NintendojoFR : Le forum

"La France deviendra dans moins de 20 ans la colonie de ses anciennes colonies..."

Pharaoh a écrit :C'est vraiment la colonisation.

Une minorité qui arrive, et impose son avis. Mais tu peux être sûr que les bien-pensants qui critiquent la colonisation par les puissances occidentales à l'époque sont là pour encourager la colonisation actuelle de l'Europe.

Quand une minorité veut absolument parler sa langue, imposer sa religion (avec ses minarets), s'habiller comme au pays, détruire les particularités locales pour imposer sa vision, on peut vraiment dire qu'elle expérimente une nouvelle manière de coloniser.

Kazahk a écrit : Mouais... Tu parles comme si l'islamisation de l'Europe répondait à un réel projet d'invasion, pensé et planifié à l'avance...

Kazahk a écrit :Mouais... Tu parles comme si l'islamisation de l'Europe répondait à un réel projet d'invasion, pensé et planifié à l'avance... Mais un tel projet n'existe pas, sauf peut-être dans les fantasmes d'Erdogan & cie. Il n'y a aucune invasion, puisque les portes sont grandes ouvertes. Ça ne veut pas dire que tu as tort sur le fond ; l'effet sera le même, les Européens auront de moins en moins l'impression de vivre chez eux. Mais la faille dans ton discours, c'est que tu pointes les effets sans t'intéresser aux causes. L'islamisation n'est que la conséquence prévisible de l'immigration massive. Et si la France a connu une immigration massive, c'est parce que la dynamique du capitalisme contemporain, a fortiori dans sa forme libérale, l'a encouragé (immigration = pression à la baisse sur les salaires, destruction des solidarités ouvrières...), et que le Pouvoir a été assez lâche/corrompu (rayer la mention inutile) pour faire ce "petit" cadeau au patronat.

Rayy a écrit :Bah les mecs pourquoi vous avez peur ?
Pour ceux qui mettaient en avant le côté positif de la colonisation de la France, il se peut que la colonisation actuelle soit plus bénéfique que mauvaise !

Et dans quelques décennies quand le président français Mohamad Diallo dira que la colonisation de la France a été positive, tout le monde sera d'accord.

Boursiers : les grandes écoles dans la tourmente

Cette semaine a été marquée par une virulente polémique mettant en cause la Conférence des Grandes Ecoles, réticente à appliquer l'objectif de 30% de boursiers fixé par le gouvernement.

Les grandes écoles peinent à se défendre du soupçon d'élitisme. Depuis le refus de la Conférence des grandes Ecoles (CGE) d'appliquer un quota de 30% de boursiers au sein des effectifs qu'elle représente, la querelle fait rage. Querelle en partie sémantique car la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a bien reprécisé ces derniers jours que les objectifs fixés au mois de novembre par le gouvernement n'étaient précisément que des objectifs, et en aucun cas des quotas. «Je suis contre les quotas à l'entrée dans les grandes écoles, mais cela n'exclut pas le volontarisme, la volonté de changer les choses» avait déclaré la ministre sur Europe 1 mardi.

Mais qu'importe, le débat est lancé. Si la Conférence des Grandes Ecoles a tenté de temporiser, précisant que ce n'est pas le taux de 30% de boursiers qui suscite en lui-même son opposition, mais le fait qu'il doive être appliqué «école par école», les propos tenus fin décembre ont marqué les esprits. La CGE avait indiqué redouter une «baisse inévitable du niveau moyen», et avoir déjà fait «l'amère expérience de devoir remercier des étudiants dont le niveau ne correspondait pas à celui requis», suscitant l'ire de nombreux organismes et personnalités.

Nouvelles mesures
Car si Sciences po Paris, inspiratrice des objectifs fixés par le gouvernement, accueille 21% de boursiers, l'Ecole Normale Supérieure n'en compte que 16% et l'école des Mines de Paris 9%. Après la fixation d'un objectif de 30% de boursiers en classes préparatoires, déjà atteint en partie grâce au relèvement du seuil d'obtention des bourses, il était donc logique que le gouvernement choisisse d'aller plus loin en le soumettant aux grandes écoles.

La polémique suscitée à leur encontre a été d'une virulence certaine (Minc et Pinault ont ainsi développé dans une tribune au Monde le «haut le cœur» que leur inspire la réaction de la CGE). Mais elle aura permis de nourrir le débat. Le ministère de l'Education nationale a notamment précisé sa position en engageant une réflexion sur le contenu du concours d'entrée. «Nous voulons sortir d'un système qui s'est complètement retourné en 30 ans, a ainsi déclaré Luc Chatel. Il ne fait que reproduire les inégalités sociales au lieu de lutter contre leurs prédéterminations.» L'inspection générale a donc été chargée de faire des propositions sur la nature des épreuves. Jeudi, la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a ajouté souhaiter pour juin 2010 la gratuité de ces concours à destination des boursiers. «Que le gouvernement impose la gratuité, je le soutiendrai» a déclaré vendredi François Bayrou.

Boursiers : les grandes écoles dans la tourmente

Cyrare a écrit :Bah rien que de part la situation géographique, je comprend pas bien l'intérêt du rattachement de ces départements à la France. M'enfin même avec toutes ces taxes, tout ce je-m'en-foutisme, même avec des subventions inférieures aux autres régions, ils sont toujours incroyablement mieux lotis que si ils étaient seuls ou si ils étais rattachés à des pays proches d'eux géographiquement. Ce serait bien qu'ils s'en rendent compte. La Guyane c'est quand même ultra particulier parce que c'est pas une minuscule île. Ils ont la capacité, la situation géographique et probablement les ressources pour être indépendants et peut être réussir à avoir mieux que leur statut actuel. Quant aux îles, je vois pas ce qu'ils peuvent faire seuls.

Le constructeur automobile Peugeot a dévoilé les grandes lignes de sa stratégie jusqu'en 2015, qui s'appuie notamment sur de nouveaux produits, une nouvelle ligne de style et une nouvelle identité visuelle, avec un nouveau logo. «La marque sochalienne ambitionne ainsi de gagner trois places dans le classement mondial des marques automobiles, de devenir une référence en matière de style et de devenir le leader en services mobilité» écrit La Tribune.

Le projet de la marque, qui fête cette année son bicentennaire, est incarné par le concept-car SR1, un «Roadster Grand Tourisme» qui dévoile les codes stylistiques majeurs qui seront utilisés sur les prochains modèles Peugeot. Le modèle sera dévoilé en mars prochain au salon de Genève. Peugeot a également dévoilé un nouveau logo: le célèbre Lion, emblème de la marque, passe à la 3D, et reçoit un habillage mat débarrassé de son fond bleu. Ce logo sera désormais associé à la nouvelle signature internationale de la marque: «mOtion & emOtiOn».

«Onze mois après les Chevrons, c'est au tour du Lion de subir une cure de jouvence, souligne le Nouvel Obs. Certains n'y verront qu'une pincée de poudre aux yeux. D'autres retiendront la promesse de lancer quatorze nouveaux modèles d'ici 2012, dont des électriques, des hybrides Diesel et un engin à mi chemin entre scooter et voiture. Un constructeur sort ses griffes!»

Selon les données publiées lundi 4 janvier par le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA), Peugeot détient le modèle de voiture le plus acheté par les Français en 2009 avec la Peugeot 207. Dans un marché en forte hausse (+ 10,7% par rapport à 2008), la berline a devancé la Renault Mégane. «Régulièrement classée dans les cinq premières places du palmarès des ventes européennes, la Peugeot 207 a dominé le marché français en 2009, tout comme elle l'avait déjà fait en 2008» écrit Le Point. Elle représente 8% des ventes totales de l'année, soit 182.365 exemplaires immatriculés. Ces chiffres comprennent le modèle 207 ainsi que son ancienne version 206, toujours commercialisée.

Spoiler:

gné a écrit :Le site du nouveau Peugeot avec en intro la futur BB1 qui est particulièrement vilaine

On connaît de lui sa voix éraillée, mais c'était aussi une gueule cassée. Mano Solo, est décédé ce dimanche, à Paris, à l'âge de 46 ans, des suites de plusieurs anévrismes, a-t-on appris auprès de sa famille, de sa compagne et de sa collaboratrice.

Mano Solo avait été hospitalisé après son dernier concert à l'Olympia à Paris, le 12 novembre. "Il a lutté courageusement pendant deux mois et jusqu'au bout contre plusieurs anévrismes", a indiqué sa famille.

Auteur, compositeur et chanteur, Mano Solo, dont la voix déchirante est reconnaissable entre mille, a signé de nombreux albums teintés de rythmes africains, d'airs de tangos et de rengaines de faubourgs parisiens, aux mélodies souvent bouleversantes, aux paroles poétiques et sombres évoquant sans détour les problèmes contemporains, mais aussi ses problèmes personnels: la drogue, la maladie.

RudeBoy a écrit :

On connaît de lui sa voix éraillée, mais c'était aussi une gueule cassée. Mano Solo, est décédé ce dimanche, à Paris, à l'âge de 46 ans, des suites de plusieurs anévrismes, a-t-on appris auprès de sa famille, de sa compagne et de sa collaboratrice.