Re: Faits divers et actualité
Publié : 17 juil. 2010 10:15
Ils ont arrêté qu'un gars ? 

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Mais à part ça, ça n'a rien à voir avec l'origine ethnique ou la religionC'est après une prière au mort récitée dans la soirée par un imam, écoutée en silence par une cinquantaine de jeunes rassemblés dans un parc, que la situation a dégénéré. De petits groupes de casseurs ont alors commencé à s'en prendre, à coups de battes, à des abribus, puis à un tramway, et les premiers gaz lacrymogènes ont été tirés - prélude d'une nuit de violences.
Le travailler moins pour gagner plus du PS, ça a pas fait long feuLe conseiller régional PS d’Ile-de-France Ali Soumaré vient d’être renvoyé de la mairie de Sarcelles (Val-d’Oise) où il travaillait comme collaborateur au cabinet du député-maire socialiste, François Pupponi, pour « abandon de poste ». Le maire lui reproche de ne pas être revenu travailler à la mairie de Sarcelles depuis son élection, en mars dernier.
« Plusieurs lettres, avec accusé de réception, lui ont été envoyées pour lui demander de reprendre son poste », précise Pupponi. Début juillet, le jeune élu de 29 ans, attaqué par l’UMP sur ses antécédents judiciaires durant la campagne des régionales, a reçu une dernière lettre de la direction des ressources humaines, lui indiquant « sa radiation des effectifs ». Il aurait justifié une absence début mai par un arrêt de travail. « Je ne peux pas garder un collaborateur qui ne vient pas travailler », explique François Pupponi. Ali Soumaré met, lui, en avant « un problème de jalousie » lié à sa médiatisation. « Cette procédure est une volonté de nuire. J’ai répondu à chaque courrier et réclamé un entretien en vain », souligne Ali Soumaré, qui annonce sa volonté d’attaquer au tribunal administratif sa radiation.
Ca y est, l'Etat s'attaque aux niches fiscales !!!Violences à Grenoble : encore des tirs à balles réelles contre la police
De nouveaux incidents ont eu lieu alors que Brice Hortefeux avait promis de "réagir vite" aux violences de la nuit précédente où 40 personnes avaient tiré à balles réelles sur des policiers.
Grenoble, quartier de la Villeneuve dans la nuit de samedi à dimanche (AFP)
Les policiers déployés dans le quartier de la Villeneuve à Grenoble touché par des violences urbaines après la mort d'un braqueur ont essuyé des tirs à balles réelles du samedi 17 juillet au dimanche 18 juillet, au cours de laquelle "seulement" une quinzaine de voitures ont été brûlées contre une soixantaine la veille. Aucun blessé n'est à déplorer.
"On a relevé un impact de balle sur un véhicule de CRS et on s'est fait tirer dessus à deux ou trois reprises", a déclaré Brigitte Jullien, directrice départementale de la sécurité publique de l'Isère, lors d'une conférence de presse à l'hôtel de police.
Dimanche matin, les forces de l'ordre ont également procédé à quatre interpellations d'hommes soupçonnés d'avoir tiré à balles réelles sur des policiers de la BAC lors des violences de la nuit de vendredi. Ce coup de filet à la Villeneuve, un quartier sensible de Grenoble, a été mené aux alentours de 6h, mené par un escadron de gendarmerie, deux compagnies de CRS et la Force d'intervention de la police nationale regroupant le RAID et la GIPN.
Les quatre hommes, dont l'âge et les antécédents n'ont pas été précisés, ont été interpellés dans le cadre d'une enquête pour "tentative d'homicide" sur des policiers de la BAC, pris pour cible à plusieurs reprises par des manifestants armés dans la nuit de vendredi à samedi.
Mesures de sécurité
En effet, samedi vers 2h30, un homme manifestant au sein d'un groupe d'une quarantaine de personnes avait sorti une arme de poing et tiré en direction des forces de l'ordre, surprises par cet acte de violence. Les policiers avaient riposté à cinq reprises à balles réelles en direction du groupe, selon des sources policières. Au cours de cette nuit, les policiers avaient été visés par d'autres tirs à balles réelles mais ils n'avaient riposté qu'avec des armes tirant des munitions en caoutchouc ou des flash-balls.
Les quatre interpellations s'ajoutent à sept autres effectuées dans la nuit de samedi à dimanche pour "port d'armes illégal" ou "détention d'objet pouvant servir de projectile". Pour limiter les incidents entre samedi et dimanche, de nombreuses mesures de sécurité avaient été mises en place. Ainsi, peu après minuit samedi, l'accès à la rue où s'étaient produits les incidents les plus graves a été interdit aux véhicules, qui ont été fouillés par les forces de l'ordre, a constaté une journaliste de l'AFP.
Visite éclair
Des mesures qui surviennent après la visite de Brice Hortefeux, venu "sur place" apporter son soutien aux habitants et constater les violences… en quinze minutes. Lors de son déplacement éclair, le ministre de l'Intérieur, protégé par une armée de policiers, s'est engagé à "rétablir l'ordre public" au plus vite à Grenoble. "Nous allons réagir vite. Quand je dis vite, c'est-à-dire tout de suite, c'est ainsi que nous allons rétablir l'ordre public et l'autorité de l'Etat", a insisté le ministre, lors d'un rapide point presse.
Ainsi, il a ordonné la mobilisation de trois unités de forces mobiles, soit 250 hommes supplémentaires, du RAID et du GIPN (groupe d'intervention de la police nationale), "maintenant et pour tout le temps nécessaire pour que le calme soit revenu". "Il y a une réalité simple et claire dans ce pays : les voyous et les délinquants n'ont pas d'avenir car la puissance publique finit toujours par l'emporter", a ajouté Brice Hortefeux.
"Frapper au porte-feuille"
Il a également demandé à son homologue du Budget François Baroin d'envoyer "dès la semaine prochaine à Grenoble un inspecteur du fisc afin de frapper au portefeuille les délinquants", en faisant "reculer l'économie souterraine qui alimente le trafic des stupéfiants et celui des armes".
Il a prôné "un renforcement ciblé de la présence policière à Grenoble", sans plus de précisions. Le premier syndicat des gardiens de la paix, Unité police/SGP-FO, a demandé que Grenoble soit classé "zone difficile", réclamant des renforts pour permettre aux policiers grenoblois de "faire leur travail avec sérénité".
De son côté la mère du voleur tué, Karim Boudouda, 27 ans, a lancé un "appel au calme", dans un article paru dimanche dans le journal local Le Dauphiné libéré. Son fils, abattu par la police en état de légitime défense selon le parquet, avait déjà été condamné trois fois aux assises pour vol à main armée. Il s'était fait remettre dans la nuit de jeudi à vendredi, sous la menace d'armes lourdes, le contenu de la caisse du casino d'Uriage avant de prendre la fuite, avec un complice toujours recherché.
La course-poursuite, émaillée de tirs sur les forces de l'ordre les poursuivant, avait pris fin dans le quartier de la Villeneuve. L'autopsie réalisée samedi a révélé qu'il avait été touché par deux balles, une au pied et l'autre "mortelle" à la tête, selon une source judiciaire.
(Nouvelobs.com avec AFP)
*Le jeune homme tué en question, à la base devait être interpellé parce qu'il tabassait un mec, puis à pris la fuite en renversant un gendarme puis tenté d'en renverser un deuxième tout en forçant un barrageUne cinquantaine de personnes a attaqué dimanche la gendarmerie de Saint-Aignan (Loir-et-Cher) avec des haches et des barres de fer pour protester contre la mort d'un jeune homme tué* par un gendarme dans la nuit de vendredi à samedi, a indiqué le maire de la commune. «Il y a eu un règlement de comptes entre les gens du voyage et la gendarmerie», a expliqué Jean-Michel Billon, le maire. «Certains étaient cagoulés, armés de haches et de barres de fer», a-t-il poursuivi. Ce soir, la ville va recevoir la protection de 250 militaires et de deux hélicoptères. (Lire la suite...)
La gendarmerie était protégée par des gendarmes mobiles, renforcés au fil de la matinée par des gendarmes du département. «Les feux de signalisation ont été hachés, des arbres tronçonnés et enflammés et trois voitures ont été brûlées», a encore précisé le maire de cette commune de 3.400 habitants. Le centre opérationnel de gendarmerie du département expliquait dimanche que la situation était «tendue» à Saint-Aignan, sans plus de précisions.
T'as un échantillon des commentaires stp ?Banjo a écrit :Effectivement, quand on voit les commentaires sur Libé, et l'inaction du gouvernement (ça sert à rien de mettre plus de policiers), je vois pas ce qui pourrait nous sortir de là
+1. Si vous avez besoin de thune faites vous plaisir les gars : en ce moment c'est les soldes sur la presomption d'innocence...Pharaoh a écrit :Ce que je trouve dingue pour Karim Machin là, c'est qu'il braque un casino, il tire sur les flics avec une arme lourde, il est abattu, et derrière ses proches foutent la merde : mais c'est quoi la raison ?? Y'a matière à protester là ?
Et le pire c'est la famille à la télé, "il était tris pouli, tris jontil", tain c'est ouf quand même, dans ces cas-là tu fermes juste ta gueule et tu fais profil bas. Limite c'est un innocent, comme toujours dans ces affaires de toute façon (cf les gens du voyage).
EDIT : y'a aussi les journalistes et les gauchistes qui déresponsabilisent sans cesse en parlant de pauvreté, de chômage, etc.. Comme si ça t'autorisait à braquer, à utiliser des armes à feu, à foncer dans des barrages de gendarmes.