Publié : 31 juil. 2006 23:11
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"Accident de santé" de Castro: Washington surveille la situation
AFP 01.08.06 | 05h51
La Maison Blanche a indiqué lundi qu'elle "surveillait la situation" après que le président cubain Fidel Castro a fait annoncer, dans une "proclamation" lue à la télévision, qu'il avait été victime d'un "accident de santé" et avait dû subir une opération chirurgicale.
"Nous surveillons la situation. Nous ne voulons pas spéculer sur sa santé", a déclaré à l'AFP Peter Watkins, un porte-parole de la Maison Blanche. "Nous allons continuer à travailler pour le jour où Cuba sera libre", a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis appliquent un embargo contre Cuba depuis 1960.
Dans sa proclamation, Fidel Castro, qui aura 80 ans le 13 août, a indiqué qu'il passait "provisoirement" les principaux pouvoirs à son frère Raul, ministre de la Défense.
Donc Nintendo ne devrait pas sortir sa Revo maintenant, puisqu'elle ne supporte pas le HD (^^), et que c'est du gachis ? Généralement, les gens achètent une TV quand l'ancienne est morte, en tout cas c'est comme ça que ça marche chez moi. Full HD ou pas, les gens qui achètent maintenant des TVs n'ont pas le choix car ils en ont besoin.rom vat a écrit :Ce que tu dis correspond au comportement que Nicolas Hulot dénonce : on fait du vélo, on plante des éoliennes, et c'est fini. Mais le problème ne se situe pas à ce niveau-là, le problème se situe, comme il l'explique très bien, dans le fait que notre modèle est basé sur la croissance. La croissance, sachant que les ressources sont limitées, c'est évident que ça ne tient pas à long terme : il faut aller vers l'équilibre et le progrès profitable. Pour prendre un exemple tout bête, on est en train de construire des télé HD par millions, tout en sachant déjà qu'il y aura le Full HD très peu de temps après : c'est un immense gâchis. Ca crée de la richesse sur le court terme, mais ça consomme énormément de ressources qu'il sera difficile de récupérer. Après, le but n'est pas de s'opposer aux avancées scientifiques, mais de les utiliser à bon escient : si on estime que le Full HD est vraiment mieux que la HD, alors on ne sort pas de HD, et on passe au Full HD dans quelques années.
Le truc c'est qu'il est maintenant moins cher d'acheter un nouvel appareil que de le faire réparer (et il n'y a pas de perte de temps quand on en rachète un nouveau, ça m'a gavé d'attendre 1 mois que mon ordinateur portable soit réparé). Mais je suis d'accord avec toi que il y a du gaspillage lorsqu'on jete les produits, nous on va jeter ce soir un enregistreur DVD, un lecteur DVD et une TV à la décharge alors que je préfèrerai pouvoir le donner à "quelqu'un" qui pourrait recycler les composants qui sont recyclables, mais malheureusement ça n'existe pas ou c'est très peu développé.rom vat a écrit :Pour prendre un autre exemple, la réparation des appareils est quelque chose qui a pratiquement disparu. Maintenant quand un appareil électrique est cassé, plutôt que d'essayer de réparer ce qui doit l'être, on a tendance à racheter un autre produit. C'est normal, c'est la société de consommation qui veut ça, des cycles de produits courts de telle manière qu'ils soient rapidement remplacés. Mais c'est un immense gaspillage.
Non je ne pense pas comme toi, pour moi ça va se réguler automatiquement, par l'économie. Comme il y a de l'argents à se faire, les entreprises sauront contourner les problèmes de ressources et en trouver de nouvelles plus viables (parce que y'a de la thune aussi à se faire avec ces énergies renouvelables).rom vat a écrit :Le ressort actuel de la société fonctionne encore, mais il va arriver à un moment où il va se briser. Et quand il se brisera, les dégâts qu'il aura commis risquent d'être irréparables à l'échelle humaine. On peut communiquer partout dans le monde grâce aux ordinateurs, on peut aller partout dans le monde grâce aux avions : si on ne se limite pas un minimum, tout ça pourrait devenir impossible (ou tout du moins beaucoup moins accessibles) d'ici quelques générations.
C'est quoi une pourriture ? Si tu parles des déchets CO2 émis par leurs centrales électriques, c'est certain.Pharaoh a écrit :Et puis on cite souvent l'Allemagne comme un excellent pays au niveau de l'écologie, mais niveau pourriture ils sont pas mal non plus.
http://www.fondation-nicolas-hulot.org/ ... /edito.phpÉdito de Nicolas Hulot
La révolte de Nicolas Hulot
Quel regard portez-vous sur la campagne présidentielle qui s'amorce ?
C'est parti pour être bien franchouillard ! Comme si tout se jouait à l'intérieur de l'Hexagone, alors que les désordres climatiques rendent obsolètes les frontières ! On n'a toujours pas intégré la plus grande menace qui ait jamais pesé sur l'humanité: le péril climatique. La majorité des candidats à l'élection présidentielle semblent s'en désintéresser. Il faut examiner à la loupe leurs tribunes, leurs ouvrages ou leurs interviews pour trouver une malheureuse allusion au réchauffement climatique. C'est atterrant. Quant aux écologistes, faute de privilégier une démarche unitaire, ils sont inaudibles ! Il faut décréter la mobilisation des consciences, mettre en place une véritable union sacrée autour de la lutte contre l'effet de serre.
Est-ce à dire que vos efforts incessants de lobbying auprès des politiques sont muffles ?
J'ai vu tous les candidats en tête à tête. Leur écoute paraît sincère, ils semblent partager, en privé, ma volonté d'agir, mais ils ont tôt fait de reléguer tout cela aux oubliettes pour des raisons de logique électoraliste. Je renvoie dos à dos personnalités de gauche et de droite. Le discours de Nicolas Sarkozy lors de la convention de l'UMP sur l'écologie m'a laissé sur ma faim: c'est une sorte d'habillage, comme si l'écologie était un problème parmi d'autres. Idem du côté socialiste. On m'écoute poliment mais on ne m'entend pas. La preuve ? J'ai proposé à Nicolas Sarkozy d'un côté, à François Hollande et Ségolène Royal de l'autre, la création d'un poste de vice-Premier ministre chargé du développement durable. Tous m'ont promis de prendre en compte cette proposition. Depuis, aucune nouvelle...
Peut-être ont-ils trouvé cette réforme institutionnelle un peu osée...
C'est inédit, mais je répète que l'humanité court à sa perte ! Se contenter d'un ministère de l'Ecologie, c'est le meilleur moyen de ne rien faire. Il faut placer le développement durable au coeur de la politique gouvernementale. Cela ne peut venir que du sommet de l'Etat. Un vice-Premier ministre se chargerait d'une planification à moyen et long terme, de façon à soulager le Premier ministre et le Président, forcément prisonniers du court terme.
Face à cet immobilisme, songez-vous à présenter votre candidature ?
Si rien ne bouge d'ici à novembre, tout est possible. Etre candidat à la présidentielle n'est ni ma vocation ni mon fantasme. Mais si la seule solution est de franchir la ligne rouge, je ne l'exclus pas. Encore une fois, que les politiques prennent leurs responsabilités, qu'ils osent enfin dire aux Français que nous courons à la catastrophe si rien n'est fait.
Quelles autres réformes réclamez-vous ?
L'objectif principal est de lutter contre l'effet de serre. Pour cela, j'attends des changements radicaux dans le domaine de l'énergie, des transports et de l'agriculture. Premièrement, il faut mettre en place une politique drastique d'économies d'énergie et créer un bouquet énergétique en misant sur tout ce qui est renouvelable. L'éolien, par exemple, peut être optimisé. On peut instaurer, petit à petit, une fiscalité énergétique qui se substituera à la fiscalité sur le travail. Hors de question de mettre au pilori seulement les 4x4. Tous les biens de consommation doivent être concernés. Imaginons une fiscalité incitative pour tous les produits respectueux de l'environnement. Et pénalisons tout ce qui est énergivore.
Que proposez-vous en matière de transport ?
Tout simplement un changement de priorité. Un exemple parmi d'autres: comment peut-on continuer à créer la tentation avec des voitures qui peuvent rouler à 200 km/h alors qu'on va vers la pénurie de pétrole ? Contraignons l'industrie à cesser de fabriquer des véhicules qui n'ont plus aucune raison d'être. Pourquoi créer la tentation d'un côté et la culpabilité de l'autre ?
Et les réformes agricoles ?
Il faut modifier en profondeur les pratiques dans ce domaine. Notre agriculture est énergivore et polluante. Encourageons les agriculteurs, qui sont d'abord les victimes d'un système, à produire de la qualité. En conditionnant les aides non à la production mais au coût environnemental. Une réforme de la PAC s'impose. J'appelle à l'organisation d'états généraux de l'agriculture au lendemain de l'élection présidentielle pour préparer cette révolution écologique.
C'est ni plus ni moins une révolution globale que vous proposez...
Si on ne veut pas aller vers une société de privation, il faut imaginer une société de modération. Ce n'est pas par dogmatisme que je mets en cause l'ultra-libéralisme, mais par pragmatisme: chacun peut comprendre que dans un monde où les ressources s'épuisent (eau, pétrole...) il faut de la régulation.
Regrettez-vous d'avoir roulé pour Jacques Chirac ?
II me semble que j'ai bien fait d'aller sensibiliser un homme qui, de par sa culture, était très éloigné des enjeux écologiques. Ma démarche a obligé la droite traditionnelle à s'interroger sur les engagements du Président et la gauche à se positionner. Si je m'étais encarté chez les Verts, je n'aurais pas eu la possibilité de faire diffuser ces idées. Il fallait «déghettoïser» l'écologie.
Vous sembliez pourtant avoir pris, ces derniers temps, vos distances avec le Président.
Je veux d'abord saluer son engagement écologique à l'extérieur. Si les Russes ont ratifié Kyoto, c'est sans doute parce que 1'Elysée a ouvre en coulisses. Autre mesure phare, la taxe sur les billets d'avion. C'est un bon début et il faudrait maintenant envisager de taxer l'ensemble des produits de luxe. Mais il est vrai qu'après l'adoption de la charte sur l'environnement, j'ai pris quelques distances. J'avais l'impression qu'on m'invitait à Matignon plus pour me calmer les nerfs que pour avancer ! Bref, que les actes ne suivaient pas les discours. Reste que, depuis huit mois, le gouvernement a pris quelques louables mesures comme la taxation sur les vignettes pour les voitures les plus polluantes ou la signature du décret sur l'interdiction des sacs plastique aux caisses. Mais cela n'est pas suffisant.
Tout le monde semble avoir aujourd'hui conscience de la menace climatique, surtout avec le retour de la canicule.
Plus aucun scientifique sérieux ne conteste que l'effet de serre génère un réchauffement climatique global.
En France, les climatologues ont constaté un degré d'élévation moyen de la température depuis une vingtaine d'années. Même s'il faut rester prudent, la canicule actuelle semble témoigner de cette évolution, comme les inondations à répétition ou la sécheresse. Nous allons assister à des désordres colossaux: des précipitations plus violentes, de graves sécheresses qui engendreront des crises migratoires, sanitaires, des tensions géopolitiques. Elles provoqueront aussi une érosion plus brutale encore de la biodiversité.
Selon vous, c'est l'autre grand péril écologique de ce siècle...
Et pourtant, personne n'en parle ! C'est une tragédie: on assiste actuellement à la plus grande perte d'espèces animales et végétales depuis que la vie existe sur Terre.
Chaque jour, des espèces disparaissent sans même qu'on ait eu le temps de les recenser. Non seulement on se prive ainsi de ressources alimentaires ou médicales, mais tous les grands équilibres se trouvent bouleversés.
Dans la nature, comme dans l'humanité, on est plus fort quand on est varié et divers que quand on est uniformisé.
La révolte de Nicolas Hulot (Le Journal du Dimanche, 30/07/2006)
Mais on se demande ce qu'ils branlent en fait -_-Le ministère de l'Écologie et du Développement durable est le ministère français en charge du « changement climatique » , du « développement durable », de l'« eau et des milieux aquatiques », du « patrimoine naturel » et des « risques et pollutions ».
J'allais dire pareil.rom vat a écrit :Il ne traite pas l'écologie comme le seul problème existant, il traite l'écologie comme le seul sujet sur lequel il est compétent
(j'espère que ça va intéresser au moins une personneLa formation des élites françaises est à repenser, par Yves Mény
LE MONDE | 02.08.06 | 13h30 • Mis à jour le 02.08.06 | 13h30
Dans l'enseignement supérieur, la situation française est d'une simplicité dramatique : on ne peut réformer les universités en dépit de leur déclin et on ne peut pas changer les grandes écoles à cause de leur succès (apparent).
A défaut de pouvoir faire l'un ou l'autre, le ministre délégué à l'enseignement supérieur et à la recherche, François Goulard, met à l'eau un nouveau radeau de la Méduse, celui du rapprochement entre les frères ennemis du monde académique (Le Monde du 14 juillet). La proposition est pleine de bonnes intentions et part d'un constat juste, celui de la crise de notre enseignement supérieur et de la recherche. Mais je crois que la solution suggérée n'est pas viable : les universités n'ont pas grand-chose à y gagner et les grandes écoles, de leur point de vue, y ont tout à perdre.
Elle n'est surtout pas à la hauteur de la crise qui touche le système d'enseignement supérieur et de la recherche en France, universités et grandes écoles confondues, même si c'est pour des raisons diamétralement opposées. La réponse à cette crise n'est pas dans un remake d'"Aimons-nous Folleville", mais au contraire dans l'adaptation de nos structures à la concurrence internationale. Le mot d'ordre prioritaire n'est pas rapprochement mais compétition, compétition intrafrançaise d'abord, compétition internationale ensuite puisque c'est désormais au niveau mondial que sont fixés les standards.
Les grandes écoles sont incontestablement les lieux de formation de l'élite française : après une, deux ou trois années de sang et de larmes dans les prépas, les heureux élus "choisissent" leur école en fonction de leur classement dans les concours. Les quelques milliers d'élus (si l'on y intègre les écoles de commerce) fréquenteront des écoles où la formation est généralement limitée, la recherche quasi inexistante, les bibliothèques ridicules au regard des grandes institutions internationales, le corps professoral permanent très réduit, les doctorants ou post-docs peu nombreux ou inconnus.
L'école reste un lieu de sélection et de classement de l'élite française. Le contraste avec l'université classique ouverte à tout vent est saisissant. La masse d'un côté, la "classe" de l'autre. Paradoxalement ces grandes écoles, à l'exception principale des écoles de commerce qui sont en compétition sur le marché mondial, sont le plus souvent inconnues à l'étranger. Si vous parlez de Polytechnique à un étranger, il pensera d'abord à l'Ecole polytechnique de Zurich ou de Lausanne, pas à celle de Palaiseau.
Si l'on veut sortir le système universitaire français du marasme présent, la solution n'est ni dans un alignement des grandes écoles sur les universités, ni dans un "rapprochement" qui ne constituerait qu'une sorte de mariage de la carpe et du lapin.
La solution est dans la transformation des grandes écoles en universités d'excellence capables de rivaliser avec les meilleures institutions étrangères. Il ne s'agit pas, bien entendu, de rabaisser les grandes écoles à la situation médiocre que connaissent les universités du fait de l'absence de sélection et d'un système de gouvernance inadapté, mais bien au contraire de les mettre sur le même pied que les meilleures universités mondiales.
La chose est possible, car elles ont des atouts : le prestige, des standards élevés, une pratique acceptée de la sélection. Mais il faut sortir du système actuel qui réserve l'accès à quelques happy few en éliminant beaucoup d'excellents candidats. Tout se passe comme si l'excellence était définie par une seule variable, la rareté. Pourtant, l'excellence du MIT, de CalTech, de Stanford ou de l'Imperial College à Londres n'est pas le fruit d'un malthusianisme pathologique.
Les ingrédients du succès sont ailleurs : dans l'ouverture de ces centres d'excellence qui ne sont pas simplement des écoles d'application et qui combinent recherche théorique et recherche appliquée ; dans l'attraction des meilleurs professeurs à l'échelle internationale ; dans l'association de l'enseignement et de la recherche, notamment à travers des programmes doctoraux et post-doctoraux ; dans la coopération étroite entre universités et secteur privé, notamment en matière de recherche appliquée.
Les grandes écoles à la française appartiennent à un monde prestigieux mais révolu. En se transformant sur le modèle des meilleures universités au niveau international, nous pourrions faire d'une pierre deux coups : utiliser le prestige et le statut des grandes écoles pour les faire sortir de leur enfermement nombriliste ; les utiliser comme point de référence et de stimulation pour les universités normales auxquelles le même statut et les mêmes avantages pourraient être reconnus, pourvu qu'elles en aient les capacités et acceptent les contraintes et les exigences d'un modèle d'excellence.
Cette proposition n'est pas utopique et beaucoup des éléments suggérés existent déjà par exemple (dans le domaine des sciences sociales) à Science Po. Puisque les grandes écoles ne remplissent plus qu'à la marge les fonctions qui les ont légitimées (la formation des élites de l'Etat), il est temps pour elles de se repenser dans le seul cadre qui compte aujourd'hui, l'international.
Ce faisant, elles se sauveront. Mais par ricochet et grâce à la compétition, elles pourraient aussi sauver le bateau ivre qu'est devenu, bien malgré lui, notre système d'enseignement supérieur et de la recherche.
Et puis surtout, il traite l'écologie comme un des problèmes existants, mais également comme pouvant être le principal problème majeur à l'avenir (ce qui sera certainement le cas, à moins d'un miracle). Et de par cette logique, y a aussi une critique sociale, donc l'écologie se limite pas à uniquement réparer ce qui est réparable ou protéger ce qui peut l'être, c'est surtout une nouvelle façon de penser en société, et bien sûr ça n'arrange pas les élites.P@B a écrit :J'allais dire pareil.rom vat a écrit :Il ne traite pas l'écologie comme le seul problème existant, il traite l'écologie comme le seul sujet sur lequel il est compétent(par contre j'aurais pas étoffé
)
Tout le monde sait que nos écoles c'est de la daube par rapport aux autres pays, et puis c'est bien connu, l'élite a toujours été sans culture, sans curiosité, ils savent juste manier les éléments qu'ils ont à leurs portées.Banjo a écrit :Allez hop c'est reparti pour un tour : Le Monde
C'est vrai qu'à l'étranger les Grandes Ecoles FR ne sont pas très bien reconnus, mais cela n'est pas à juste titre. C'est juste que le schéma prépa + 3 ans d'Ecole n'est pas compris par les etrangers ^^ En plus d'après mon oncle qui fait passer des oraux d'admissions aux écoles de commerces, ceux qui sortent de prépa n'ont aucune culture générale, et ça ça m'a assez surprisO.P HxH a écrit : Tout le monde sait que nos écoles c'est de la daube par rapport aux autres pays, et puis c'est bien connu, l'élite a toujours été sans culture, sans curiosité, ils savent juste manier les éléments qu'ils ont à leurs portées.
On a beau dire de faire des études, l'impression de rien apprendre, de voir que c'est pas utile est grande dans certaines fillières qui se veulent prestigieuses, faut juste pas se mentir à soi-même.