Enfin j'ai pas encore d'avis arrêté sur la question, mais ça va être intéressant à suivre

Modérateur : DojoSuperHeroes
Corée du Nord: le dictateur Kim Jong-Il serait malade, le régime dément
Il y a 2 heures
TOKYO (AFP) — Le numéro deux du régime nord-coréen a démenti mercredi que le dirigeant Kim Jong-Il connaissait des problèmes de santé, un diplomate qualifiant en outre les informations des médias occidentaux en ce sens de "conspiration", dans des entretiens avec l'agence de presse japonaise Kyodo.
Le numéro deux de la Corée du Nord, Kim Yong Nam, a assuré à Kyodo qu'il n'y avait pas de problème avec Kim Jong-Il. Kim Yong Nam est le président du présidium de l'assemblée populaire suprême du pays.
Dans une interview séparée, Kyodo a cité Song Il-Ho, l'ambassadeur nord-coréen pour les discussions de normalisation avec le Japon.
"Nous considérons que ces informations (sur la santé de Kim Jong-Il) n'ont aucune crédibilité et relèvent d'une conspiration", a-t-il déclaré.
"Je pense que l'objectif (de ces informations) est de convaincre l'opinion publique de quelque chose qui n'est pas vrai", a-t-il ajouté, soulignant que "les médias occidentaux" avaient "déjà rapporté des mensonges dans le passé".
La Corée du Nord n'avait jusqu'à présent pas réagi officiellement aux informations de responsables des renseignements américains et sud-coréens faisant état d'un problème de santé du numéro un du régime communiste.
Le dictateur n'est pas apparu mardi lors du défilé célébrant le 60e anniversaire de l'Etat communiste, selon Kyodo et l'agence sud-coréenne Yonhap.
Cette absence a amplifié les interrogations sur la santé de M. Kim, qui souffre de diabète et problèmes de coeur, selon des responsables sud-coréens.
"Il est quasi-certain que (...) Kim a un problème de santé", a déclaré, sous couvert de l'anonymat, un haut responsable sud-coréen à Yonhap après le défilé, ajoutant que le numéro un nord-coréen semblait avoir récemment eu un malaise.
Ce responsable a toutefois précisé que Kim Jong-Il n'était pas décédé.
Un responsable des services de renseignement américains a indiqué pour sa part, aussi sous le couvert de l'anonymat, que M. Kim pourrait avoir eu une attaque cérébrale.
Selon ce responsable américain, il n'y a toutefois aucun signe visible d'une lutte pour sa succession.
Une source présidentielle à Séoul a en outre confié à Yonhap que le président sud-coréen Lee Myung Bak avait convoqué mercredi ses plus proches collaborateurs pour une réunion d'urgence.
"Il a discuté de contre-mesures à une possible maladie grave du dirigeant nord-coréen au cours de cette réunion non prévue" initialement, a dit cette source.
"Il est quasi certain que des experts français et chinois se sont rendus en Corée du Nord pour soigner Kim Jong-Il, mais on ne sait pas quel est son état de santé", a affirmé à l'AFP Yang Moo-Jin, chercheur au département des Etudes nord-coréennes de l'Université de Séoul.
Aucune information officielle sur la santé du dictateur n'a jamais filtré.
Le "cher leader" n'a plus été vu en public depuis plus de trois semaines. Le 14 août, il avait inspecté une unité militaire, selon la presse.
Avec ses cheveux bouffants et ses chaussures à semelles compensées, Kim Jong-Il est souvent tourné en ridicule en Occident, mais les experts le dépeignent comme un habile tacticien.
Il est le premier fils de feu Kim Il-Sung, fondateur de la République populaire et démocratique de Corée, qui fait encore l'objet d'un véritable culte dans le pays.
Le régime de Pyongyang est soupçonné de vouloir redémarrer un complexe nucléaire qu'il s'était engagé à démanteler.
Il reste son troisième filsBanjo a écrit :
Concernant la succession, il est très probable que ce ne soit pas quelqu'un de la famille: le premier fils a niqué ses chances en 2001 quand il a voulu aller à Disneyland Tokyo avec un faux passeport (), et le 2eme est considérée comme une petite fille par Kim Jong Il
(et en plus de ça il n'a que 27 ans). Enfin si ça se trouve, il va s'en remettre.
deisuke a écrit : <b>Normalement si l'on obéit aux règles du libéralisme et/ou du capitalisme, le marché se régule tout seul</b>. Donc l'intervention des banques centrales pour sauver tout ces établissements ne transforme t'il pas ce marché en socialisme pour riche?
Tu as déjà eu un premier plan mais qui ne ciblait pas précisément ces endettés apparemment.deisuke a écrit :Ce qui est dramatique dans tout ça c'est qu'on libère des milliers de milliards de dollars pour sauver les banques, le système financier et ceux qui y contribuent mais pas ceux qui se sont endettés à cause du système mis en place par celui ci.
Et encore, à peine Lehman se cassait la gueule que AIG était sauvé, à des conditions draconiennes certes mais tout de même.deisuke a écrit :Je ne parlerai pas d'abus du capitalisme parce que le fait que des societés s'effondrent est partie intégrante de sa mécanique, par contre il y a un abus des acteurs du marché.
Je vais un peu me faire l'avocat du diable, mais rien qu'un peu parce que c'est en gros le fond de ma pensée. Pourquoi "le" marché devrait-il payer ? (certains rajouteraient "plus qu'il ne paie maintenant") D'ailleurs qui ? Les survivants, ceux qui justement n'ont pas fait, ou pas trop, de conneries ?deisuke a écrit :De ce fait ne serait il pas légitime que le marché paie aux l'Etats un VRAI impôts si celui ci est obligé d'intervenir à chaque crise pour réguler le marché de façon artificiel?
Juste au-dessus a écrit : Le marché qui se régule tout seul, tu n'as que (...) quelques économistes cons ou vendus ou des politiques qui n'ont rien trouvé de mieux pour te dire que ça fonctionne parfaitement de manière autonome. (...) En réalité, cela peut fonctionner à condition d'être bien encadré. (...)
Au niveau politique, cela fait très longtemps que plus personne n'imagine que l'économie réelle a quelque chose à voir avec la théorique et donc ne suit plus les préceptes associés.
Lien«Les banques françaises sont solides, elles ont des fonds propres élevés et les moyens de traverser des périodes difficiles» affirme la Fédération bancaire française (FBF). Considérées comme moins risquées que bon nombre de leurs concurrentes, car plus diversifiées, certaines pourraient même profiter de l'aggravation de la crise pour croître.