

Modérateur : DojoSuperHeroes
Quelqu'un avec une Freebox V6 pour donner son avis ? Sinon, mettre cette fonction en option sera nécessaire, de plus en plus de sites utilisent des script anti-adblock qui empêche purement et simplement l'accès au site.
L'opérateur français Free a modifié jeudi sa Freebox en désactivant les publicités sur les sites internet, provoquant l'émoi des éditeurs de sites et l'intervention de la ministre de l'Economie numérique.
Free annonce sur son site plusieurs mises à jour de la Freebox, notamment l'ajout d'une fonctionnalité adblocker permettant de bloquer les publicités. Cette fonction est en version "beta", ce qui veut dire qu'elle est en test, et d'après les internautes, certaines "pubs" lui échappent.
Elle s'installe par défaut: il suffit de redémarrer la Freebox pour en disposer, alors que d'autres applications disponibles sur le marché pour bloquer la publicité doivent être téléchargées.
Si l'opérateur installait durablement une version efficace, il priverait de revenus de nombreux sites internet, notamment les gratuits, qui vivent des annonceurs. Free compte quelque 5 millions d'abonnés en France.
Pour le site spécialisé Numerama, cette initiative est un danger pour la démocratie. "Free montre le pouvoir extraordinaire des fournisseurs d'accès à internet sur l'information, qui peuvent décider d'altérer le contenu d'un site internet", écrit Numerama.
Fleur Pellerin, ministre de l'Economie numérique, tout en se disant "peu fan de pub intrusive", a souhaité sur twitter que cette fonctionnalité soit une option, à activer volontairement, plutôt qu'installée par défaut, ce qui en language twitté se dit une option "opt-out par défaut". Elle annonce qu'elle recevra le plus tôt possible les éditeurs et Free pour rechercher une solution.
Selon son entourage, la rencontre doit avoir lieu lundi.
L'apparition de cette fonctionnalité est interprétée comme une façon pour Free de faire pression sur Google, auquel l'oppose un différend commercial. Les abonnés à Free auraient des problèmes d'accès à la plateforme de diffusion de vidéos YouTube (Google).
La réforme constitutionnelle, que l'Élysée souhaite voir adopter avant l'été, prévoit la suppression du mot «race», qui figure dans l'article 1er de la Constitution, qui stipule: «La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.»
La députée PS de Paris Sandrine Mazetier a expliqué ce matin sur RTL avoir saisi le gouvernement pour faire débaptiser l'école maternelle qui renvoie trop, selon elle, à l'image de la seule mère.
"C'est une école, pas un lieu de soin, de maternage, c'est un lieu d'apprentissage", a-t-elle plaidé. "Changer le nom en 'petite école' ou 'première école', c'est neutraliser d'une certaine manière la charge affective maternante du mot maternelle".
"Ca rendrait justice au travail qui y est fait, au professionnalisme de ceux qui y interviennent et ça rappellerait aussi qu'aujourd'hui, la responsabilité de l'éducation des enfants est partagée entre les parents et n'est pas la spécificité des femmes", selon l'élue de la 8e circonscription de la capitale.
C'est pas parce qu'un gouvernement fait des mesures sociétales que ça l'empêche de bosser sur d'autres domaines hein.Stomp a écrit :Ce gouvernement fait dans le sociétal, sa permet d'occuper le terrain sans s'occuper des vrais problèmes.
Je supprimerais plutôt le mot chômage.Cyrare a écrit :Une belle politique de l'autruche, pas de race, pas de racisme. Je propose de supprimer le mot licenciement dans la loi, fini les licenciements.
en effet, encore faudrait il savoir sur quoi il bosse réellement...Leon a écrit :C'est pas parce qu'un gouvernement fait des mesures sociétales que ça l'empêche de bosser sur d'autres domaines hein.Stomp a écrit :Ce gouvernement fait dans le sociétal, sa permet d'occuper le terrain sans s'occuper des vrais problèmes.
http://www.journaldugeek.com/2013/02/02 ... le-presse/Après un long bras de fer et la menace du gouvernement français d’instaurer une loi (paiement de « droit voisin », rétribution pour chaque contenu indexé) si un accord n’était pas trouvé, Google a finalement accepté de reverser une partie de ses bénéfices réalisés sur l’indexation de contenus de presse aux éditeurs français !
Hier soir, le président de la République François Hollande et Eric Schmidt, executive chairman de Google, ont donc trouvé un accord. Cela va se faire sur deux points : à travers un fonds de 60 millions d’euros financé par Google pour la transition numérique (presse d’informations générales), et une mesure qui permettra aux éditeurs français « d’augmenter leurs revenus en ligne en utilisant la technologie de publicité de Google » (AdExchange, AdSense, Admob) à des conditions commerciales privilégiées.
« C’est un accord pour soutenir la transition numérique et les investissements de la presse » [...] « C’est bon pour la presse. C’est bon pour l’internaute. C’est bon pour Google. C’est un accord inédit dans le monde », a affirmé François Hollande. Alors que Eric Schmidt, salue « un accord historique dans l’intérêt du peuple français ». « Il vaut mieux avoir un accord qu’une loi, c’était la bonne approche ».
Faut dire que tout le reste sur quoi il bosse se fait viré soit par le sénat, soit par le conseil constitutionnelLeon a écrit :C'est pas parce qu'un gouvernement fait des mesures sociétales que ça l'empêche de bosser sur d'autres domaines hein.Stomp a écrit :Ce gouvernement fait dans le sociétal, sa permet d'occuper le terrain sans s'occuper des vrais problèmes.
Après, l'utilité du truc en effet...
L'article reste assez imprécis quand mêmeUn village de vacances de la région de Hesse, dans l’ouest de l’Allemagne, hébergeant des travailleurs étrangers qui touchent des salaires inférieurs à ceux qui leur avaient été promis. Notamment des Espagnols qui ont quitté leur pays frappé par la crise pour travailler en Allemagne. L’endroit est encadré par des vigiles en uniformes noirs portant des vêtements de la marque Thor Steinar, très prisée dans les milieux d’extrême droite.
Ils sont aussi chaussés de bottes militaires. On dirait un film de mauvais goût? Et pourtant, tout est bien vrai, et la découverte de ce décor genre IIIe Reich sur le retour a poussé ce week-end la ministre allemande du Travail, Ursula von der Leyen, à prendre le taureau par les cornes dans le journal Die Welt am Sonntag.
En souvenir de Rudolf Hess
Mais de quoi s’agit-il? De rien de moins que les conditions de travail des employés saisonniers du géant d’Internet Amazon. Une émission de télévision vient de dénoncer ces pratiques discriminatoires. Le reportage de la chaîne ARD affirmait qu’Amazon avait recours à une société de sécurité pour surveiller certains de ses salariés. Mais surtout que cette agence, H.E.S.S. Security, employait des néonazis – son nom faisant probablement référence au charmant et influent compagnon de Hitler Rudolf Hess.
Si le distributeur en ligne, contre lequel les appels au boycott se multiplient maintenant en Allemagne, selon Bild, a rejeté vendredi ces accusations, la ministre dit tout de même «vouloir examiner les faits attentivement». Elle déclare que «si l’enquête montre que ces accusations sont vraies, l’agence de placement qui a embauché ces travailleurs pourrait perdre sa licence».
Slate.fr donne les détails de cette sordide histoire: «Les employés immigrés, souvent embauchés par des agences extérieures, note The Verge, ont été malmenés.» Des exemples? «Les gardes pénètrent régulièrement dans leurs chambres, prétendument pour vérifier que les employés ne volent pas les petits pains des petits déjeuners.»
«Comme la police»
«Ils nous ont dit qu’ils étaient comme la police ici»: le témoignage d’une employée espagnole montre bien la volonté d’intimider des employés recrutés à bon marché. «Ils vont dans les maisons quand les gens ne sont pas là, ajoute une autre, dont les propos sont rapportés par le site EuObserver. Et aussi quand ils sont là, en train de dormir ou de prendre une douche.» Une autre employée indique à l’Independent britannique qu’elle a été chassée du chalet qu’elle partageait avec cinq autres personnes «pour avoir fait sécher ses vêtements sur un radiateur mural».
Du coup, même le site ActuaLitté y va de son propre décryptage: «Recherche agent de sécurité, crâne rasé et bottes en cuir demandées. Ratonnade à prévoir, sang impur s’abstenir»: bientôt de telles annonces de recherche d’emploi dans les bases de données d’Amazon? Le poste que la firme a confié à plusieurs cerbères […] s’apparente en tout cas à des menaces pures et dures: ces «gardiens» seraient chargés de motiver la main-d’œuvre, surtout d’origine étrangère, à l’aide d’intimidations en tout genre.»
http://www.20minutes.fr/article/1116009 ... or=RSS-176La start-up propose donc de disperser les calculateurs dans des mini-centres de calcul chez les particuliers, qui profitent sur place de la chaleur qui s'en dégage. «Notre idée, c'est la dispersion des serveurs, on étale les centres de calcul dans différents appartements: les informations sont donc disséminées chez des particuliers», explique Paul Benoît, qui a breveté son concept en 2010. «Transporter de la chaleur est extrêmement difficile, nous ce qu'on fait c'est qu'on transporte les données», ajoute-t-il.
Des logements sociaux en 2014
Qarnot Computing propose d'installer chez les particuliers des microprocesseurs montés sur un radiateur en aluminium, qui chauffent le logement tout en traitant pour le compte d'entreprises clientes des données, dont la facturation est l'unique source de revenu de la start-up. «Cela va se faire petit à petit, mais à l'horizon de cinq ans, nous pensons que 100.000 radiateurs, c'est tout à fait envisageable, ce qui correspondrait à peu près à 20.000 logements», affirme Paul Benoît.
La société chauffe déjà ses 300 m2 de bureaux à Montrouge, en banlieue parisienne, à l'aide de cinq prototypes, ainsi que les logements de plusieurs collaborateurs. Trente machines seront installées en avril prochain dans les locaux de l'école Télécom Paris Tech. Durant l'été 2014, la start-up inaugurera également 300 radiateurs dans un logement social à Balard avec la régie immobilière de la ville de Paris. Dans les locaux de Montrouge, rien ne distingue ces «radiateurs-ordinateurs» d'un simple convecteur et les serveurs ne font aucun bruit. La température est réglable à l'aide d'un thermostat mais Qarnot Computing a aussi réfléchi à des solutions pour s'adapter aux variations des saisons et de la demande. Si, par exemple, la demande des entreprises s'amenuise, Paul Benoît offre sa capacité de traitement de données à la recherche scientifique afin d'ajuster l'activité des serveurs aux besoins de chauffage des particuliers.