Publié : 31 mars 2009 22:27
Vu que tu te moques de sa proposition et qu'elle est comme sa sign, tu te moques de sa sign.
Donc t'as quoi contre la sign ?
Donc t'as quoi contre la sign ?
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Comme la réponse de Toad San était détournée, je reformulais la question de manière plus directe.Toad San a écrit :Je ne sais, quelque chose te fait penser le contraire ?Pharaoh a écrit :T'as quelque chose contre Proust ?Toad San a écrit :Très drôle ta proposition, tout comme ta sign
Et qu'est-ce que t'as compris à la citation au juste ? Et qu'est-ce que tu connais à Proust pour juger une citation, qui fait partie d'un roman de 5000 pages ?Toad San a écrit :Et donc ... ? comme c'est du proust, tu es dispensé de lire et comprendre la citation jusqu'au bout ?
Mon message était juste une caricature d'un professionnel de l'indignationLakitu_Delita a écrit :Comme la réponse de Toad San était détournée, je reformulais la question de manière plus directe.Toad San a écrit :Je ne sais, quelque chose te fait penser le contraire ?Pharaoh a écrit : T'as quelque chose contre Proust ?
Je n'ai même pas lu la sign en question.
"…l'enfance n'existe pas, elle est le rêve du pédophile. Le pédophile - je l'imagine ainsi - est précisément celui qui croit à l'enfance (…). Il la voit comme le paradis dont il a été injustement chassé, le lieu vers lequel il lui faut revenir, qu'il lui faut à tout prix pénétrer."Lakitu_Delita a écrit : Et la sign me choque pas, elle me fait juste penser à qq1 qui a gâché sa jeunesse, du coup il ne sait pas grandir, est inconsciemment convaincu d'être jeune et donc vise d'autres jeunes. Et plus elles sont jeunes, plus il est jeune.
Et alors ?Toad San a écrit :Je te remercie pour ce bon sens lakdel. Malgré la prose, ces "jeunes filles en fleur" sont juste des ados en pleine puberté.
Pharaoh me corrigera si je me trompe , mais je crois que l'interet de la littérature est non pas dans le raisonnement mais dans la sensation transmiseToad San a écrit :Parce que la littérature n'a pour toi qu'un intérêt de forme, peu importe le fond ? Tu peux orner de tous les styles littéraires un propos faisant l'éloge de la pédophilie, s'extasier devant le style sans comprendre le fond relève d'un précieux ridicule.
lemonde.fr a écrit :Jusqu'où ira le désir de contrôle de Nicolas Sarkozy ? La question mérite d'être posée à la lumière des informations divulguées hier par le Canard Enchaîné. Dans son dernier numéro, l'hebdomadaire satirique révèle en effet que depuis plusieurs mois, une cellule de l'Elysée propose un service de supervision aux maisons de disques. Son rôle ? Officiellement, vérifier les paroles des chansons avant qu'elles ne soient enregistrés par les artistes, et ce afin de s'assurer qu'elles ne dérogent à aucune loi. Officieusement, on évoque davantage une volonté du président de la République et de son entourage d'empêcher la commercialisation d'albums qui lui seraient trop clairement opposés, ou encore de disques qui attenteraient aux bonnes moeurs. De là à parler de censure, il n'y a qu'un pas, que franchit sans hésitation aucune le président de Mouvement Démocrate : "Nicolas Sarkzoy se dévoile une fois de plus sous son vrai jour, et l'image de la France n'en sort pas grandie.". Et François Bayrou de rappeler cette citation de Voltaire, déjà entendue lors de l'affaire des caricatures de Mahomet : "Je hais vos idées mais je me battrais jusqu'au bout pour que vous puissiez les exprimer."
Contactée par nos soins, une major nous explique combien le procédé est insidieux : rien n'oblige à soumettre les projets en cours à l'Elysée, mais sans le feu vert du Palais, les obstacles deviennent réels. La collusion d'intérêts est devenue telle au sommet de l'Etat que les médias, sans qu'aucune consigne ne soit formellement donnée, sont bien conscients des risques qu'ils courraient à aller contre la volonté du pouvoir exécutif.
Du côté du faubourg Saint-Honoré, on nie en bloc les accusations. "Avec tout ce que fait Nicolas Sarkozy, croyez-vous vraiment qu'il ait le temps de relire chaque chanson ?", interroge Claude Guéant. "Celles de son épouse, peut-être, les autres, j'en doute", poursuit le conseiller spécial du président le sourire aux lèvres. Et quand on évoque le cas de L'effet papillon, le dernier tube du chansonnier populaire Bénabar, dont le Canard Enchaîné révèle que le refrain "C'est l'effet papillon / Petites causes, grandes conséquences" était en réalité à l'origine "C'est l'effet beaux nichons / Charmantes causes, dure conséquence", le fidèle de l'ancien maire de Neuilly botte en touche. "Je ne sais pas si elle (NDLR : la cellule de supervision) a travaillé sur cette chanson, mais avouez que les paroles originelles ne correspondent pas à ce qu'il convient d'appeler un bon exemple pour la jeunesse."
Les méthodes sarkozystes sont depuis longtemps connues : la meilleure des censures, c'est l'auto-censure, instillée dans les consciences par l'utilisation savamment réfléchie d'idées paraissant de bon sens au premier abord, mais ô combien réductrices. Ainsi, l'Elysée ne cesse de vouloir remettre au goût du jour cette vieille posture consistant à laisser croire que l'on protège la liberté en filtrant les idées, alors là même qu'on la tue. Combien de temps le peuple français acceptera-t-il cette dérive totalitaire ? Là aussi, la question mérite d'être posée.
En même temps c'est toi qui vois un éloge de la pédophilie et qui n'as pas compris pour l'instant. Il me semble d'ailleurs qu'à ce moment-là le narrateur est lui-même assez jeune, mais de toute façon peu importe, arrête de mettre dans ces belles phrases quelque chose qui leur est étranger.Toad San a écrit :Parce que la littérature n'a pour toi qu'un intérêt de forme, peu importe le fond ? Tu peux orner de tous les styles littéraires un propos faisant l'éloge de la pédophilie, s'extasier devant le style sans comprendre le fond relève d'un précieux ridicule.
Putain ca me fout la haine de voir tous les *$*$$$$ de putain de connards de merde qu'on a en France, comment un type comme Sarko a pu etre élu, j'ai la gerbe face a ce PAYS DE MERDErom vat a écrit : Sinon, voici le dernier épisode en date de "Mais jusqu'où ira le désir de contrôle de Nicolas Sarkozy ?".
lemonde.fr a écrit :Jusqu'où ira le désir de contrôle de Nicolas Sarkozy ? La question mérite d'être posée à la lumière des informations divulguées hier par le Canard Enchaîné. Dans son dernier numéro, l'hebdomadaire satirique révèle en effet que depuis plusieurs mois, une cellule de l'Elysée propose un service de supervision aux maisons de disques. Son rôle ? Officiellement, vérifier les paroles des chansons avant qu'elles ne soient enregistrés par les artistes, et ce afin de s'assurer qu'elles ne dérogent à aucune loi. Officieusement, on évoque davantage une volonté du président de la République et de son entourage d'empêcher la commercialisation d'albums qui lui seraient trop clairement opposés, ou encore de disques qui attenteraient aux bonnes moeurs. De là à parler de censure, il n'y a qu'un pas, que franchit sans hésitation aucune le président de Mouvement Démocrate : "Nicolas Sarkzoy se dévoile une fois de plus sous son vrai jour, et l'image de la France n'en sort pas grandie.". Et François Bayrou de rappeler cette citation de Voltaire, déjà entendue lors de l'affaire des caricatures de Mahomet : "Je hais vos idées mais je me battrais jusqu'au bout pour que vous puissiez les exprimer."
Contactée par nos soins, une major nous explique combien le procédé est insidieux : rien n'oblige à soumettre les projets en cours à l'Elysée, mais sans le feu vert du Palais, les obstacles deviennent réels. La collusion d'intérêts est devenue telle au sommet de l'Etat que les médias, sans qu'aucune consigne ne soit formellement donnée, sont bien conscients des risques qu'ils courraient à aller contre la volonté du pouvoir exécutif.
Du côté du faubourg Saint-Honoré, on nie en bloc les accusations. "Avec tout ce que fait Nicolas Sarkozy, croyez-vous vraiment qu'il ait le temps de relire chaque chanson ?", interroge Claude Guéant. "Celles de son épouse, peut-être, les autres, j'en doute", poursuit le conseiller spécial du président le sourire aux lèvres. Et quand on évoque le cas de L'effet papillon, le dernier tube du chansonnier populaire Bénabar, dont le Canard Enchaîné révèle que le refrain "C'est l'effet papillon / Petites causes, grandes conséquences" était en réalité à l'origine "C'est l'effet beaux nichons / Charmantes causes, dure conséquence", le fidèle de l'ancien maire de Neuilly botte en touche. "Je ne sais pas si elle (NDLR : la cellule de supervision) a travaillé sur cette chanson, mais avouez que les paroles originelles ne correspondent pas à ce qu'il convient d'appeler un bon exemple pour la jeunesse."
Les méthodes sarkozystes sont depuis longtemps connues : la meilleure des censures, c'est l'auto-censure, instillée dans les consciences par l'utilisation savamment réfléchie d'idées paraissant de bon sens au premier abord, mais ô combien réductrices. Ainsi, l'Elysée ne cesse de vouloir remettre au goût du jour cette vieille posture consistant à laisser croire que l'on protège la liberté en filtrant les idées, alors là même qu'on la tue. Combien de temps le peuple français acceptera-t-il cette dérive totalitaire ? Là aussi, la question mérite d'être posée.
Qu'est-ce qu'elle me saoule cette citation"Je hais vos idées mais je me battrais jusqu'au bout pour que vous puissiez les exprimer."