Faits divers et actualité

[The_lascar]

Leslie Nielsen

[Chunky]

Je suis tombé sur un grand film récemment avec lui que j'avais jamais vu sur NRJ12: le détonateur

C'était la belle époque

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[Mortal]

Je ne trouve pas de mot pour exprimer ma tristesse… J'arrive même plus à rire devant Naked Gun

[Me_Marcadet]

et des salariés au sifflet que l'on prend, que l'on jette, pendant des années, avec des sous-statuts et des sous-conditions de travail.

Je confirme.

[14:48:17] «Me_Marcadet» re
[14:48:19] «Me_Marcadet» enorme
[14:48:22] «Me_Marcadet» hier le boulot
[14:48:27] «Me_Marcadet» on a joué au poker
[14:48:31] «Me_Marcadet» pendant 3h
[14:48:46] «Me_Marcadet» pis ona fait semblant de bosser pendant 30 minutes
[14:48:51] «Me_Marcadet» pis on est rentré a la maison
[14:49:07] «Me_Marcadet» c'est comme si j'avais passé une osiréeentre potes
[14:49:17] «Me_Marcadet» ca tue mon nouveau travail

Dur dur le travail à la Poste.

Ouai enfin, c'etait exceptionnel aussi.

Maintenant on a plus du tout le temps de jouer au poker. On est trop occupé a jouer au UNO ou au Rami.

[ole]

Copié collé depuis un blog économique:

La rumeur enfle. Quelques exemples, trouvés sur http://www.hartgeld.com/Waehrungsreform-DE.html, avec la trad. Les langues se délient, voyez-vous. Je suppose que c’était inévitable.

"Hallo, ich hatte gestern ein Gespräch mit einem gutem Freund der die Tage seine Aubildung in einer Bank beendet. Vorweg muss ich sagen das er, sobald er bestanden hat, kündigt und keine Übernahme wünscht. Ich hab ihn mal vor ein paar Monaten auf das Thema Währungsreform angesprochen und ob er da etwas mitbekommt. Zu dieser Zeit hat er es noch verneint und er glaubte auch nicht wirklich an eine WR. Jedoch gestern meinte er das ich recht hätte was die WR angeht. Durch seine Ausbildung konnte er einige Kontakte zu anderen Bankern knüpfen und er hat in Erfahrung bringen können das die DM wirklich kurz vor der Wiedereinführung stand. Auf die Frage ob er die neuen DM-Scheine schon gesehen hat meinte er Nein. Diese wurden nur in die größeren Landesbanken und Sparkassen, auf grossen Paletten, geliefert und nur ein sehr kleiner Kreis weis wirklich etwas davon. Jedoch sickert immer mal wieder ein klein wenig herraus.

Bonjour, j’ai bavardé hier avec un bon copain qui achève son stage de formation dans une banque. Je dois préciser qu’il compte quitter l’endroit dès sa formation terminée. Il y a quelques mois, je l’avais déjà entrepris sur le sujet de la réforme monétaire et lui avait demandé s’il avait eu vent de quelque chose. A l’époque, il avait répondu par la négative, et ne croyait aucunement a une telle éventualité. Pourtant, hier, il a admis que j’avais vu juste. Au cours de son stage, il a pu nouer quelques contacts avec d’autres banquiers et a acquis la conviction que le mark est tout près d’être réintroduit (en Allemagne, NdT). A la question de savoir s’il a pu voir les nouveaux billets, il a répondu que non. Ceux-ci ne n’auraient été livrés que dans les principales landesbanks, en grosses cartouches, et seul une élite très restreinte sait quelque chose à leur sujet. Mais ce genre de choses finit toujours par filtrer un tant soit peu.

Mir ist heute Vormittag was Merkwürdiges an der Tanke widerfahren. Da ich nicht genug Bares einstecken hatte, musste ich ausnahmsweise Mal mit der Karte zahlen. Hier wurde ich dann vom Gerät gefragt, in welchem Land ich mich befände (mehrere Länder standen zur Auswahl). Natürlich wählte ich Deutschland, dann fragte mich das Teil in welscher Währung, EUR oder DM ich zahlen möchte. Hier wählte ich dann EUR da man ja keine DM als Währung mehr hat. Obwohl ich darauf bestand hat man mir die Quittung nicht mitgegeben.

Ce matin, je faisais le plein, et il s’est passé un truc bizarre. J’ai du exceptionellement payer par carte, n’ayant pas assez de liquide sur moi. Le terminal me pose la question suivante : « Dans quel pays vous trouvez-vous ? » (Il donnait le choix entre plusieurs.) Je choisis naturellement Allemagne, et alors le truc me demande dans quelle devise je veux payer… euro ou D-Mark ? Vu que des marks on n’en a plus, je choisis euro… Et quoique j’aie explicitement demandé qu’il m’imprime une quittance, il ne m’en a pas donné.

Vor ein paar Wochen habe ich in einem Vorort von Ffm. eine Reparatur durchgeführt. Als ich meinen Montagebericht unterschreiben lassen wollte, sagte man mir die Rechnung geht auf den Vermieter und nicht auf den Mieter. Ich sagte nur: Da haben Sie ein paar Euros gespart. Die Person sagte locker: Mal sehen wie lange das mit dem Euro noch gutgeht.
Ich fragte locker nach, wie sie das meinte? Dann kam folgender Satz: Ich habe ein befreundetes Ehepaar und der Ehemann arbeitet bei einer Bank in Frankfurt in einer Chefetage. Dieser hat uns geraten alles Geld in Gold und Silber zu investieren, denn er habe schon die neue DM in der Hand gehabt.

Y’a quelques semaines, j’effectue une réparation dans la banlieue francfortoise. Comme je vais pour lui faire signer la facture, il me dit que c’est au proprio de raquer. J’y dis comme ça, c’est bons, vous économisez quequ’z'euros. Et lui qui rigole, des euros, faut voir. J’y d’mande c’qu’y veut dire. Et là : « C’est un couple de gens que je connais, lui il bosse dans une banque à Francfort, l’est gradé. Y m’ont conseillé de tout parquer en or et en argent, passque les nouveaux D-Marks, eh ben il les a eu entre les mains."

Cela dit, je vous rappelle quand même que Lagarde dit que tout va bien et que l’euro sera sauvé. C’est important, ça, l’opinion de Lagarde.

Voilà, l'euro c'est fini.

[mAnU]

Copié collé depuis un blog économique:
[]
Voilà, l'euro c'est fini.

C'est normal que le site que tu cites semble vouloir me vendre de l'or de partout dans toutes ses pubs? et qu'il ait un joli compteur de visite comme mon site que j'avais fait quand j'avais 12 ans ? et cette jolie image en page d'accueil:



Sinon ça foutrait bien la merde si c'était vrai ^^', mais je doute très fortement que ce soit le cas.

[30000]

Les quelque 250 000 télégrammes diplomatiques récupérés par WikiLeaks auprès du département d'Etat à Washington et des ambassades américaines révèlent les coulisses de la diplomatie mondiale ainsi que quelques commentaires peu amènes à l'égard des dirigeants de la planète. Pour le quotidien britannique The Guardian, l'un des cinq à avoir eu accès aux documents avec The New York Times, Le Monde, El Pais et Der Spiegel, "la fuite des câbles américains déclenche une crise diplomatique mondiale". Tour d'horizon des révélations de WikiLeaks en quelques phrases-clés.

•Iran : il faut "couper la tête du serpent"
Les câbles diplomatiques révèlent en particulier la peur suscitée par le programme nucléaire iranien dans le monde arabe. L'Arabie saoudite a ainsi explicitement appelé Washington à attaquer l'Iran. "On ne peut pas faire confiance aux Iraniens", a assuré en mars 2009 le roi Abdallah Ben Abdelaziz Al-Saoud devant le conseiller de la Maison Blanche pour l'antiterrorisme, John Brennan. Le roi invite même des diplomates américains à "couper la tête du serpent" et avertit que "si l'Iran parvenait à développer des armes nucléaires, tout le monde, dans la région, ferait de même".

La méfiance de Riyad trouve un écho chez le roi de Bahreïn ("Ce programme doit être stoppé"), l'émir du Qatar ("Ils nous mentent et nous leur mentons") ou encore le prince héritier d'Abou Dhabi, qui évoque même l'intervention de "troupes au sol" contre les sites iraniens. Le président de l'Egypte, Hosni Moubarak, éprouve de son côté "une haine viscérale pour la République islamique", selon un diplomate basé au Caire.

•Berlusconi-Poutine : des cadeaux "somptueux"



Un câble diplomatique dévoilé par WikiLeaks présente Silvio Berlusconi comme "le porte-parole de Poutine en Europe".AP/Mikhail Klimentyev

Des diplomates américains à Rome décrivent une relation extraordinairement proche entre le premier ministre italien et son homologue russe. Des "cadeaux somptueux", des contrats énergétiques lucratifs et des échanges "mystérieux", voilà comment Berlusconi "apparaît de plus en plus comme le porte-parole de Poutine en Europe", résument ces diplomates, selon des documents publiés par le New York Times.

Silvio Berlusconi est d'ailleurs décrit en des termes guère élogieux par un diplomate américain de haut rang : "irresponsable, imbu de lui-même et inefficace en tant que dirigeant européen moderne". Un autre câble le décrit comme "faible physiquement et politiquement" et affirme que ses habitudes de faire la fête jusqu'au bout de la nuit l'empêchent de récupérer.

•La Russie, un "Etat mafieux" dirigé par "Batman et Robin"

Certaines notes dressent un tableau très sombre de la Russie et de ses dirigeants. Le secrétaire à la défense, Robert Gates, considère ainsi que "la démocratie russe a disparu" et que "le gouvernement est une oligarchie dirigée par les services de sécurité". Une autre note juge que la Russie est quasiment devenue "un Etat mafieux".

Une note datée de 2008 met en avant le rôle crucial que jouent en Russie le chef du FSB (sécurité intérieure), celui du SVR (renseignement extérieur) et le ministre de l'intérieur. Ces trois hommes "représentent la ligne dure pragmatique qui partage la vision du monde soviétique, faite de xénophobie et de défiance à l'égard de l'Ouest" et "sont alliés à différentes structures du crime organisé".

Le président russe, Dmitri Medvedev, est quant à lui comparé par l'ambassade américaine à "Robin", le jeune comparse de "Batman", qui serait lui "joué par Poutine". Une comparaison qui a fait réagir en Russie : "Les Américains qualifient le président russe Dmitri Medvedev de falot et hésitant et le premier ministre Vladimir Poutine de mâle dominant", s'insurge ainsi le quotidien russe Kommersant.

•Sarkozy, "susceptible et autoritaire"
Les documents diplomatiques publiés par WikiLeaks n'épargnent aucun des grands de ce monde. L'ambassade des Etats-Unis qualifie ainsi le président français de "susceptible et autoritaire", et souligne les manières abruptes qu'adopterait le dirigeant français avec ses collaborateurs. Côté allemand, Angela Merkel "a peur du risque et fait rarement preuve d'imagination", rapporte Der Spiegel.




•Le premier ministre turc "hait" Israël
Recep Tayyip Erdogan "hait tout simplement Israël", écrivent des diplomates américains à Ankara, en commentant sa virulente réaction à l'offensive israélienne contre Gaza en 2008/2009. Ces diplomates indiquent soutenir la thèse de l'ambassadeur d'Israël à Ankara, selon laquelle les virulentes déclarations anti-israéliennes du chef du gouvernement turc sont avant tout "émotionnelles, car il est un islamiste", rapporte un câble diplomatique.

•Le frère de Karzaï, "un trafiquant de drogue"
Des diplomates américains considèrent Ahmed Wali Karzaï, frère du président afghan Hamid Karzaï, comme "largement corrompu et impliqué dans le trafic de drogue" dans le sud du pays, des accusations lancées régulièrement ces dernières années par les services de renseignement et les médias américains à propos du chef du conseil provincial de Kandahar.

"Cette rencontre avec Ahmed Wali Karzaï souligne l'un de nos principaux défis en Afghanistan : comment lutter contre la corruption et établir un lien entre la population et son gouvernement, lorsque les principaux responsables du gouvernement sont corrompus", indique un de ces documents rédigé à la suite d'une rencontre à Kandahar entre le frère du président et un émissaire américain. Le président afghan est lui décrit comme "extrêmement faible" et enclin à se laisser convaincre par des théories du complot.

•Kadhafi, l'uranium et la "blonde voluptueuse"



Le colonel Mouammar Kadhafi, le 21 mars 2005.AP/AMR NABIL

Certains échanges diplomatiques dressent un portrait des plus pittoresques du dirigeant libyen, jugé "excentrique" et "hypocondriaque". Lors d'une visite à New York en septembre 2009 à l'occasion de l'assemblée générale des Nations unies, Mouammar Kadhafi, âgé de 67 ans à l'époque, était accompagné quasi-constamment d'une "infirmière ukrainienne", Galina Kolotnitska, décrite comme une "blonde voluptueuse". "Certains contacts de l'ambassade assurent que Kadhafi et Kolotnitska, 38 ans, entretiennent une relation", selon un câble, qui précise que Kadhafi est "presque de manière obsessive dépendant d'un petit noyau de personnes de confiance".

Réticent à l'idée de gravir plus de 35 marches, le leader refuserait d'habiter au-delà du premier étage d'un immeuble. "Sa détestation des longs-courriers, et son apparente crainte de survoler l'eau a causé des casse-tête logistiques à son personnel", précise en outre un câble diplomatique du département d'Etat.

Lors de cette visite, le leader libyen s'était vu refuser l'autorisation de planter sa tente à New York et de visiter le site de "Ground Zero", lieu des attentats du 11-Septembre. Fort mécontent de l'accueil qui lui avait été réservé, le chef d'Etat libyen avait en représailles menacé de ne pas respecter sa promesse de renvoyer en Russie de l'uranium enrichi que son pays possédait.

•David Cameron "manque de profondeur"
Le premier ministre britannique est également épinglé. David Cameron, au pouvoir depuis mai, et son ministre des finances, George Osborne, sont décrits comme "manquant de profondeur" par le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mervyn King, dans une conversation avec l'ambassadeur américain à Londres, rapporte The Daily Express.

Par ailleurs, The Daily Express et le tabloïd The Sun sont convaincus que le membre de la famille royale évoqué dans les documents est le prince Andrew, deuxième fils de la reine Elizabeth II, accusé d'être "malpoli" dans ses déplacements hors de la Grande-Bretagne.

•Pour Paris, "Chavez est fou"



Selon le conseiller diplomatique de l'Elysée, le président vénézuélien serait "fou".REUTERS/HO

Quelques savoureux aspects de la diplomatie française sont aussi dévoilés. Le conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, Jean-David Lévitte, aurait ainsi fait observer au sous-secrétaire d'Etat américain Philip Gordon "que le président vénézuélien Hugo Chavez est 'fou' et a dit que même le Brésil ne pouvait plus le soutenir". Il a ajouté que le président vénézuélien est en train de transformer son pays en un "autre Zimbabwe". Les câbles synthétisant les échanges entre Paris et Washington évoquent des sujets aussi divers que l'Iran, le Kosovo, la Turquie ou encore la Russie.

•Pékin a "piraté" Google
Les Etats-Unis ont la conviction que les autorités chinoises sont à l'origine du piratage informatique de Google et d'Etats occidentaux. Un document provenant de l'ambassade des Etats-Unis à Pékin cite "une source chinoise" selon laquelle le régime communiste a joué un rôle dans le piratage du géant américain de l'Internet, rapporte le New York Times.

"Le piratage de Google s'inscrivait dans le cadre d'une campagne de sabotage informatique organisée par des fonctionnaires, des experts privés des questions de sécurité et des pirates de l'Internet recrutés par le gouvernement chinois", selon le câble. Les services chinois auraient également pénétré les réseaux informatiques des Etats-Unis et de leurs alliés de même que ceux du dalaï-lama, ajoute le journal. Des offensives de pirates informatiques originaires de Chine ont été évoquées par le passé aux Etats-Unis, mais Washington s'est jusqu'à présent gardé de dénoncer publiquement le régime de Pékin.

•Espionnage : les diplomates et la "collecte de renseignements"
On le voit, Washington s'intéresse de très près aux petits travers et à la vie privée des grands de ce monde. Une curiosité qui a poussé les Etats-Unis a exiger de leurs diplomates qu'ils jouent davantage un rôle d'espion, en obtenant par exemple le numéro des cartes de crédit de responsables étrangers. Parmi les câbles révélés par WikiLeaks figurent en effet plusieurs missives adressées à des ambassades, dans lesquelles Washington réclame des missions généralement associées au travail de la CIA.

Une directive secrète signée en juillet 2009 par la secrétaire d'Etat Hillary Clinton réclame ainsi des détails techniques sur les réseaux de communication utilisés par des responsables des Nations unies : mots de passe et codes secrets. Mais les requêtes de Washington ne s'arrêtent pas là. Les diplomates américains sont également susceptibles de fournir numéros de carte bancaire, adresses électroniques, numéros de téléphone et même des numéros de carte de fidélité auprès de compagnies aériennes des fonctionnaires de l'ONU. Le Guardian précise que la directive demande encore des renseignements au sujet "du style de travail et de prise de décision" du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.

http://www.lemonde.fr/documents-wikilea ... 46239.html

[Cyrare]

Sinon ça foutrait bien la merde si c'était vrai ^^', mais je doute très fortement que ce soit le cas.

Ce serait trop bien si c'était vrai ^^', mais je doute très fortement que ce soit le cas.

[Mortal]

LAUL

Je sais pas si vous imaginez le merdier mondial que ça pourrait créer, avant même d'arriver à notre petit niveau

[ole]

Concrètement c'est au stade de la rumeur et effectivement le site est très louche.

Cela étant, on sait qu'après le renflouement de l'Irlande viendra le tour du Portugal et ensuite de l'Espagne réputée trop grosse pour être sauvée (il faudrait 7 à 8 fois le plan de sauvetage irlandais).
L'Allemagne est la première bénéficiaire de la prospérité de le zone euro (et sa force motrice), mais en cas de coup dur c'est aussi la première a devoir monter au créneau pour éteindre le feu. L'Espagne ce sera niet. Le désengagement de l'Allemagne est donc tout à fait concevable et sans elle, plus d'euro.
Ce sera à chaque état de négocier la sortie du mieux possible, et le plus tôt sera évidemment le mieux.

Je sais que ça semble tenir de la science-fiction, mais il suffit de s'écarter des média habituels pour voir le même genre d'hypothèse reprise par de nombreux analystes. Les Etats Unis sont ruinés et l'Europe est dans leur sillage. Il va y avoir de sacrés changements dans les années (voire les mois) qui viennent.





Et pendant ce temps, en Belgique, toujours pas de gouvernement...

Vidéos-bonus pour les fans de l'UE :

[Mortal]

Nan mais les fans du NOM, c'est juste une bande d'histéro, faut pas les prendre au sérieux ^^

En fait, la seule chose intelligente qu'il faudrait faire maintenant, c'est casser un morceau du pacte de stabilité pour pouvoir dégrader la valeur de l'euro. Le seul défaut de l'euro, c'est que les États ne peuvent plus jouer sur la valeur de leur monnaie pour simplifier le règlement de leur dette. Faire sauter cette contrainte permettrait de revenir à une mécanique un peu usée (et un peu dangereuse aussi) mais qui risque bien de marcher.

[ole]

Les vidéos c'est fait pour être regardé, faut pas juste en lire le titre... le Nouvel Ordre Mondial n'est ici qu'une citation d'un article anglais face aux déclarations de Van Rompuy.

La monnaie unique, c'est bien tout le problème de l'union économique.
Mais surtout, la crise n'est pas celle de l'euro mais une crise systémique globale. Dévaluer sans rien faire d'autre c'est au mieux repousser l'échéance d'une nouvelle crise dans x années, ça ne résout rien.

Au point où on en est, de toute façon il suffit d'attendre et de constater ce qu'il va se passer (ou pas, je sais bien que les prédictions économiques sont parmi les moins fiables. Mais force est de constater qu'on est quand même dans une situation inédite dans l'Histoire).

[Mortal]

Les think tank genre leap2020 qui prédise une crise systémique global, c'est bien gentil, mais quand on leur demande une alternative économique globale, ils répondent plus…

En plus, leur prévisions soi-disant infaillibles sont foireuses une fois sur deux et ils se gardent bien de le rappeler (par contre, ils te martèlent gentiment toutes les prévisions super vagues où ils ont eu juste !).

Suffit d'aller voir les gens qui sont derrière ça pour comprendre que c'est de la couille : qu'il y ait une crise systémique globale, soit ; que ces gens puissent y apporter une réponse, j'en doute ; que nos politiques actuels puissent eux apporter une réponse, c'est illusoire.

S'il y a vraiment une crise systémique globale, la méthode la plus simple pour la résoudre, c'est de laisser le système s'effondrer et d'en reconstruire un à zéro : tant qu'il y aura des gens qui auront un intérêt dans l'ancien système, il n'y aura pas de possibilité de créer un nouveau, papy fera de la résistance.

[Toad San]

NOM ou pasn il est clair que les élites ont un projet avec l'UE, pas vraiment démocratique.

DSK à la Tribune en est un des derniers exemples :

http://www.latribune.fr/actualites/econ ... mmune.html

Un extrait saisissant :

Pour sortir l'Europe de la crise, DSK propose un modèle de gouvernance simple mais peu consensuel : donner plus de pouvoirs à la Commission européenne.

"Quand l'ordre du jour est fixé par le centre, les choses avancent. Il suffit de penser au marché unique, ou à l'union monétaire. Mais quand l'ordre du jour est laissé aux Etats- nations [membres de l'UE, Ndlr], les choses traînent. Pensez aux réformes des marchés du travail et des services, notamment à travers l'agenda de Lisbonne. (...) Il est temps de changer de cap. Le centre doit prendre l'initiative dans tous les domaines clé pour assurer le destin commun de l'Union, notamment en matière de politique financière, économique et sociale. Les pays doivent être disposés à céder plus d'autorité au centre. Des mécanismes doivent être repensés pour inciter à réformer. " a-t-il déclaré ce vendredi.

[Mortal]

Le jour où l'on a ratifié le traité qui concerne la monnaie unique, l'État a abandonné son droit concernant la gestion de la monnaie. Je trouve ça normal que ce soit délégué à la commission européenne, vu que c'est elle qui le gère au quotidien.

Quant au processus démocratique, je rappelle que les élections européennes, même si elles ne sont pas parfaites, ne sont pas faites pour les chiens ah mais oui, personne ne vote pour ces élections, elles sont donc pas démocratiques

[Toad San]

Ce n'est pas la Commission qui gère l'euro, la Commission n'est pas élue, enfin la Commission ne remplace pas les Etats. *3

[Cyrare]

Le problème, c'est que contrairement à des élections présidentielles, on n'a pas le choix entre plusieurs programmes concernant les grandes lignes de la construction de l'Europe, on a un référendum national qui valide ou non un texte. On a donc le choix de garder un status quo ou bien de faire évoluer dans un seul sens. Pour moi le TCE améliorait la situation du traité de Rome donc j'ai voté oui. Mais si on me donnait un choix entre 10 programmes différents, je prendrais une Europe des nations avec des monnaies nationales indexées sur l'euro. (Et j'abolis Schengen et la libre circulation des biens.)

Une Europe sur le système actuel qui fonctionnerait, c'est une Europe avec la même fiscalité, avec les mêmes politiques sociales et un contrôle fort des frontières. Autant dire que ça n'arrivera jamais. On est trop différents.

[Mortal]

Ce n'est pas la Commission qui gère l'euro, la Commission n'est pas élue, enfin la Commission ne remplace pas les Etats. *3

J'ai un peu confondu les institutions mais dans le principe, ce que je dis reste vrai : on a abandonné notre souveraineté sur la monnaie pour la déléguer à d'autres mais qu'on choisit indirectement (ou que l'État choisit indirectement ce qui revient au même), autant leur donner les moyens de le faire le mieux possible dans l'intérêt commun.

Même si je rejoins Cyrare sur certains points, l'un des plus gros soucis de l'Europe actuellement, c'est qu'il faut que tout le monde soit d'accord pour que ça avance. Et à 27, c'est plus compliqué qu'à 12.

[Cyrare]

Surtout qu'on est encore une fois dans une situation bâtarde où on a pas su choisir et donc on fait que la moitié des choses. Vu qu'on a chacun sa fiscalité et ses politiques sociales, nous sommes 27 concurrents et non pas 27 alliés. L'Irlande fait une politique agressive sur l’impôt société (ils ont raison) et après on doit quand même les aider parce qu'ils vont mal. On est en train de sauver un concurrent et quand ils iront mieux, ils seront toujours là à nous piquer des entreprises avec un impôt plus attirant. Donc prendre des décisions à 27, ce serait déjà pas évident si on était 27 alliés, mais en étant 27 concurrents, c'est mort quoi, chacun défend son bifteck.

[Toad San]

Je suis d'accord sur ta vision de l'Europe moins sur ton avis du cas irlandais.

L'Irlande a un déficit monstrueux car elle a été obligé de venir au secours de ses banques qui ont fait nimp depuis des années.

Et pourquoi l'Europe à son tour, avec le FMI, vient-elle aider l'Irlande : parce que les grandes banques anglaises, allemandes et françaises ont des créances làbas.

Pour résumer, les contribuables européens viennent renflouer des banques privées.

Ces mêmes banques privées qui se financent auprès de la BCE à un taux de 1% pour ensuite prêter de l'argent aux Etats à 3 ou 4 % pour la France et presque 10 % (à dix ans) pour l'Irlande.

[Mortal]

Banques qui rembourseront plus vite la dette à l'état (comme ce fut le cas en France) à la première embellie économique.

[Cyrare]

Je suis d'accord sur ta vision de l'Europe moins sur ton avis du cas irlandais.

L'Irlande a un déficit monstrueux car elle a été obligé de venir au secours de ses banques qui ont fait nimp depuis des années.

Et pourquoi l'Europe à son tour, avec le FMI, vient-elle aider l'Irlande : parce que les grandes banques anglaises, allemandes et françaises ont des créances làbas.

Pour résumer, les contribuables européens viennent renflouer des banques privées.

Ces mêmes banques privées qui se financent auprès de la BCE à un taux de 1% pour ensuite prêter de l'argent aux Etats à 3 ou 4 % pour la France et presque 10 % (à dix ans) pour l'Irlande.

Je portais pas de jugement sur la cause de la dette de l'Irlande, je disais juste qu'on aidait un pays qui est plus compétitif que nous sans se poser la question de notre intérêt à long terme. On est en train de sauver un redoutable concurrent.

[Leon]

Non mais on s'en fout de l'économie les mecs, l'info du jour (plutôt de demain en fait) c'est ça :

ESPACE - L'agence spatiale américaine tient une conférence de presse sur une découverte scientifique liée à la vie extra-terrestre jeudi...

La Nasa, l'agence spatiale américaine, a suscité l'effervescence, notamment sur internet, en annonçant la tenue jeudi d'une conférence de presse sur une découverte scientifique liée à la vie extra-terrestre.

«La Nasa tiendra une conférence de presse à 14H00 (19H00 GMT) jeudi 2 décembre pour discuter d'une découverte en astrobiologie qui aura des conséquences sur la recherche de preuves de vie extra-terrestre», indique l'agence sur son site Internet. La conférence de presse aura lieu à Washington.
Spéculations

Les amoureux de l'espace et des extra-terrestres ont inondé la blogosphère de spéculations sur la portée de cette annonce, mais la Nasa n'a pas voulu donner plus de détails dans l'immédiat.

Parmi les personnes qui s'exprimeront jeudi figurent Mary Voytek, qui dirige le programme d'astrobiologie de la Nasa, Felisa Wolfe-Simon, chercheuse en astrobiologie à l'USGS, l'Institut de géophysique américain, ainsi que Pamela Conrad, astrobiologiste au centre spatial Goddard de la Nasa.

L'astrobiologie est une discipline qui étudie la vie dans l'univers, y compris son origine et son évolution, sa localisation et les chances qu'elle se perpétue.

Même si ça sent le pétard mouillé, quand même

[Golden cube]

Je portais pas de jugement sur la cause de la dette de l'Irlande, je disais juste qu'on aidait un pays qui est plus compétitif que nous sans se poser la question de notre intérêt à long terme. On est en train de sauver un redoutable concurrent.

En même temps laisser dans la merde "un peuple" pour de vieilles hypothèses économiques complètement nombrilistes... surtout qu'au final en évitant que nos voisins se cassent la gueule on cherche surtout à éviter qu'ils nous poussent dans le ravin avec eux je pense

[Konino]

C'est surtout ca Goldy.