Publié : 31 juil. 2006 14:04
Hulot président \o/
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petit ewok a écrit :En effet ça serait chouette hulot.
Beuh ?deisuke a écrit :petit ewok a écrit :En effet ça serait chouette hulot.
ahahah ohohoh je ris![]()
:compatis à la solitude de ewok:
Tu avais promis !Chat-Minou a écrit :Urd : Je devais voter Sarko, sous la pression de Cyrare ...![]()
Le pouvoir au peuple !!!!!!!!!!!!!
Spour ca qu'il faut laisser Sarko ministre de l'Interieur.Cyrare a écrit :Cela dit, un mec qui s'y connait autant, et qui aime tellement la nature, je le foutrait bien volontiers à la tête du ministère de l'écologie.
Sarko il a un programme.Lakitu_Delita a écrit :Spour ca qu'il faut laisser Sarko ministre de l'Interieur.Cyrare a écrit :Cela dit, un mec qui s'y connait autant, et qui aime tellement la nature, je le foutrait bien volontiers à la tête du ministère de l'écologie.
Banjo a écrit :Je trouve que c'est assez stupide de sa part de vouloir se présenter comme ça pour cette raison, alors qu'il y connait rien en politique. Je trouve ça hyper prétentieux de se présenter à l'élection quand on fait pas parti de l'UMP, PS, PC ou FN (les autres sont des partis poubelles, y'en a aussi deux là mais ils sont assez bien représentés ^^)
Ca serait plus intelligent qu'il aille voir Sarko ou Royal et qu'il leur dise ce qu'il en pense. Mais bon il a pas l'air de vouloir agir dans l'intérêt commun, il réfléchit pas à ce qu'il fait.
Édito de Nicolas Hulot
Un vice-premier ministre pour l’environnement
Vous étiez lundi l'invité du ministre de l'Intérieur. Serez-vous en 2007 l'alibi écolo de Sarkozy ?
Nicolas Sarkozy m'a proposé de parler devant l'ensemble des préfets. Pour moi, c'était une occasion inespérée de toucher des relais essentiels. Les préfets font la police de l'environnement. Ils sont en première ligne pour l'application de l'arsenal législatif, qu'il s'agisse de la mise en œuvre de Natura 2000 ou de la lutte contre les nitrates en Bretagne.
Que leur avez-vous dit ?
Que nous vivons en surrégime. On produit plus que la Terre ne peut donner, et l'empreinte écologique de l'homme n'est plus supportable. Envisager le développement durable, c'est se demander comment ne pas spolier les générations à venir. La clé, selon moi, c'est le découplage entre croissance économique et croissance matérielle, avec la mise en place d'une fiscalité écologique fondée sur l'énergie et non plus sur le travail.
Cela nécessite-t-il la présence d'écologistes au gouvernement ?
L'expérience montre que les ministres peuvent se retrouver impuissants. Dominique Voynet et Serge Lepeltier nous ont dit la même chose : «Au gouvernement, j'étais le seul écolo.» Un ministre, aussi compétent soit-il, ne suffit pas. C'est pourquoi je propose qu'en 2007 il y ait dans le gouvernement un vice-Premier ministre chargé de l'Environnement durable. Si on veut se mettre en ordre de marche, il faut forcément une coordination au plus haut niveau.
Qu'en disent vos interlocuteurs ?
Les responsables des deux grands partis, PS et UMP, ont accueilli favorablement cette proposition. François Hollande trouve que c'est une bonne idée, et Nicolas Sarkozy me dit : pourquoi pas ?
A-t-on besoin, en 2007, d'un candidat écologiste ?
Oui, malheureusement. Il est là pour combler un vide sidéral. Il faut reconnaître que les écologistes ont été des défricheurs. Sur ces questions, les grands partis sont totalement désinvoltes. A droite comme à gauche. Les Verts, pour Jospin, c'était d'abord une question stratégique. Il a pris Voynet dans son gouvernement pour élargir son assiette électorale.
N'êtes-vous pas vous-même tenté de vous présenter ?
On m'a approché. J'y ai réfléchi. Et, tout compte fait, l'aventure m'a paru trop hasardeuse. Il faudrait sortir de cette logique de rapport de forces qui veut que les gouvernements ne fassent de l'écologie que si le candidat des écologistes fait de bons scores. Moi, je m'adresse à Hollande, à Sarkozy, à Bayrou, et je leur dis : quel que soit le score des écologistes, vous devez prendre les mesures qui s'imposent.
Pourquoi pas un candidat unique des écologistes ?
Au fond, ce qui sépare les candidats déclarés Corinne Lepage, Dominique Voynet et Yves Cochet est infime. Il faudrait, c'est vrai, une candidature unique. Une candidature non dogmatique. Mais je crains qu'on soit mal parti.
Pourquoi les écologistes restent-ils si marginaux en politique ?
Parce que les intellectuels sont très en retrait. On ne les entend pas, on ne les lit pas. Ils se conduisent comme s'ils étaient immunisés contre le changement climatique. La mutation écologique, c'est le plus grand défi auquel l'humanité ait été confrontée. Le défi humaniste par excellence. Car, dans cette crise, les premiers qui trinquent sont les pays du Sud. Avec le réchauffement, ils vont subir les désordres que nous aurons provoqués.
Un vice-premier ministre pour l’environnement (Libération, propos de Nicolas Hulot recueillis par Alain Auffray, 01/06/2006)
Oui mais ce que dit Hulot, c'est plutôt qu'on n'en parle pas. Il voudrait que les candidats mettent ce sujet dans le débat. Sans jeter la pierre aux candidats (je sais bien qu'ils ont d'autres sujets plus médiatiques et susceptibles de leur apporter des voix), je n'ai jamais senti un effort de communication sur ce sujet, à part un petit peu chez Bayrou (ensuite ça dépend aussi de ce que les médias transmettent).Cyrare a écrit :Pourtant, l'UMP a un programme sur l'écologie... http://www.conventions-ump.org/Ecologie.htm
Totalement d'accord. Comme on dit chez moi "Tu dis que d'la merde Banjo !"rom vat a écrit :Banjo a écrit :Je trouve que c'est assez stupide de sa part de vouloir se présenter comme ça pour cette raison, alors qu'il y connait rien en politique. Je trouve ça hyper prétentieux de se présenter à l'élection quand on fait pas parti de l'UMP, PS, PC ou FN (les autres sont des partis poubelles, y'en a aussi deux là mais ils sont assez bien représentés ^^)
Ca serait plus intelligent qu'il aille voir Sarko ou Royal et qu'il leur dise ce qu'il en pense. Mais bon il a pas l'air de vouloir agir dans l'intérêt commun, il réfléchit pas à ce qu'il fait.