Odon Vallet est un TUEUR c'est clair, mais il lui arrive des fois de faire des raccourcis par sa "théâtralité" et puis il reste trop neutre, ça m'énerve toujoursDhalsim a écrit : Tu parles sans doute de Odon VALLET, historien des religions... ce mec il calme !
C'est le héros de Dhalsimette !
Je suis d'accord avec Pharaoh, à la différence que je ne soutiens pas du tout les sciences humaines comme lui, parce qu'il y a non seulement une fragmentation du savoir dans ces "sciences", mais qu'en plus elles ne produisent que des faits de statistiques sans ni les mettre en lien avec les autres domaines ni donner une ligne de conduite, je pourrais résumer ce que je pense en une citation : "La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s'est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve" et le pire c'est que les sciences humaines prônent une vérité uniquement statisticienne. Et cela fait très longtemps que la philosophie s'est "sociologisé", ce qui fait qu'elle n'est plus le carrefour de toutes les sciences permettant justement de lié le savoir universel et la ligne de conduite universelle.
Donc je peux aussi rejoindre l'avis de LakDel, par le fait que par l'éclatement du savoir, il est impossible de l'utiliser à bon escient pour en faire quelque chose, si ce n'est de remplir son cerveau. L'Histoire n'est pas épargné par cela parce qu'elle se contente d'informer, sans jamais pouvoir globaliser une époque (c'est impossible, même pour nous qui vivons notre époque) puisque ce domaine par définition étudie quelque chose de mort, de fragmenté, cela ne peut jamais suffire (c'est bien pour cela qu'il faut un vrai fondement philosophique pour ne pas dire métaphysique ou théologique). Connaître toutes les plantes de l'Amazonie ou tous les joueurs de football de toutes les équipes nationales du monde, c'est la même intelligence. Structurer sa pensée, c'est autre chose.
Bref, retournons à la vraie philosophie sous l'autorité de la théologie
(attention 
, je ne dis pas que c'est ce que tu penses, c'est juste une réflexion par rapport au "mieux vaut une tête bien faite qu'une tête bien pleine" qu'on entend souvent pour justifier qu'il n'est pas nécessaire d'apprendre des choses, mais qu'il suffit d'apprendre à réfléchir)
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