DSK : le parquet demande au juge l'abandon des poursuites

Modérateur : DojoSuperHeroes
DSK : le parquet demande au juge l'abandon des poursuites
Je suis content de payer des impots et ma licence de 150 euros pour les etrangers.Il est offert à chaque nouvel immigrant arrivé sur le territoire picard entre le 01/01/2010 et le 31/12/2012 la possibilité d’obtenir un aide maximale de 200 euros afin de lui permettre de prendre une première licence sportive dans une association agréée Jeunesse et Sports. »
1/ Ce n'est pas un espace libre30000 a écrit :Solidarité, fraternité![]()
Franchement ça commence à saôuler un peu de voir des remarques antisémites ici, même si c'est un espace libre...
http://yagg.com/2011/08/26/etats-unis-u ... %28Yagg%29États-Unis: Un rabbin rend les homos responsables du tremblement de terre
E. Liebig a écrit :Voilà un drôle de loustic, qui croit aller à l’école pour apprendre quelque chose, et dépense une fortune à faire vivre de pseudo-professeurs incompétents. Il joue au professionnel de la profession alors qu’il se prépare surtout à vendre des savonnettes ou quelque chose d’approchant, s’il n’a pas un père, un oncle ou un frère qui possède son entreprise. Ce n’est certes pas la seule formation qui fait miroiter à ses élèves des places en or et des salaires mirifiques pourvu qu’ils alignent la monnaie et se payent des cours indigents à des tarifs prohibitifs, mais c’est la plus caricaturale. Ces petits cons sont absolument persuadés qu’ils passent d’année en année grâce à leur valeur et au travail fourni alors qu’en fait, ils récoltent les fruits de leurs paiements. Je paye donc j’obtiens le diplôme. Diplôme qui dépend de l’école elle-même et attire une soi-disant reconnaissance nationale, comme l’indiquent chaque année des dizaines de canards à la mords-moi-le-nœud sous le titre « Le classement des meilleures écoles de commerce ». C’est un jeu national où chacun fait semblant de croire que le diplôme délivre une quelconque compétence dans le domaine du commerce.
Dans les faits, le seul intérêt de ces boîtes est d’envoyer des élèves en stage durant lesquels ces petits exploités se font des relations et des amis s’ils sont sympathiques et tiennent l’alcool. Chacun sait maintenant que tout le monde peut accéder à ces écoles de commerce, pourvu qu’il paye et qu’une toute petite minorité trouvera un boulot à la hauteur de ses espérances en fin de cycle. Certes, le savoir dispensé dans ces « schools » n’est pas plus bidon qu’en fac de lettres, de psycho ou de socio, mais au moins les élèves de fac ne se la pètent pas et sont conscients que s’ils perdent leur temps, du moins ne perdent-ils pas leur argent.
En fait, on a l’impression que ces braves cons jouent une pièce de théâtre dans laquelle ils prennent toutes les apparences du « commercial qui vend des puits de pétrole à des émirs » : le bon costard, les bonnes chaussures vernies, le bon attaché-case, le bon ordinateur, la bonne coupe de cheveux, le bon sourire de carnassier. Ils ne marchent pas, ils courent, bouffent dans des restos, font des fêtes, s’alcoolisent, s’en mettent plein le nez et niquent les jolies filles de leur promo qui leur ressemblent, mais en blondes à cheveux lisses.
Ils vivent la vie des commerciaux de grosses boîtes, boivent comme eux, se sapent comme eux, baisent comme eux et lisent le Financial comme eux, mais pour rien. Juste pour le fun. Une sorte de foi du charbonnier : Fais semblant d’y croire et bientôt tu y seras. Quelle blague, car sortis de ce rêve, ils se retrouvent à faire du quasi « porte-à-porte » ou du démarchage téléphonique pour gagner un Smic et se faire insulter par un petit adjudant sous-titré qui n’a fait aucune école de commerce, mais connaît la loi des chiffres et du rendement maximum avant délocalisation. Dix ans après la fin de leurs études, ils portent encore le même costume et les mêmes pompes et sont trop déconnectés de toutes les réalités économiques pour pouvoir décrocher un éventuel boulot à la hauteur de leur putain de diplôme qu’ils ont encadré et accroché au mur au-dessus de la photo de leur stage en Inde, quand ils croyaient tenir le monde entre leurs mains.
Ce passage m'a d'abord fait rire avant de me consterner : Ça coûte rien à ces élèves, certes, mais ça coûte combien aux français ces voies de garage ?KirbyX a écrit :Certes, le savoir dispensé dans ces « schools » n’est pas plus bidon qu’en fac de lettres, de psycho ou de socio, mais au moins les élèves de fac ne se la pètent pas et sont conscients que s’ils perdent leur temps, du moins ne perdent-ils pas leur argent.
C'est pas pour te dégoûter encore plus mais les écoles de commerce en France (bien que privées) sont aussi soutenues financièrement par l'Etat ! Plus précisément par les CCI, elles-mêmes financées par la taxe professionnelle, enfin... la "contribution économique territoriale" que paient les entreprises.Cyrare a écrit :Ce passage m'a d'abord fait rire avant de me consterner : Ça coûte rien à ces élèves, certes, mais ça coûte combien aux français ces voies de garage ?
J'avais lu cet article, c'est vraiment ridicule, c'est un pauvre type qui veut faire parler de lui. Apparemment tout le bouquin est comme ça. Déjà, rien que dire qu'en sortant d'une école de commerce on va être un commercial qui touche le smic, ça montre que le mec ne sait absolument pas de quoi il parle.KirbyX a écrit :C'est pas pour te dégoûter encore plus mais les écoles de commerce en France (bien que privées) sont aussi soutenues financièrement par l'Etat ! Plus précisément par les CCI, elles-mêmes financées par la taxe professionnelle, enfin... la "contribution économique territoriale" que paient les entreprises.Cyrare a écrit :Ce passage m'a d'abord fait rire avant de me consterner : Ça coûte rien à ces élèves, certes, mais ça coûte combien aux français ces voies de garage ?
Même si ce n'est qu'à hauteur de 25% max du budget des écoles, sans ça elles ne survivraient pas (c'est là que Banjo doit dire "Merci Cyrare").
La vache !Banjo a écrit : Le financement de l'état ne représente effectivement que 25% du budget de l'état.
A 16-year-old boy died after masturbating 42 times without stopping in Rubiato town, in Goiás region, Brazil.
His mother told a local newspaper that she already knew about his son’s addiction and that she planned to see the doctor, but the decision came too late.
The young man began to masturbate at midnight and spent the whole night to compulsively touch himself.
At school, his classmates commented on the boy’s problem and some said he asked them to connect to the webcam for being observed.
They further said that his attraction to women was extreme; he was attracted to all kind of women, regardless of texture physics, color and age.
In his room a great amount of pornography was found, including photographs and videos of nude women that were saved on his PC.