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KirbyX a écrit :Si tu parles de iGoogle que je n'utilise pas c'est mort.

Urd a écrit :

KirbyX a écrit : Sérieux ?

T'as un lien/source ?

Seul le Français travaille moins que le Belge

BELGA

lundi 03 août 2009, 08:44

Dans l’Union européenne, seul le travailleur français a une semaine de travail plus courte que le travailleur belge. Le travailleur belge temps plein moyen a travaillé l’an dernier 38,6 heures par semaine.

La moyenne européenne s’élevait à 40,4 heures, écrit lundi le Tijd sur son site internet, sur base d’une étude d’Eurofound, une institution européenne basée à Bruxelles et spécialisée dans les études des conditions de travail et de vie dans l’UE.

Le rapport 2008 récemment publié confirme que les Belges n’effectuent certainement pas les plus longues semaines de travail de l’Union européenne.

Suivant les CCT, les travailleurs belges ont passé l’an dernier en moyenne 37,6 heures par semaine au travail. C’est une heure de moins que la moyenne de l’ensemble de l’Union européenne. Huit des 27 pays européens avaient des temps de travail plus courts qu’en Belgique, dont les pays voisins, l’Allemagne, les Pays-Bas et la France.

Mais les chiffres changent si l’on tient compte du nombre d’heures effectivement prestées. Les heures supplémentaires font gonfler le nombre d’heures passées au travail. Avec 38,4 heures, les Français restent les Européens qui travaillent le moins. Mais les Belges les talonnent avec 38,6 heures. C’est près de deux heures en moins que la moyenne européenne. C’est aussi une heure de moins que la moyenne des 15 pays « historiques » de l’Union européenne avant l’élargissement à l’Europe centrale.

Les semaines de travail les plus longues se retrouvent en général dans ces nouveaux pays membres. La Roumanie arrive en tête avec des semaines de 41,8 heures. L’Allemagne se hisse à la sixième place avec 41,2 heures. Le Royaume-Uni, avec 40,9 heures par semaine, se situe bien aussi.

Décès de René Morizur, membre des Musclés.



Info issue de la newsletter du forum officiel de DOROTHEE ce soir, http://www.cheredorothee.com sur le déces d'un membre du groupe des MUSCLES : René.


Sur cette page, vous aurez une petite bio issue d'un article publié en 1990. http://generationab.free.fr/Les-muscles/RENE.htm ou un autre article ici :
http://generationab.free.fr/Les-muscles/article4.htm


Issu de Wikipédia : René Morizur est surtout connu pour avoir été le saxophoniste et accordéoniste du groupe les Musclés, le groupe attitré du Club Dorothée. Il a aussi joué dans les séries Salut les Musclés et La Croisière foll'amour sur TF1, rediffusées sur AB1 où il interprète son propre rôle.


L'équipe d'IDF1, évidemment très triste, prépare un hommage, sous forme d'une émission spéciale, à celui qui n'avait que 65 ans.

Le comédien Sim est mort



Le comédien Sim est mort
LEMONDE.FR avec AFP | 06.09.09 | 13h38 • Mis à jour le 06.09.09 | 13h43


Le comédien et humoriste Sim, de son vrai nom Simon Berryer, est mort, dimanche 6 septembre, dans la matinée d'une ambolie à Saint-Raphaël (Var), à l'âge de 83 ans, annonce le service de presse de la série de France 3 Louis le Brocante. Depuis quelques années, Sim limitait ses engagements à la série, au côté de Victor Lanoux. Le dernier épisode auquel il a participé doit être diffusé le 24 septembre. Il avait été hospitalisé pour une pneumonie il y a quelques jours.

Personnalité du théâtre et de la télévision depuis ses débuts dans les années 1960 au côté de Jean Nohain, Sim a tourné de nombreux films dont Cartouche de Philippe de Broca, Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais elle cause de Michel Audiard, Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau, Pinot simple flic de Gérard Jugnot, et récemment Astérix et Obélix aux Jeux Olympiques de Thomas Langmann. Sim, qui a aussi connu un grand succès avec son personnage de la Baronne de la Tronche en biais mis en scène dans des sketches. Il était aussi l'un des pilliers de l'émission radiophonique "Les grosses têtes", sur RTL, depuis 1977.

Filip des 2Be3 est décédé



Filip Nikolic, ex-membre des 2Be3, est décédé ce mercredi matin d'une overdose de médicaments. Il n'avait que 35 ans. C'est son avocat, François Gibault, qui a annoncé la terrible nouvelle à l'antenne d'Europe 1. "Il ne s'est pas réveillé", a-t-il confié. "Il a dû avoir un arrêt cardiaque."

Très ému, son avocat a encore déclaré lui avoir parlé hier soir, vers 22 heures. "Tout allait bien, il préparait un nouvel album." C'est son colocataire qui l'a trouvé ce matin, inanimé.

Une overdose de somnifères
Selon certaines informations, Filip n'allait pas très bien ces derniers temps. Il était séparé de la maman de sa fille, Sasha, 4 ans. PurePeople affirme que le chanteur avait même été hospitalisé dans un établissement spécialisé, deux fois en quelques mois. "Filip avait l'habitude de prendre des somnifères, et les pompiers en ont trouvé une boîte, ce matin, dans sa chambre" poursuit Maître Gibault.

Certaines rumeurs racontaient ce midi que Filip Nikolic avait plutôt été victime d'un accident de voiture.

L'heure de gloire avec les 2Be3
Filip Nikolic, né le 1er septembre 1974, avait connu son heure de gloire grâce aux 2Be3, un boys band, le premier en France, qu'il avait formé avec Frank et Adel. L'album Partir un jour et la chanson du même nom avaient connu à l'époque (c'était en 1997) un formidable succès.

Une fois le boys band dissolu, Filip avait choisi de se diriger vers la comédie. En 2001, il faisait ses premier pas dans l'équipe de Navarro. L'aventure continuait encore dans Brigade Navarro. En 2006, il avait
participé à l'émission de téléréalité Je suis une célébrité, sortez-moi de là.

Depuis le mois d'août, il jouait au théâtre dans la pièce Drôle de parents, aux côtés de Maurice Risch et de Julie Arnold. Selon son avocat, Filip travaillait sur son premier album solo.

Malgré quelque 45 000 exemplaires écoulés, le manga Waga Toso n'aura pas flirté avec les records de vente au Japon. Il aura néanmoins fait couler beaucoup d'encre. Son titre est en effet la traduction japonaise de Mein Kampf. Son auteur: Adolf Hitler.

En choisissant de publier une adaptation en bande dessinée de l'ouvrage du dirigeant nazi, sans l'aval du Land de Bavière qui détient les droits sur l'ouvrage, l'éditeur East Press a pris un risque calculé. Il l'a fait paraître dans sa collection Manga de Dohuka, "apprendre avec les mangas", une série qui compte déjà Le capital de Karl Marx ou encore Le Prince de Machiavel.

Pour East Press, ce Mein Kampf version manga doit permettre "d'étudier la personnalité d'Hitler" et de "comprendre les pensées qui ont conduit à de telles tragédies". A la fin de l'ouvrage, l'éditeur appelle même le lecteur à le lire "avec distance et objectivité, de manière critique", "en ayant à l'esprit les drames survenus et la notion des droits de l'homme".

Cela dit, la parution de ce manga a été accueillie dans une relative indifférence au Japon. Ce qui ne saurait surprendre. La version en texte est déjà disponible en librairie. Mais les Japonais connaissent mal, voire pas du tout, les événements de cette période. L'enseignement de l'histoire dans les écoles reste en effet pour le moins discret sur les années 1930-40. Dans les classes, on prend bien soin d'arrêter les leçons au début du XXème siècle, avant que le Japon impérial ne devienne l'allié de l'Allemagne nazie.

Le Japon méconnaît Hilter

De ce fait, au Japon – comme dans d'autres pays d'Asie – Mein Kampf ne soulève pas la même polémique qu'en Europe ou aux Etats-Unis. Mal connu, Hitler est même parfois perçu comme un conquérant, une sorte de Napoléon...

Rien d'étonnant donc à ce que l'esthétique nazie se mêle à l'univers du cosplay ou que des motards se pavanent dans les rues de Tokyo, coiffés d'un casque qui rappelle ceux des soldats de l'armée allemande.

Et puis le Japon n'a pas de législation contre les discriminations ou les actes racistes. Il existe toute une littérature - livres ou magazines - qui véhicule des idées révisionnistes ou des clichés sur les immigrés, des Coréens aux Chinois, en passant par les Pakistanais voire les Occidentaux.

L'antisémitisme n'en est pas exclu. En août, le Centre Simon Wiesenthal (CSW) a adressé une protestation au très sérieux quotidien économique Nihon Keizai, tiré tous les jours à trois millions d'exemplaires. L'organisation basée à Los Angeles déplorait la publication le 2 août d'une réclame de l'éditeur Apple Shuppan. Deux ouvrages sur la crise économique étaient présentés. Leur auteur: Kotaro Nada. Leurs titres: Pourquoi le système financier juif s'est il effondré? et Argent juif : pouquoi sont-ils capables de diriger le monde?. Le tout assorti d'une question: "Est-il vrai que la famille Rotschild contrôle l'économie mondiale?".

Ce n'est pas la première fois que le Nihon Keizai se fait épingler pour de tels faits. En 1993, le centre Simon Wiesenthal avait déjà protesté contre la parution d'une publicité pour une maison d'édition, qui affirmait que l'administration japonaise était infiltrée par une conspiration juive dont l'objectif était de détruire le Japon. "Dans les années 80 et 90, précise sur le site du CSW le doyen associé du centre Abraham Cooper, il y a eu un tsunami de livres évoquant de multiples conspirations, dont certains qui accusaient les Juifs d'être à l'origine des problèmes économiques".

Dans sa lettre de protestation du mois d'août, le Centre Simon Wiesenthal appelait le Japon à "ne pas retrouver le statut d'éditeur numéro un d'ouvrages antisémites". Un appel passé plutôt inaperçu dans l'archipel.