après un exposé des valeurs "fondamentales" de la famille.
Les règles imposées pour ce "débat" ne permettaient pas aux candidats de s'interpeller directement. Mais tous ont haussé la voix et joué les lignes, utilisant au mieux leurs prises de parole pour affiner leur profil présidentiel, au grand dam des journalistes chargés de faire respecter les temps de parole.
"Il n'y a pas d'un côté ceux qui sont pour telle ou telle proposition extrêmement discutable et les autres qui ne connaissent rien à rien, qui vivent en dehors du monde", s'est insurgé Laurent Fabius.
"Je ne crois pas que vouloir rétablir l'ordre, même juste, c'est suffisant", a attaqué Dominique Strauss-Kahn, critiquant "l'ordre juste", slogan de campagne de Ségolène Royal.
L'ordre "est immobile (et) ne peut pas à soi seul être un projet politique. La gauche doit être porteuse d'autre chose. (...) La gauche c'est protéger et avancer", a-t-il martelé.
"L'ordre juste n'est pas immobile. Il est revendiqué par ceux qui subissent le désordre", a riposté Ségolène Royal, retrouvant le ton très à gauche qu'elle avait utilisé devant les militants socialistes de Clermont-Ferrand la semaine dernière.
"Pour ceux qui sont en haut du panier tout va très bien, ils ont tout (...) Et les autres? Ils sont les victimes de la déréglementation économique et financière. Il faudrait croire que tout va bien. Non, tout ne va pas bien !", a-t-elle insisté.
PS: les propositions-clés du deuxième débat
[25/10/2006 01:49]
PARIS (AP) -- Voici les principales propositions et phrases-clés du deuxième débat télévisé entre Ségolène Royal, Dominique Strauss-Kahn et Laurent Fabius, consacré aux questions de société et aux institutions:
JURYS DE CITOYENS
- Laurent Fabius: il faut «surtout ne pas épouser une espèce de populisme qui serait extrêmement dangereux et qui ferait le lit de l'extrême droite».
- Ségolène Royal: «il y a un désamour à l'égard des politiques et les citoyens ne veulent plus attendre sans rien faire entre deux mandats». Je ne veux «pas revivre le 21 avril 2002». Elle n'a pas exclu de rendre publiques les réunions du conseil des ministres.
- Dominique Strauss-Kahn: «je ne fais pas partie de ceux qui pensent qu'on peut bâtir une société sur la suspicion généralisée» en considérant notamment qu»'un élu c'est un corrompu». Il faut «créer une société de confiance et pas une société de défiance».
EDUCATION ET CARTE SCOLAIRE
- Laurent Fabius: assouplir la carte scolaire serait «exactement le contraire» du projet du PS. Il veut «un soutien scolaire après la classe» notamment dans les ZEP, et «une place accrue» pour «l'éducation physique et artistique».
- Ségolène Royal: «je suis favorable à un élargissement» de la carte scolaire pour permettre aux familles de choisir «par exemple entre deux écoles» en «attendant qu'on trouve une vraie réforme».
Elle propose un «tutorat» des étudiants sur les collégiens pour leur apporter un «soutien scolaire gratuit», en échange de «points supplémentaires pour leur diplôme». Elle veut «investir massivement» dans les établissements de ZEP et permettre aux proviseurs d'y «choisir» leur équipe.
- Dominique Strauss-Kahn: faut-il garder la carte scolaire? «Non», mais «il faut trouver une solution qui avance» en «mettant le paquet» sur les écoles qui ont «mauvaise réputation», en y mettant par exemple «quinze élèves par classe» ou en «créant des classes d'excellence».
Face au «déclassement» des universités, il n'exclut pas «que des particuliers ou des entreprises fassent des dons à des universités», sans qu'ils aient de «droit de regard sur ce qui est enseigné».
Pour aider les jeunes à «commencer dans la vie», il propose qu'un «patrimoine de départ» soit «donné à chaque jeune» pour lui «permettre de financer ses études», «d'avoir un projet personnel», «de financer l'apport personnel à un logement». Cette mesure serait financée par la suppression des baisses d'impôt sur le revenu sur les «tranches supérieures» et en faisant «contribuer les droits de succession».
Concernant les allocations familiales, il veut «concentrer» les aides familiales «sur ceux qui en ont le plus besoin». «Il faut sortir de l'hypocrisie» qui veut qu»'on donne la même chose à un enfant quel que soit le revenu de ses parents».
SECURITE ET ENCADREMENT MILITAIRE:
- Ségolène Royal: les primodélinquants de plus de 16 ans pourraient être placés dans «un camp humanitaire dans un pays pauvre, encadré par l'armée -oui par l'armée!- ou alors par les pompiers, par les gendarmes (...), par des gens qui sont capables de leur redonner des règles». «Toute forme d'encadrement qui permet à un jeune de se remettre debout est de toute façon préférable à la prison et surtout pour les mineurs».
- Laurent Fabius: «la prison pour les jeunes est une école du vice et du crime». Il veut rétablir la police de proximité et créer un conseil de sécurité intérieure présidé par le Premier ministre.
- Dominique Strauss-Kahn: «je suis extrêmement ferme sur les questions de sécurité» mais «je ne crois pas que la gauche pense que c'est au travers de l'armée qu'elle puisse traiter ces questions-là».
IMMIGRATION ET SANS-PAPIERS:
- Laurent Fabius: pour une régularisation «large mais pas aveugle». «On ne peut pas accueillir toute la misère du monde, mais la France c'est la France bon Dieu! Il y a des cas où il faut faire preuve d'humanité et de générosité». Il promet un référendum en septembre 2007 qui accordera le droit de vote aux étrangers aux élections locales.
- Ségolène Royal: «ce ne serait pas une bonne décision de régulariser massivement» car «on ajoute de la misère à la misère». «Il faudra revenir à la régularisation au long cours» après dix ans de présence irrégulière en France. Quant aux expulsions, «un Etat de droit doit respecter la loi», mais il faudra le faire en «coopération avec les pays européens» et «toujours dans le respect des personnes».
- Dominique Strauss-Kahn: pour une «régularisation régulière» sur la base «de critères» qui peuvent évoluer «avec le temps». Il veut «un ministère des Migrations» pour «traiter plus directement la question».
MARIAGE ET ADOPTION PAR LES HOMOSEXUELS
- Laurent Fabius: il faut «élargir le PACS» et légaliser le mariage et l'adoption par les homosexuels même s'il «faudra en convaincre l'opinion».
- Ségolène Royal: elle a promis de le mettre en oeuvre: «oui». Elle a rappelé avoir été «la première ministre de la Famille à avoir reconnu comme interlocuteur légal l'association des parents gays et lesbiens».
- Dominique Strauss-Kahn: «évidemment il faut autoriser le mariage des homosexuels» et «de la même manière sortir de l'hypocrisie sur l'adoption». Il faudra faire ces deux réformes «par la même loi». AP
Ouais enfin Ségolène fait semblant d'être pour, parce qu'elle est clairement contre. Elle dit oui oui, mais elle fera rien pour les gays si elle est élue.Rayy a écrit :Et par contre ils sont tous d'accord pour le mariage homosexuel, mais bon ça, on est pour ou contre
(je sens que je vais me faire des amis là dessous
Je crois pas du tout en ce que disent les psychologues... Je vois pas non plus comment on peut confirmer "scientifiquement". M'enfin si on m'explique peut être que je pigerai ^^Rayy a écrit :Alors y'a une émission sur LCi avec un psychologue qui en prenant en référence les dernières études scientifiques confirment qu'on ne nait pas homosexuel, on le devient. Par choix ou par rapport à des évènements de l'enfance.
ça peut venir de l'éducation, des repères de l'enfant au sein de la famille qui se situe par rapport à ses parents.
J'en parlais hier avec certains sur le chat, c'est bien d'avoir un autre avis. d'un spécialiste qui plus est.
Tu dis la même chose que mon frère ^^. Il dit que Royal fait tout pour être élue, quitte à dire tout et son contraire pour avoir tous les courants électeurs.Ouais enfin Ségolène fait semblant d'être pour, parce qu'elle est clairement contre. Elle dit oui oui, mais elle fera rien pour les gays si elle est élue.
Pour avoir étudié le sujet, c'est complètement débile comme affirmation, les psy n'en savent strictement rien pour la bonne et unique raison qu'il n'existe aucune étude sérieuse sur le sujet, chaque études foireuses se contredisant depuis pas mal d'annéeRayy a écrit :Alors y'a une émission sur LCi avec un psychologue qui en prenant en référence les dernières études scientifiques confirment qu'on ne nait pas homosexuel, on le devient. Par choix ou par rapport à des évènements de l'enfance.
Tu veux dire que dans des vestiaires plein de vapeur et avec de beaux gaillards dévêtus ça n'aurait pas été la même chose ?deisuke a écrit : Pour l'histoire des homosexuels je passe mon chemin tout du moins sur ce topic.